Forum Grand Corps Malade et slam

non car en fait je le connais et c'est pas son truc lol

essaimer  se disperser en formant un essain ou de petit groupes pour fonder une nouvelle colonie
donc l'apollon est bien a la recherche de nouvelles pour relation

Dernière modification par nouga (15-10-2010 19:59:47)

Derrière

Je matais son derrière, normal j’étais derrière
Et elle sans manière, se déhancher
Ce qui donnait a ses arrières, une envie de faire
Aussi me dis je sans préjugés, quel effet

Voulait’ elle faire carrière ou satisfaire
L’œil du mâle toujours prêt à s’extasier
Ou simplement être naturelle et altière
Femme libérée des aprioris de la société

Ma façon de l’aborder fut sans mystère
Elle se retourna avec l’aisance qui sied
Son sourire en disait long sur mon hémisphère
Ce fut en un instant le choc tarifaire exposé

Son prix se devinait comme son savoir faire
Elle mimait ma carte bancaire, qui cramait
Et ses bijoux grossissaient de façon spectaculaire
Mon sort était jeté, j’étais racolé

En guise de derrière, ma vie a pris des repères
Si je flâne, mes yeux restent aux aguets
Me méfiant des sourires des hétaires
Sans pour autant m’empêcher de mater

Peut être

Peut être que je l’ai mal vu la première fois
Peut être que la nuit y est pour quelque chose
Peut être que la pluie ce soir là
Peut être que les réverbères ne fonctionnaient pas
Peut être que  la rue en sens interdit
Peut être que les acouphènes
Peut être que  les mains dans les poches, indifférent
Peut être que  les restes de vapeur d’alcool
Peut être  que KHO LANTHA
Peut être  que L’ILE DE LA TENTATION
Peut être que toutes ces émissions a la con
Toujours est’ il que l’amende sur mon pare brise n’était pas justifiée
La pervenche  n’avait pas le droit de se venger
D’accord je l’ai jetée  avec fracas
Mais pour sa gouverne aussi, elle n’assurait pas
Alors peut être que j’ai eu raison
C’est comme ça que né la haine pour ces femmes la
Elles veulent un prince et moi  je suis papillon
Voila pourquoi elle m’a épinglé

Moralité

Peut être que la première fois
Il faut mieux y voir à deux fois
Car sans prétention
Un homme avertit, fais gaffe a sa façon
De se garer en toutes occasions

VOUS

Laisser moi vous dire
Un mot, l’unique
Vous

Vous si réelle
Et l’adjectif, si belle

Vous conquérante
Très élégante

Vous mystérieuse
Mais aussi rieuse

Vous distinguée
Votre moue soulignée

Vous sentimentale
Mais femme fatale

Vous altière
Reine sans œillères

Vous dont l’aura
Attise mon état

Vous que j’imagine
Coquine, libertine

Vous sensuelle
Avec le côté rebelle

Vous érotique
Dans l’effort physique

Vous amoureuse
Un rien, rêveuse

Vous tourbillon
M’enveloppant de frissons

Vous et moi
Réunie sous le même toit

je me suis replongé dans ma jeunesse lol

Bluette fille/garçon

Le jeune homme hésita, la fille lui dit t’en fait pas
Lui ne savait pas si, il devait l’embrasser
Elle savait, comment  faire pour le décider
Malines et futées les nanas font les premiers pas

Ce que veulent les filles ce n’est pas compliqué
Plus qu’un résumé, un condensé
Un mec sur qui elles vont craquer
Ni trop ça ni trop si, mais tellement mimi
Qu’il sera leur chéri, au chaud dans leur lit

Quand le rapport c’est inversé, et l’assurance
Comme une alliée lui a fait sa révérence
Il a compris qu’avec les filles fallait oser,
Surtout ne pas trainer, sinon t’es remplacé

Ce que désirent les filles ce n’est pas compliqué
Pas forcement le mec qui passe à la télé
Car trop jalouses, leur cœur serait à la merci
De la meilleure amie, celle qui apprécie
De faire une vacherie, car elle aime ce mec sexy

Voila pourquoi jeune homme, ton avenir est tracé
Depuis qu’on sait que des nanas à volonté
Sur cette terre, il ya profusion, pas de soucis
Au mieux tu ris, et hop c’est reparti

Ce que pensent les filles c’est compliqué
Alors s’il faut faire math-spé
T’as  saisi, essaie le ‘ je ne vous ai pas remarqué’
Dans une rage folle elles vont rentrée
Et toi peinard assuré, de continuer à galoper

nounou

donc, mademoiselle mots roses, ici
http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … 085#p86085

Mademoiselle Mots Roses a écrit:

Notre Nounou nationale l'a lu il y a un moment, je pensais l'avoir posté depuis apparemment non...

Il y a un mot "pas joli" à la fin mais je trouve ce texte très fort, j'adore le faire en public... (Dire le texte pas faire autre chose Benoit !!!) Il a plus d'un an.

Ensuite il y a le texte "Celui-ci" qui a été greffé dessus, en général je fais un mélange des 2 (je ne lis qu'une fois les phrases exactement identiques et change un peu ma voix pour les phrases qui se ressemblent...) Tout est dans l'intonation donc, je suis désolée toujours pas de vidéo...

Ces textes reprennent à peu près les mêmes contraintes oulipiennes que "Pluie d'était", je produis moins mais je produis plus compliqué !!!

Bonne lecture...

Elle n’a pas couché avec lui

Cet autre soir, elle n’a pas couché avec lui
Elle, saoule de blonde, lui ivre de brunes
Ils savent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Chacun sa vie, à quelques longues heures de train
Il n’aimera pas son poème, elle aime les siens
Pas de mot pour décrire cette chose là

Pas de mort pour détruire cette chose là
Ces autres soirs elle n’a pas couché avec lui
Il n’aimera pas son poème, elle hait le sien
Il tenait d’une main la chevelure brune
Petite nuit avant les longues heures de train
Ils savent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin

Ils pensent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pas d’effort pour détruire cette chose là
Une jolie nuit avant les longues heures de train
Tous ces soirs là, elle n’a pas couché avec lui
Il tirait d’une main la chevelure brune
Il n’aime pas ce poème, elle préfère le sien

Ne hait pas ce poème, il préfère le sien
Ils pensent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pinçait de l’autre main les fesses de la brune
Pas de mot pour séduire cette chose là
Mais ces soirs là elle n’a pas couché avec lui
Derniers instants avant les longues heures de train

De niais instants avant ses longues heures de train
Il se taira sur son poème, elle lit les siens
Tous les soirs elle n’a pas couché avec lui
Ils jurent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pas de mal à réduire cette chose là
Il tordait de l’autre main les seins de la brune

N’entrait pas dans le corps, marquait la tête brune
Elle, gênée, seulement par les longues heures de train
Pas de mal à maudire cette chose là
Il n’aimera pas son poème, elle, aime le sien
Ils savent tous les deux qu’ils iront bien plus loin
Cet autre soir elle n’a pas baisé avec lui

Celui-ci…

L’autre soir, elle a couché avec celui-ci
Elle n’est pas blonde, lui sûrement fou de brunes
Ils savent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Chacun sa vie, reprend le lendemain matin
Il n’aimera pas ses seins, elle aime ses poèmes
Pas de mot pour décrire cette chose là

Pas de mort pour détruire cette chose là
Ces autres soirs elle a couché avec celui
Qui n’aimera pas ses seins, elle hait ses poèmes
Il tenait d’une main la chevelure brune
Petite nuit avant le lendemain matin
Ils savent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin

Ils pensent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pas d’effort pour détruire cette chose là
Une jolie nuit avant le lendemain matin
Tous ces soirs elle a couché avec celui-ci
Il tirait d’une main la chevelure brune
Il n’aime pas ses seins, elle préfère ses poèmes

Il ne hait pas ses seins, il préfère son poème
Ils pensent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pinçait de l’autre main les fesses de la brune
Ces soirs là elle a couché avec celui-ci
Pas de mot pour séduire cette chose là
Derniers instants avant le lendemain matin

De niais instants avant le lendemain matin
Il se taira sur ses seins, elle vit ses poèmes
Tous ces soirs elle a couché avec celui-ci
Ils jurent tous les deux qu’ils n’iront pas plus loin
Pas de mal à réduire cette chose là
Il tordait de l’autre main les bras de la brune

Entrait dans son corps et marquait la tête brune
Elle, gênée, seulement par ce lendemain matin
Pas de mal à maudire cette chose là
Il n’aimera pas son poème, elle aime ses seins
Ils savent tous les deux qu’ils peuvent aller plus loin
Ce soir elle n’a pas baisé avec celui-ci

Hé oui, Benoit, Coeur d'or... des anciens qui manquent