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Hypo_Crazy a écrit:
nouga a écrit:
nuits d'insomnies nuits d'écritures , nuits de vies, nuits de sommeils
nuits de reves nuits d'ivresses nuits calines nuits enchanteresses
nuits d'agonies, nuits de souffrances, nuits de râles nuits de desepoirs
que sont nos nuits, que veulent 'elles nous faire dire , nous suggerer
sont'elles le le miroir de notre âme, le reflets de nos sens de nos envies de nos interdits
et si le noir de la nuit était la couleur universelle, celle qui mettrait tout le monde a égalité , la couleur de la fraternité de la solidarité
la couleur de la vieNuit offre moi ton silence et laisse mon cœur parler
Nuit donne moi la force de danser aux cadences de tes étoiles perdues
Nuit couve moi de ta sagesse et rappel moi les doux moments de ma vie
Nuit laisse mes paupières se posé sur les rivages des rêves meurtris
Nuit parle moi si tu veux, enlace moi si tu veux mais….
laisse ma passion te surmontée
Nuit chante moi tes airs de tristesses et les mélodies de la vie
Nuit tu es mon seul recueil quand les vents varis
Nuit tu es mon temple où je puise mes vers pour ma dulcinée
Nuit écoute moi et sois mon amie pas mon ennemie
je me suis permise de copier cela dans les "slams par theme" sur la nuit, ici http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … 345#p58345
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Pas de Soucis Nicole
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A toi mon éternelle étoile...
A toi mon éternelle étoile
Je te confie ma réelle histoire
Je l'aime cette douce de miel
Je l'aime même si mes mots sont cruels
Je l'aime et mon cœur en est témoin
Je l'aime et j'aimerais qu'elle prenne mon chemin
A toi mon éternelle étoile
Je livre mes enfuis et le fond de ma mémoire
Toi qui me tenais compagnie chaque soir
Je te raconte mon chagrin et tout mon savoir
Je l'aime et le destin est mon repère
Notre amour c'est à nous de le faire
Je l'aime et je ne pense qu'à elle
Je la vois dans le rêve et le réel
A toi mon éternelle étoile
Je t'avoue mon bonheur et ma gloire
Je l'aime et je l'ai dessiné comme une toile
Je l'imaginé avant de la sentir dans mon miroir
C'était le jour où mon cœur à elle n'a fait que fuir
Je l'aime et mon âme était triste et errante
Dans son ciel elle était d'une agonie mourante
De son cœur d'ange elle l'a apaisée
Sa passion était comme un long baiser
Et ses enlacées un paradis rêver
A toi mon éternelle étoile
Je te raconte ce que je vie dans son vouloir
Elle domine mon cœur cet insouciant échappatoire
Je l'aime et je le cri sur tous les toits
Dans son amour, dans ce rêve j'y crois
Qu'elle enlace mon cœur désirant
Ou qu'elle tue cet amour délirant
Je l'aime et je ne veux que la revoir…
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l'etoile qui protege et rassure
l'etoile que l'on suit
l'etoile eternelle quete
mais le chemin est long pour atteindre l'innaccecible étoile
Dernière modification par nouga (08-06-2010 14:47:41)
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Bonjour ou bonsoir
Un reflet de miroir faut il croire ce qu'on veut voir ou ce contenté de faire son devoir ?
Songes et Souvenirs
Dans la vallée de mes songes seul comme dans un labyrinthe je parcours les allés de ma mémoire et je remémore mes passages, jadis quand le temps me flatter et quand les moments me souriez, seul maintenant que je suis dénuder des ma compagnie, jadis où les temps étaient cléments où l’amour était permit, seul que je suis dans mes pensées et mes délires, seul que pour seul compagnon mes souvenirs d’hier et de demain, je me souviens d’une époque révolue où la passion était légitime où le verbe aimer était ultime où le vrai était pauvre et victime, je me souviens d’une hirondelle qui chantée l’avenir radieux et volée dans les cieux mélancoliques sans se souciée des corbeaux ou des vautours , je me souviens d’un ciel bleu clair et du soleil qui donné chaleurs aux cœurs blasés je me souviens des chants des sirènes et des battements de son cœur meurtri je me souviens de ce ruisseau d’eaux douces où les oiseaux venaient assouvir leurs soifs , je me souviens du jours où je l ’ai prise entre mes bras et d’un baiser d’amour on a échangés nos rêves fous, je me souviens quand elle me disait encor mon amour je ne me rassasie jamais de ta voix ni de ton sourire, je me souviens du jour où le tonner battez comme un canon de guerre et que l’éclair rendait nos nuits de lueurs leurrées, je me souviens des vents de l’est qui charmés notre passion et enflammés nos désirs , je me souviens de son souffle qui s’échoué sur mon visage et allumé mes envies, je me souviens de sa voix douce comme une brise souhaiter dans un été flambant, je me souviens de sa marche fier et majestueuse belle dans sa tenue et sa retenue , je me souviens du jour où elle a pleurer dans mes bras parce que elle avait peur de perdre ce quelle tenait, je me souviens du jour où son cœur qu’ elle a mis dans mes mains et ces yeux me caressés, je me souviens de cette nuit dont les séquelles sur mon dos sont gravées, je me souviens bien de ces longs moments de plaisir charnels et de nos démêlés passionnelles, je me souviens du jour où elle a tissait un foulards et a gravée mes initiales dessus, elle me l’a offert comme présent et moi dans ce présent j’ai compris, je me souviens de ses larmes qui tranchées ses joues rosées, elle regardait l’horizon et espérait l’amour eternel, je me souviens de son parfum de rose et de son cœurs souvent morose du manque de sa terre natale, je me souviens de ses insomnies quand l’amertume nous foulaient, je me souviens de ses levées matinale quand elle chantait des rimes du passé, je me souviens de sa caresse quand elle voulait me réveillé, je me souviens de sa douceurs quand les nuits froides nous enlacés, je me souviens de sa tolérance quand mon moral était aplati, je me souviens quand elle cueillait des fleurs pour garnir notre table a manger, je regardai ces fleurs et je ne sentais que son odeur a elle ma bien aimer, je me souviens quand elle allongeait sur l’herbe et regardait les oiseaux volés, je me souviens quand elle me parlait de son passé et de notre avenir accompli, je me souviens quand elle jouait de ses cheveux que dans les airs s’évadaient, je me souviens de son sourire timide et des ses lèvres de désir, je me souviens de ses yeux comme deux étoiles étincelées, je me souviens de son corps comme de l’ivoire blanc sculpté, je me souviens de mes ressentis quand a chaque regard échangé, je me souviens quand elle dormait comme une enfants sur mon tors et m’enlacée, je me souviens quand sur je mettais ma tête sur sa cuisse et je dégustait ce que le destin m’ai offert et le bonheur que je vivais, je me souviens et je ne cesse de me souvenir car elle était ce que de cette vie j’espérais
Elle était un bout, elle était un tout, elle était mon tout et elle le resterait gravée dans mon cœur et dans ma mémoire a jamais.
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Tous ces souvenirs sont magnifiques!!
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+1 avec nicole
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quand la nuit me couve comme un orphelin de son absence, quand j'entend le bruit de ses pats dans le couloir, quand je regarde les étoile le soir, c’est elle que je vois, sa présence est de souvenir ma vie est dans son empire
Merci a vs ma Nicole et Nouga
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Elle était mon amie...
Elle était là la belle demoiselle comme une terre fertile et généreuse de son regard profonds des leçons de vie surgirent et d'un sourire ou même d'un soupire la vie la racontée, pauvre de ses rêves elle écoutait la mer et le bruit des oiseaux qui a chaque levé de yeux y voyait des fragments de son petit monde volatilisant dans les airs qu'elle respirait.
Patiente cette terre belle de sa tenue, fière comme une montagne de Kabylie et d'une tristesse et d'une sérénité… dans ses yeux vastes comme les savanes d'Afrique, des contes de mille et une nuit j'ai lus.
Cette demoiselle que les rêves de son enfances lui tenait compagnie et que par nostalgie la rendait rêvasse et mélancolique, cette demoiselle aussi joyeuse que chagrinée était une douceur, par sa gentillesse et par sa compréhension et par son écho.
Un vrai soulagement et une compagnie de choix elle raconté son monde comme s'il s'agissait d'un autre monde que nous vivons réellement, elle avait la naïveté d'une enfant, le cœur d'une maman et la sagesse d'une vielle femme de notre profonde Algérie, un sens de l'humour exemplaire et une sagesse qui suit toujours derrière. oui cette demoiselle rebelle était contre toute tyrannie et s'acclamait folle dans ce monde qu'on prétendait sage, elle bafouait souvent les règles injustes et offrait au moment un sens et une odeur bien distincte, elle avait la magie, l'art et la manière…mais partie cette demoiselle, plus dans les sillages, je ne sais…je ne sais si cet ombre était de passage ou un simple mirage ou un naufragé sur mon rivage…je ne sais car souvent on néglige les petites choses qui donnent gout a la vie, parfois on cherche les geste grandioses de nous même en oubliant d'être nous-mêmes, cette âme nomade était pleine d'esprit, une clairvoyance et une clarté et avec modestie sans ce vantée elle donnait au moment un charme fou et une discussion toujours appréciée, mais parfois je la sentais réservée elle avait son jardin secret dans son petit monde a elle et dans ce livret de secret il y avait sa vie et tous ses rêves inscrits, cette fontaine de valeurs était là parfois abondante, parfois derrière son rôle d'espionne se dépensait pleinement pour ses proches , elle espionnait ses amis pour être a tous moments a leurs dispositions elle adorait être aimer par ses proches et donnée le même sentiment sans attendre un merci, belle amie qu'elle était elle choisissait ses paroles et s'élançait dans des débats philosophique et spirituel souvent émotionnels
Elle ne donnait importance aux choses matérielles ou luxueuses, elle aimait être retenue et posée oui car elle voulait donnée exemple comme elle aimait faire avec ses adeptes de tous les jours…elle était là présente et pesante cette fine âme, je ne sais quoi lui dire maintenant qu'elle est plus là , je ne sais si mes mots auront la portée de mes idées ou si mes idées auront la chance de portés mes sentiments, une chose est sûr mes paroles ne seront éphémères ni crues, elles seront sincère et spontanées, elles diront que le fond de ma pensées et les pensées de mon fond , charmante demoiselle cette amie que je cherche depuis mon absence , non par aisance mais les vents et courant variant d'une cavité a un sentier n'ont laisser au destin que le choix d'être seul témoin de son fait et les cœur serré du perdu n'ont de choix que de vivre dans l'oubli…
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bel ode a l'amitié
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"je ne sais car souvent on néglige les petites choses qui donnent gout a la vie, parfois on cherche les geste grandioses de nous même en oubliant d'être nous-mêmes"
j'aime beaucoup ta façon d'écrire très poétique
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Merci bien Nicole et a toi aussi mon ami nouga
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"...je ne sais si le cœur a pris dans cette foulé une carapace ou un bouclier afin de protéger sa douceur et sa pureté, parfois s'aventure menu que de beaux sentiments innocents et a la recherche d'un refuge, il croit toujours a la vie en rose, mais souvent il est triste et morose..."
Le coeur, siège de l'âme disaient des anciens... siège des émotions disent les modernes... en tout cas, il a mal ou il est bien... Beau temps, mauvais temps, il bat le temps de notre vie.
Bienvenue !
Ici, on a du coeur !
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Pierre K a écrit:
"...je ne sais si le cœur a pris dans cette foulé une carapace ou un bouclier afin de protéger sa douceur et sa pureté, parfois s'aventure menu que de beaux sentiments innocents et a la recherche d'un refuge, il croit toujours a la vie en rose, mais souvent il est triste et morose..."
Le coeur, siège de l'âme disaient des anciens... siège des émotions disent les modernes... en tout cas, il a mal ou il est bien... Beau temps, mauvais temps, il bat le temps de notre vie.
Bienvenue !
Ici, on a du coeur !
Bonsoir et merci « l’ami du cœur » pour cette belle réplique
Le cœur il est physique moral et mystique il est le distributeur de nos sentiment et de nos penchants, il amine souvent nos geste les plus moindre et les plus passionnels , parfois dans l’aisance il vie et il danse parfois le chagrin le domine,,, et même dans cet état de cœur blasé parfois par les caprices de la vie ou d’un amour perdu, il trouve force pour nous inspiraient, il refoule ses ressentis, il demande a être gai il demande juste a être aimer
Dernière modification par Hypo_Crazy (02-08-2010 04:13:04)
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Elle est là...
Et dans la nuit qui m’emprisonne quand je contemple le ciel et dans ces vastes étendus j’espère voir mon étoile , elle est la toujours en face de moi , je la vois me lancée des étincelles comme si elle me faisait des clin d’œil pour me charmer ou me lancer un cri de solitude, elle est la je la vois cette belle étoile qui guida mon âme tant d’années et de nuits….belle mais aussi rebelle car même si les temps sont de nuages ou mon cœur vire sur son rivage elle persiste a être ma présente, elle garde ce que les jours de jadis ont laissés derrière mon oubli, elle protège ma passion pour elle car elle a si besoin de mon adoration et me file chaque nuit, des heures de bonheurs anéantis par un passage de brume ou par un mirage d’amour … je ne sais pas si cette étoile est mon âme sœur ou elle est la lueur qui me guide vers le saut, je débute ma soirée par cette fin de journée pesante de vécus et dans la foulé de la vie, je pause ma plume sur la table d’un tête a tête et ma feuille blanche mais pas pour longtemps , je m’assoie face a l’autre chaise inoccupée, je regarde le siège libre de sa présence, je la vois cette étoile qui arracha mon cœur et laissa mon âme rôder autour d’elle , belle qu’elle est , fière de son allure et joyeuse de sa tenue, une vraie dame de cœur, mais les temps n’ont donnaient raison a cette mélodie, les temps porteurs d’instants planants parfois et de peine même si elle est dissimuler, j’écris mon premier mot et puis un autre et puis d’autres et je ne sais sur quel quai accoster, j’arrête, je me lis , je me dis et je regarde encore le siège vide se son pesant d’or, une belle âme que les tracas de la vie l’ont laissé, pauvre de moi, pauvre d’elle nous nous consumons en paroles redites, je me relis encore une fois j’essais de me corriger ; mais bon j’aime mes erreurs presque aussi bien que mes exploits je ne sais d’ailleurs pourquoi mais je sais que chaque erreur est une leçon et chaque leçon est un enseignement et ce dernier c est notre expérience acquise, et je me remet a écrire je ne sais déjà pourquoi j’écris, pour moi ? ou pour elle ou tout simplement pour dire et ne pas ce taire dans ce monde assourdi, même si je le voulais je ne pourrai me taire même mon étoile me le dit « bavard que tu es » oui nous vivions dans la bonne heure et dans l’amour qui nous unis , elle était la ma belle dulcinée dans le ciel noir son reflet était une joie mystique et dans mon cœur une reine unique, elle rester a me regarder écrire elle aimait me lire parfois quand elle était fatiguée je lui faisais la lecture , elle aimait ma voix et être son roi.
Belle ma bien aimer dotée d’un cœur en or et d’une âme fine qui ne connait la rancune ni l’impureté, ses yeux de rêves me lancés dans un délire fervent, et sa bouche miel de ma passion, elle était douce aussi comme la terre de notre pays ou un cœur généreux d’une mère protectrice ; une terre fertile que les caprices de la vie ont abusées, mais elle tient le coup malgré tous….je la vois rayonnante et d’un éclat qu’elle seule pouvait refléter a mes yeux , a mes sens et a ma raison, je parle de raison car je l’ai aimer par mon cœur et par ma raison ils étaient en harmonie, un amour tous ce qu’il y a de joie, de gaité et de plaisance, elle est la ma belle comme un rêve lointain, comme un beau chemin, comme un radieux demain elle est la et je sais qu’elle me reviendrais de son exile non souhaité.
Dernière modification par Hypo_Crazy (02-08-2010 04:24:59)
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tout est dans l'art de la narration de la description
bravo l'ami
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L'oubli
Le mal où je réside, ces flots de pensées qui m’envahissent a chaque moment d’oubli, des pensées du passé, mais aussi de l’avenir incertain, des rêves bâtis dans l’esprit atteint de monotonie et de paresse , la où je me trouve seul face a mes souvenir qui parfois m’alourdissent et me fatigue car même dans les bons de jadis il y a la nostalgie et parfois le regret, je me demande en restant devant ce papier blanc que je veux déchirer mais je n’ y arrive puisque mon confident, mon échappatoire et mon ami qui ne me trahi jamais et moi je reste accablé par ma plume qui en a sur le cœur et de mes replis, elle est humide car parfois j’écris, j’écris le mot, j’écris ce qui me passe dans l’esprit sans me dire pourquoi j’écris, une sorte de déchainement sur les mots, sur mes maux …surtout sur l’oubli.
cette fois je me résigne a lire dans mon écris, je me domine et je prends ce que me reste dans ma mémoire qui s’ouvre comme un livre par magie, j’écrirais mes mots d’une couleur sang sans avoir du repli, j’écrirai l’histoire de mon monde, je raconterai les heures de ce que la vie m’offrît, j’écrirai l’amour que j’ai perdu, j’écrirai le conte de cette belle que j’ai aimé, celle qui dans un jour banal m’a charmer , elle a eu raison de mon cœur et de mes pensées, celle qu’inspire toujours du chagrin mais aussi un bout de ma vie, cette femme qui avait le don d’aimer mais aussi de châtier par ses évasions incomprises je ne sais, car loin dans le vaste nous étions deux a nous aimés, on ce disaient des mots d’amour, notre humeur était joie et humour, ont ce disaient des paroles de cœurs, ont étaient affranchis et ont nageaient dans le bonheur, aucune réticence, aucune peur,
Meurtris ce cœur qui cri son malaise, qui chante le chant du rossignol incompris… on dit qu’on lui crève un œil quant il est petit cela pour qu’ 'il pleur, ses pleurs sont le chant que tout le monde apprécie, ou bien il espère ce cœur même si la raison oublie,
Mais Dieu est grand par son pardon, par sa miséricorde et jamais il n’oubli
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je ne connaissais pas l'histoire du rossignol a qui on creve un oeil, mais je connais vaguement celle du poete qui se lamente parce que sa belle veut une rose rouge, alors qu'il n'a qu'un rosier blanc. Un rossignol l'entend, et se perce le coeur d'une épine du rosier en chantant, pour que le rosier devienne rouge.
le rossignol en meurt, le poete est heureux et offre la rose rouge, mais la belle n'en eut pas non plu, et le poete la jette...
(du moins c'est le souvenir que j'en ai)
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Que dois-je faire
Que dois-je faire pour te plaire
Décrocher la lune ou émettre de la lumière
Pour quoi ton cœur a si peur
Pourquoi tu blesse mes profondeurs
Est-ce d’aimé ou de m’aimé ou tu vis dans la douleur
Pourquoi tu ne vois la vie avec ses couleurs
Pourquoi ces sauts d'humeur
Ou l’inconnu et le doute ont pris de l’hauteur
Que dois-je faire pour te plaire
Me lié de tes chaines ou de me défaire
Pourquoi cette rage et cette fureur
Pourquoi soudain notre route est devenue moins claire
Ou sont passés ta tendresse et ta douceur
Ou est passé ta force de caractère
Est-ce notre destin de vivre ce malheur ?
Que dois-je faire pour te plaire
Soulever les montagnes ou irrigué les rivières
Je voudrais vivre l’amour non pas la misère
Je voudrais bâtir notre avenir pierre par pierre
Est-ce qu’ont à droit au bonheur ?
Refais tes calcules et dis le moi... je saurais quoi faire
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vas y fonce batit avec tes mains des murs de pierre pour abriter votre amour
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j' y fonce mon ami sans relâche
merci nouga pour ton encouragement
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Que je suis contente de te revoir ici! J'espère que tu vas bien
Merci pour tes mots touchants sous mon texte
Amitiés à toi
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Merci chère amie, je vais bien et j’espère que toi aussi , ça ma manqué l'ambiance du forum et aussi tes belles paroles ainsi celles de nos amis, je suis revenu et j'avoue que je sens que je n'est jamais quitté..
mes amitiés Nicole
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Le feu de notre désir
Sous une nuit sombre éclairée du feu de notre désir
Nous contemplons nos rêves, nous nageons dans le plaisir
Je lui fais gouter l’instant de l’amour elle me regarde avec le sourire
Je vole dans mes envies comme un oiseau de bon augure
De passion je tien sa beauté elle la reine et moi le vizir
Je prends comme je donne les moments de loisirs
Je frôle les parois de son cœur elle se met a gémir
Je la regarde dans les yeux quand le bien la fait souffrir
Elle me regarde dans mes yeux et caresse mes sentiments pour m’adoucir
Dans son profond je veux être et m’engloutir
Nous sommes en fusion et nos corps comme nos cœurs se mettent à se réjouir
L’instant est inégalé, mon esprit comme mon âme sont prêts à fuir
Ont oublis, ont s’oublis et de la vie ont veut jouir
Ont ce promets que nous nous aimerons a en mourir
C’est un amour fou qui nous lie, pas le temps d’un délire
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Bravo a cet amour!
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Merci a toi Nicole
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[bDans tes yeux...
Dans tes yeux je meurs et je revis
A chaque regard désireux ou d’envie
Dans tes yeux je largue mes soucis
Je nargue la mal vie
Dans tes yeux le bonheur se dit
Moi l’heureux que mon cœur a prédit
Dans tes yeux … du destin je fuis
Sur ton rivage moi le naufrager je te vis
Dans tes yeux ma souffrance s’engloutie
Je te regarde, tu me souris
Dans tes yeux je te vis sans autrui
Je te touche tu m’adoucie
Dans tes yeux ma passion grandit
Mon âme a enfin trouvait répit
Dans tes yeux le feu brandi
L’amour est mon seul délie
Dans tes yeux je trouve mes esprits
Je puise de ta beauté et je ne fléchi
Dans tes yeux ce trouve l’étincelé qui m’embelli
Jamais de toi je ne me rassasie
De tes yeux mon âme se nourrie
Je t’aime autant que les goutes de la pluie
][/b]
Dernière modification par Hypo_Crazy (21-03-2011 13:10:20)
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encore une fois très joli
tu devrais aller voir les textes sur l'amour de ViktorbyDDP (absent pour le moment hélas), ils devraient te plaire
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Merci ma chère amie j'y manquerais pas
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Ma belle
Tes yeux qui m envoutent
Et me lancent dans l’oubli
Ton nez qu’il est beau
Sculpté dans du marbre d’Italie
Tes lèvres qui dessinent
Ma passion et ma folie
Tes cheveux qui voyagent
Dans mon âme à l infini
Tu es la brise dans mes nuits d'été
Un souffle chaud dans mon hiver glacial
Ton cou désir de mes lèvres mouillées
Ta poitrine où j’ai gouté le fruit interdit
Ton ventre presque plat
Courbé d’une féminité
Tes hanches qui m’arrachent de ma réalité
Tu es la lueur de mon beau soleil
La lumière de ma pleine lune
Tes jambes longues d’une beauté
Tes pieds sur tes talons comme des lames aiguisées
Tu es mon océan de bonheur
Je suis ton vase et toi ma seule fleur
Tu as pris les trois tiers de mon cœur
Mon âme cavale dans ta douceur
J’ai peint mon monde avec tes couleurs
J’ai pris congé de mes douleurs
Je t’aime avec passion et ardeur
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