Forum Grand Corps Malade et slam

Malgré toute ma hargne je gonfle des ballons
des girouettes je tourne, je joue avec les cotillons
Je m'occupe des moulins, des armoires à chanson
Sans moi aucune voile, ne passera le ponton.

Mon ami le soleil, aime bien me caresser,
Et devant son éveil, je préfère me calmer.
J'attends qu'il tombe, qu'il se couche pour me relever
Je pousse les tempêtes, les nuages vont se baigner.

Je suis vent de folie, courant d'air sans pluie
Je suis celui qui lèche les flammes des incendies
Je n'ai pas de pitié, j'avance sans vergogne
celui qui barre ma route, d'un souffle je l'assomme !

-Si des voisins, habitant hors de la bannalité étaient venus moudre au moulin banal, et pendant plus de 40 ou 50 ans, le seigneur n'aurait-il pas acquis la prescription contre eux ? Et ne pourrait-il pas les contraindre à y venir moudre ?
-Non, quand même ces voisins seraient venus au moulin banal pendant 100 ans. La raison de décider est que le seigneur n'a aucun droit pour assujettir ceux qui sont hors de sa bannalité: il n'a aucune jurisdiction sur eux; par conséquent il n'a pas la puissance publique pour leur ordonner, leur enjoindre et leur défendre. Les habitants qui auroient été pendant un si-long temps au moulin du seigneur voisin, seraient présumés en avoir ainsi usé jure familiaritatis: or, comme on dit, "courtoisie n'engendre pas prescription".

Source: "Traité des droits seigneuriaux et des matières féodales", par Noble François DE BOUTARIC, Toulouse, 1775, pages 371 à 384

Morale: Choisissez bien vos moulins et les seigneurs a qui vous vous rapportez! Ne donnez pas tout votre bled sans verifier vos allégeances et obligations!

Bon je sors...

hu ?

loool papi

   "T'as de beaux cieux tu sais"   

Je t’écoute à chaque fois
Que tu caresses mon lobe,
Et même des fois je t’aperçois
Tout au début de l’aube.

Tu sais trouver les bons mots
A ceux qui adorent t’écouter,
Et parfois tu souffles sur les maux
Qui stagnent tous à tes côtés.

Moi j’aime t’entendre parler
Car après j’ai des petits frissons,
J’aime arpenter ton grand palais
De douceur et tout en chanson.

Même quand j’ai un coup de blues
Tu me redessines un petit sourire,
Tu soulèves doucement les blouses
Et les jupes par un petit zéphyr.

T’es même présent quand j’ai chaud
Quand les suées suintent sous ma soie,
Tu nous envoies à l’aide de ton lasso
Des ondes d’onctions qu’on s’octroie.

Tu siffles les mélodies qu’on désire
Dans un soupçon d’inertie et de silence,
Moi je te rêve comme un loisir
Où sur ton échine je me balance.

Tu es peut-être une source de rêve
Une source doucereuse qui nous habille,
Tu es notre mélodie qui vit sans trêve
Et qui chaque jour nous ravit.

Merci

Je remonte ce jeu, si ça inspire les nouveaux.
Je rappelle qu'il s'agit de s'inspirer de l'image pour écrire quelque chose, en prose ou en vers, comme il vous plaira (et il y a aussi un jeu "image imagine 1" qui se trouve en 2eme page)

imaginez une jOlie petite maison dans un jardin  ou il y a tellement de vegetations de fleurs d'arbustes et d'abres qu'ils font corps avec l'habitation
c'est l'image sur la couv du livre que je lis actuelement
JOURNAL DE MON JARDIN ZEN DE JOSHIM LUCE BACHOUX QUI EST NONNE BOUDDHISTE
DES PETITES NOUVELLES RAFFRAICHISSANTES

Dernière modification par nouga (20-07-2009 19:44:35)