Forum Grand Corps Malade et slam

...Je préfère commencer comme ça, au hasard, car l’improvisation est l’un des mes dards que je déploie lorsque foule ce ressenti inhabituel, le seuil de mon imagination ; ou devrais-je dire "de mon  " Inspiration" ! Bref ! Il ne s’agit pas ici de jongler avec les mots ; oh que non ! C’est un exercice auquel je risque d’y laissé mes maux…umh maux ! Que serai-je sans eux ? Je préfère ne pas chercher à savoir. Par contre ce que je sais est bien plus important que  Mal :twisted:et son cortège…   oui je sais ! Je sais, et je compte raconter ce qui s’est passé, ou plutôt donner ma version des faits, et te laisser en disposer…
De toute façon, " autrement NANGAÏLLE ! ", alors je m’engage ……  Tout à commencé ce jour là, oui, ce jour  où "IL" … je le dit avec peu de certitude car c’est peut être l’un de ses acolytes, ce qui est fort improbable puisque j’entends souvent dire : « A être d’exception… … … » Tu connais la chanson, bref ! Pour revenir, il est donc venu te chercher ce jour là. Chercher !  C’est peut dire ; il t’a brutalement arraché de là pour te traîner dans ses profondeurs…
Tu n’avais pas le temps de comprendre, eh oui ! Tu ne cernais pas grand-chose à ce qui se passait... Par moment tu as voulu te débattre mais en vain… tu fais appel à tes ressources qui peinent à te répondre… et là, tu fermes, je ne sais trop quoi mais tu fermes et tu laisse couler… c’est là que tu sens qu’il ne te tiens plus. Bizarre! n’est ce pas ?
A ce moment tu décides d’ouvrir, quoi ? Là encore c’est toi seul qui sais. Tu ouvres et te voilà nez à nez avec lui…  On risque d’en rester ici, là si je dois relater tout ce qui s’est dit entre lui et toi. Alors je m’en tiens à ce que j’ai vu ou plutôt, perçu. Bien sûr, il y avait lui, toi en face et un peu plus loin une lumière, les reflets d’une lumière, paraît plus précis ! J’avais l’impression qu’elles hésitaient à éclairer ce semblant de tunnel dans le quel nous étions. Ô qu’il était sombre cet endroit, chui "NOIR" rien que d’y penser… c’est à ce moment qu’il pointe le doigt vers elle, et toi tu commence à marcher, pas à pas; Tu avances toujours et je l’entends ricaner , oui ! Il semble se réjouir… Il est visible, presque palpable ton émois; et moi, difficile de traduire ce qui se trame en mon interne. Si "je désespère ou si chui Vénère !!!" peut être que je suis simplement en col ère…! In vo lon taire…Je constate… tu t’arrêtes, wè ! Je vois bien là tu n’avances plus. Tu reviens sur tes pas, pas après pas,  pas pour lui en coller une, non ! T’es trop fragile à ce moment là, je veux dire "physiquement"… t’as presque tout donné… bref ! Tu arrive à son niveau, tu le fixe et là « trois points de suspension »… mais j’ai bien aimé ce qui s’est passé là, Non pas là ! Mais sur le chemin par lequel vous êtes arrivé…
Je ne me souviens plus si lui est parti vers la lumière ou s’il est resté là dans son " obscure en Team ". Peut être bien qu’il est remonté après nous, qui sait ? Lui par contre, désormais su que " [i]VIADE QUI DHUR DA CONGERATÈRE, JAMAIS TU  NEU LA MAGE UN COUP[/i] " Dommage ! Le mabé n’est plus, mais t’inquiètes trouve  PAT SACKO, lui pourras te diluer ce cocktail.
Mais en attendant dis moi : c’était quoi ces grains brillants, tout brillants que tu ramassais  sur le chemin de retour ? Tu en avais les poches presque pleines… non Pas bizwen ! Pas bizwen ! On fait comme convenu ! Laisse moi supposer et toi, disposer d’acc? alors je dis Mot ! …non pas mes maux, pas ceux là, ils sont à moi, mais des MOTS  « èm ô té ô, pour ne pas dire ess à la fin » A peine commence à tenir ce raisonnement lorsque j’entendis "Chercheurs de Phrases" là je commençai à comprendre quand  "ça peu chémar". Lui n’arrête pas de me parler, Doux Jésus qu’il me parle, Pour ne limiter l’expression de mon indicible ressenti que là! C’est justement là que "Comme une évidence" je l’ai vécu… certes ! j’étais un peu mal cette nuit là, à la sortie du BLONBA… puisque j’en avais pas eu pour mon pognon, mon Jeton ! ; je me disais : « Zut ! Mais y en a qui connaissent la chanson man !!! »  Pourquoi seulement LE BLUES DE L’INSTIT’ ? J’aurais bien voulu moi ! T’entendre dire moi ! Parler de "ses yeux qui ne sont jamais homologués moi !!! "
Non là ! C’est trop ! Trop Top !  À Abidjan on dit : « Connèssaire sé pô gaou passe ! » et à Cotonou «C’est trop pointu, ça risque de crever l’œil ! » non, pas celui de ROUDA ! Alors relaxe un frère…et revenons au parchemin, oui ce chemin, le même où se trouvent tes MOTS… Tu le parcours désormais pour les ramasser ou devrais-je plutôt dire "Trier" car c’est bien ce que tu fais maintenant .
Tu prends le temps de trier les meilleurs, et plus tu progresse plus ils sont d’enfer! Alors tu avances sans crainte, je constate ! Puisque dorénavant, ce endroit, tu le connais mieux que plus d’un. Tu t’y aventures lorsque l’envie te prend et tu en reviens quand tu veux. ...
Peu, très peu y parviennent, et encore moins nombreux ceux qui en reviennent, c’est pourquoi je dis : « Fatal est ce mental qui étale… » Et je déclare que ce n’est pas pour te vanter, te pavaner bref !  "Avoir le melon " comme ils ont dit, que t’as enfilé cette cape, canne à la main pour enfin mettre le cap sur les capitales afin de te faire des capitaux ....oh que non !!!  C’est tout simplement parce que de tout les corps mal,  ô que dis-je là !
Ah ! J’y arrive… C’est tout simplement parce que, de tout les corps malades, tu es l’un des plus                                                    GRAND…

Merci "L'homme son Frère"  et surtout ne t’arrêtes pas de les trouver !!!

                                                                                                                NaArCoZ…