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Je n’aime pas, ne pas recevoir des primes, rien qu’à y penser ça m’déprime,
même si de prim’abord, je n’ai rien fait en amour qui vaut de l’argent ou de l’or,
j’exprime un discours politiquement correct, je n’suis pourtant pas intime avec Delors,
pour qui sucer n’est pas tromper, mais qui dit que l’éthique conjugale le réprime !!!
Alors sans susciter l’adhésion, je me pose en sus, quelques questions :
les relations à l’autre ne seraient-elles pas en fait une succession de tentations,
faites de regards voyeurs, envieux, indiquant en fait trop d’attention,
ou, de regards ailleurs, parcellaires, malheureux, faits de manque d’affection..
L’argent en question ? A ce qu’on dit, le bonheur est aussi simple qu’un coup de fil,
faut-il encore avoir payé son téléphone, son abonnement, ne pas laisser l’autre attendre en file.
Ma chance surnaturelle a fait surgir « Claire », qui est claire dans ses pensées,
et qui dorénavant éclaire mon atmosphère austère de clerc de notaire. Sans oser me taire,
c’est un orage éclair qui m’a fait la rencontrer, du coup, un coup de foudre m’a transformé,
car passant à ses cotés, son charme m’a émoustillé et par réflexe lui ai cueilli des pensées.
Elle, pour compenser, ne cessera plus de panser mon âme désœuvrée à ne rien faire,
timide, je pensais l’être, jusqu’à ce que la chaleur des émotions porte mon cœur à ébullition,
je m’en suis presque brûlé ! Et si mon cœur avait lâché là , son bouche à bouche aurait été d’une passion !
Mais, plus besoin de chercher des mots, de coller des expressions, pour appeler son attention,
je pends ses lettres, ses mots aux cordes à linge de mon cœur et aux vents de mon inspiration,
elle me répond d’un air moqueur qu’elle n’a pas encore atteint sa date d’expiration,
péremption de demain sera-t-il encore l’heure, de lui monter avec mérite toute mon affection ?
Question subsiste : faut-il jamais remettre à demain ce qu’on peut faire le jour même,
faut-il se projeter plus loin que de raison, elle-même n’est pas sûre que le plus fort est raison,
pour l’heure, doit-on partager ensemble sans se connaître tous les jours de la vie, si elle m’aime,
je ne peux penser sereinement le ventre vide, je vais aller me faire un sandwich au beurre et jambon.
Parme est ce soir la couleur de sa robe, je vais essayer de ne pas faire le cornichon,
peint à la main au niveau du cœur, peut-être son gardien, l’ange tire avec son arc les flèches,
qui m’atteigne à la jambe certes, mais à ce qu’on dit : faut mieux deux Jean bons qu’un mauvais,
vert empennage des flèches, le bison est futé, je laisse des mots d’amour pour elle partout où je vais.
En morale, il faut se dépêcher avant d’être vieux de se poser ce genre de questions,
car la vie file sous nos yeux et quand on se retourne, on a déjà plus vingt ans.
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JE SUIS sure d'une chose c'est qu'anatomiqement dans le coeur il y a une partie appellée pilliers,et je crois aussi qu'il y a des cordages.Quand tu dis que tu pends des lettres des mots aux cordes a linge de ton coeur,çà me donne envie de decouper des grandes lettres dans du plastique et de les pendre dans mon jardin un truc du style j'aime mes chats.LES QUESTIONS QUE TU TE POSES SUR LES RELATIONS AU AUTRES AVEC UN OU NON EXCLUSIF JE SUPPOSES SONT TROP GENIALES.
have a good day!
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Que c'est joli, cette claire lumière qui t'éclaire!
Le secret est peut être de ne pas se poser de question, et de suivre son coeur, la vie est si courte...
Les piliers et les cordages dont Elise parle doivent savoir ce qu'il font...
Les lettres que tu pends à ton coeur me rappellent un extrait de D. Bauby "le scaphandre et le papillon" que j'ai posté dans "lecture croisée"
Quelles fassent trois lignes ou huit pages, qu'elles viennent du lointain levant ou de Levallois, je garde toutes ces lettres comme un trésor. Un jour, je voudrais les coller bout à bout pour faire un ruban d'un kilometre qui flotterait dans le vent telle une oriflamme à la gloire de l'amitié
ça éloignera les vautours
voir ici un plus long extrait http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … 445#p50445
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question about your life
pourqoui t'étais si demuni , et elle est apparue( pas la la vierge) mais la femme de ta vie
pour ton bonheur
Dernière modification par nouga (02-08-2009 10:33:26)
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Merci à vous des commentaires amicaux, d'un texte que j'ai hésité à posté car je ne le trouvais que très moyen à la relecture.
Pour mon cher Nouga, ceci est une histoire bâtie sur trois mots à la base, prime, pensée et claire.
Car, claire est la prime pensée qui éclaire en prime dans ta pensée, ton future proche.
En aucun cas, ça ne reflète ma vie, c'est la description d'un instant de vie qu'on voit par là en errant ou bien par ci.
La société s'individualise peu à peu, les activités de célibataires n'ont jamais aussi bien marchées. La timidité de chacun n'est pas la seule en question.
Mais, pour des questions d'égalité, j'espère qu'un jour, la gente féminine n'attendra plus le premier pas des garçons et que toute cette morale, toute cette antique instruction sera bannie pour toujours dans notre foutue éducation.
Nota : dans la culture Maori et Aborigène on ne trouve pas ce genre de sensibilité.
Dernière modification par austral-didjeridu (02-08-2009 12:41:15)
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Tout en subtilité ...continue d'écrire Austral !
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