Vous n'êtes pas identifié.
Les temps sont incertains
Mais de tous temps il en est ainsi
L’homme aime bien les soucis
Etre son propre ennemi
Aussi il se nuit
Ne reste jamais au repos
Veut se prouver qu’il est costaud
Parie sur son avenir
Sans assurer son plaisir
Préférant sa biographie
A l’instant qui vie
Le miroir le rassure
Ou lui fait injure
Ne cessant jamais de s’interroger
Sur des futilités
Alors que l’essentiel
Est pour lui artificiel
Le temps le voit si fragile
Face à l’éternité il vacille
Se rassurant par des conquêtes
Qui ni non ni queue ni tête
Il brule son capital
N’a pas compris ce qui est vital
Ses idées sont immédiates
Il ne retient pas les dattes
Quand serat’il assagi
De ses courses dans l’oubli
De trop s’illusionner
Croire aux banalités
Son chemin devrait le faire réfléchir
Mais il se contente de partir
Vers un monde irréel
Dont il ne voit que le virtuel
S’il n’est point sur
Il se construit dans la rupture
Son temps est compté
Dans pas longtemps désagrégé
Resteras que des cendres
La terre sera tendre
Le souvenir un songe
Le futur sans mensonges
L’homme renaitra
Il réapprendra
Enfin prêt pour s’épanouir
Et de la vie jouir
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La fois dans l'Homme dans son pouvoir de réagir au destin qui lui est promis, espérons seulement que sa cupidité de l'emmène pas à sa fin, à dédaigner la terre qui le porte, celle qui l'a toujours nourri, pourrait un jour, si rien n'est fait se retourner contre lui, en lui donnant faim.
Il est temps de consacrer un peu d'attention à ces subtilités, car lorsque que le processus d'infertilité aura débuté, qui sait où cela va nous mener...
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austral-didjeridu a écrit:
La fois dans l'Homme dans son pouvoir de réagir au destin qui lui est promis, espérons seulement que sa cupidité de l'emmène pas à sa fin, à dédaigner la terre qui le porte, celle qui l'a toujours nourri, pourrait un jour, si rien n'est fait se retourner contre lui, en lui donnant faim.
Il est temps de consacrer un peu d'attention à ces subtilités, car lorsque que le processus d'infertilité aura débuté, qui sait où cela va nous mener...
Je ne sais plus le nom de cette petite île qui est morte il y a quelques années par la faute de l'homme.... Une génération, une seule, a pillé toutes les richesses du sous sol, et par le meme geste a détruit le sol aussi
Ils ont étés riches, très riches un temps très court, et maintenant, tout est mort... un énorme désastre écologique, et les jeunes n'ont pas de moyens de survivre, hormis l'exil.
On a interrogé une femme de ce temps là en lui demandant si elle regrettait ce qu'ils avaient fait
sa réponse a été "oh non, c'était bien, d'être riche!"
No comment.......
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Vaste Sujet Vaste Debat Sur L'homme Est Sa Capacite De Nuisances
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Ouais, la cupidité de l'homme.
Toujours, toujours plus !
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