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Ma ville, tu crois que je l'aime, que je la sublime
mais la haine et la violence l anime.
trou de bitume ou regne l incertitude
je n en supporte plus aucunes attitudes
Les rues sont sales, les batiments degradés
l atmosphere lourde et l'air pollué
le sport national n est pas le football
mais les cavales ryhtmées par tirs de flashball
il est finit le temps des parties de cartes à la Pagnol
maintenant c est arrachages de sacs et vols de bagnols
les femmes sont oppressées,agressées,violentées
et dans les rues elles n'osent plus s'aventurer.
ici je me sent cloitré, enfermé, emprisonné,
une seule chose guide mes pensées, m'évader.
marre de subir, je dois partir.
Ma ville, tu crois que je l'aime que je la sublime
mais la haine et la violence l'anime.
trou de bitume ou regne l'incertitude
je n'en supporte plus aucune attitude
c'est vrai je suis un peu severe,surement trop dur
ici il y a la mer, la verdure, et un beau melange de culture
tout ça ne sont que des mots, limite demago
ici les meres saturent, leur minots n'ont plus de futur
ils sont dealeurs de coco ou derriere les barreaux
et dans cette épaisse brûme assassine
je ne retrouve plus mes racines
j'ai les idees tres noires, je le reconnais
mais loin d'inventer une histoire,c'est la triste réalité.
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c'est ou ta ville dans le sud on dirait , si c'est le cas je sais que ce que tu dis est vrai , mais il y a pleins d'autres façons de voir sa ville
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Trés joli texte
Mais faut toiujours essayer de voir les bons côtés
En tout cas, tu as trés bien décrit cette partie que de plus en plus de monde n'arrive plus à supporter.
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