Vous n'êtes pas identifié.
Tu veux savoir ce qui est dans ma tête?
Facile ça fait un an maintenant
Et je vais te dire sincèrement
Plus envie de faire semblant
De donner du temps au temps
La souffrance est bel et bien lÃ
Le regret ne s'estompe pas
J'ai essayé d'y mettre un chut
Mais brutale a été la chute
Les souvenirs sont forts
Trop lourds pour mon corps
Trop surtout à porter
Quand tu peux pas oublier
L'histoire la plus triste de ta vie
Celle concernant la femme de ma vie
Du moins c'était un espoir
Et le plus beau qui puisse être
Devenu bien-sûr un désespoir
L'acte de mon mal être
Dans sa phase terminale
Car avant tout sentimentale
Ce qu'on ressentait
Pas besoin d'être parfait
ça aussi on savait
Ce qu'elle et moi on avait
On se le rendait
C'est ce qui nous rassemblait
Finir par accepter l'autre
Sans en être un autre
Une putain de force
Qui s'est arrêtée à l'écorce
Laissant des larmes d'amertume
Je ne suis plus qu'une écume
Mais pourtant faut que j'assume
Que je me relève de cette tristesse
Que j'arrête ce mélancotest
Mes nuits n'en sont que blanches
Je pars en petites tranches
Dans ces vielles tranchées
D'où l'on en revient balafré
D'une tristesse plus sûre
Au coeur et inaltérable
Que l'énorme blessure
Sur la joue passable
Dans ma tête...
Tout n'est que fête
Dédié au cimetière de ton absence
Dima nos séquences
Me cause du tort
Où je vais je te vois
Et cette vague me noie
Tu es liée à mon corps
Comment pourrais-je t'oublier?
T'arrivais à me bonifier
Mais le travail reste inachevé
Une de ses romances encore
Qui finissent en mauvais sort
En même temps si profond
De mot vraiment trop long
Que cette première partie
Au goût amer de Paris
Ne peut être totalement écrite
Trouver je dirais de limite
Tant de choses à te dire
J'ai pas connu pire
C'est même plus que ça
Sans toi je ne vivrais pas
J'aurais beau le nier
Mais au fond de moi
Ya quelque chose de changé
Et ça dès la première fois
Que l'on s'est croisé
Tout a commencé à cet instant
Depuis j'y ai pensé souvent
Une impression de toucher le ciel
D'atteindre le 7ième ciel
Voilà mon coin de paradis
Une impression de descente en enfer
Prendre le goût de la terre
Voilà mon coin maudit
Jamais de bien sans mal
Au final un amour viscéral
Qui chaque jour me fait payer
Car j'ai voulu inventer,
Pour te plaire
T'écrire mes plus beaux vers
Je n'ai pu faire autrement
Je t'aimais extraordinairement
Toujours le cas évidement
Mais tellement fort
Que j'en ai été une cible
Pas d'autre chemin possible
ça signa mon arrêt de mort
Une hémorragie interne
Que je retranscris de manière terne
Un masque comme sourire
Souffrir sans pouvoir le dire
Un fardeau porté sur mon dos
Qui pouvait s'éviter
Et t'as préféré le retarder
Jusqu'à me détester
Terminer là l'incommençable
La roue non favorable
Dans ma tête dima
Un nuage noir qui ne s'en va
Le film se rembobine
Comme les coups de la lame fine
Sur mon torse qui m'a tué
Car même prêt à changer
Ca n'enlèvera ce que tu as laissé
C'est ta trace indélébile
Et ce que tu as emporté,
Ma vie! sans toi débile
Dans ma tête...
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Dans ma tête pendant un an et demie j'ai repensé à ma plus grosse connerie d'avoir laissé partir sans rien pouvoir faire la chou de ma vie du moins dans ma tête comme je le dis si bien...
La biiz ensOleiillé
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Y A des passages que j'aimes bien.COURAGE;a plus ,bises;
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merçi elise heureusement que t'es là !! (k)(k)(k)(k)(k)(k)(k)
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