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Marilou a le don de poser de jolies questions dans le jeu "question au suivant"... Une seule réponse me laisse sur ma faim, alors je vous propose de continuer ici de parler de la mer....
Dans quel état préférez-vous la mer?
Et hop, encore une fois, c'est parti pour le rêve, tout le monde à bord, départ immédiat (enfin...à votre rythme)
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Ne sachant le quel de ces deux textes est mon préféré je vous donne les deux
sekaijin a écrit:
Voyage sur l'océan onirique de mes pensées.
Je voulais vous inviter à venir de vos rêves
Voguer sur l’océan onirique de mes pensées,
Vous offrir une balade comme une trêve
Un voyage magique par les vagues bercé.
Simplement vous faire entrer dans cette anse
Aux eaux claires et limpides comme un espoir,
Les rêves immortels d’une petite enfance
Qui viennent lécher tendrement les rives du savoir
Délivrant à chaque ressac, sot lot de plaisir
Vous portant sans cesse vers la lumière
Qui vous grandit d’un monde comme un désir.
Et vous apaise comme la nuit première.
Vous y ferez une rencontre aventureuse
Car non loin de ce savant rivage
Mouille l’ancre d’une nef majestueuse
Reliée au verbe traçant son sillage.
Je vous dirais de redoubler de prudence
Car outre le verbe et le savoir en cette baie
Qui vous porte vers la lumière si dense
De la science comme un univers éthéré.
Tel un ogre vorace tourbillonne un puits
Qui emporte vos âmes à jamais perdues
Vers le néant. Alors la mémoire s’enfuit
Et sans elle votre être se trouve dépourvu.
Mais c’est au sein de ce repaire de pirate
Qui m’emprisonna à m’effacer de ce monde.
Me lamina, dans la douleur comme une pâte
M’apporta. Exposa toutes les âmes des hommes.
Alors n’hésitez pas à vous approcher
Son gouffre béant vous donnera le vertige
Et la douleur si intense que vous toucherez
Vous explosera d’une vie que rien ne fige.
Alors je vous inviterer, comme par le passé je le fis
À quitter la délicieuse baie de la petite enfance
Gardant peut-être pour toujours son goût de la vie
Enfoui en vous comme une trop courte errance.
Les périls qu’il vous faudra affronter ne seront pas toujours
Une partie de plaisir, mais sachez que cette mer agitée
Fut celle d’une âme bien trop tôt adulte prise sans détours
Dans les filets d’un corps d’enfant qui alors retenait sa liberté.
Dans ces eaux sombres et agitées,
Bousculé par les vagues, d’une nuit sans âmes,
Simplement du savoir accompagnée
L’errance sans retenue se pavane.
Vous éloigne de toute source de désir
Vous écrase autoritaire de son poids insurmontable
A rendre le noir de l’eau dur comme un saphir
Et votre âme froide, au-delà du supportable.
Sans horizon, sans vue, sans avenir
Il ne reste que la dure houle de néant
Pour creuser l’espoir d’un devenir
Et se construire encore et encore céant
Dans cet océan sans l’âme d’un homme,
Où la douleur et rejet semble être la règle
Vous accompagne toujours comme un songe
Le savoir éthéré si fort et pour tant si frêle.
Ne vous fiez pas aux apparences
La douleur d’être loin des hommes
N’est pas sans apporter quelques espérances
Qui vous porte tout au long de ce somme.
Alors vous connaitrez l’aveugle fureur
De ce monde en vers les étrangers,
Ce méthodique, et implacable tueur
Qui fait courir sur vous tous les dangers.
Mille fois vous croiserez la patiente mort,
Mais pour avoir naviguer sur cette froide mer
Je vous guiderai sur les vagues retords,
Vous montrez son éclatante beauté de fer.
Alors je l’espère tout comme moi
Vous quitterez ses eaux troubles
Envers les hommes une immense foi,
Gonflée de force, Et l’espoir qui redouble.
Ayant croisé en si peu de temps
La mort, la vie, le savoir, et le néant
Il vous faudra une pause un peu de temps
Avant de reprendre la route tranquillement.
Car si j’ai passé tant de temps à ainsi errer
Il ne fut vain de parcourir ces océans
Mon compagnon de toujours me guidait
Le savoir ne cessa d’être là devant.
Je voudrais vous inviter à venir de vos rêves
Glisser avec moi sur les vagues magiques
D’une mer qui est devenue ma sève
Un espace palpable, et pourtant onirique.
On y entre par une représentation
Si parfaite qu’on croirait l’original
De notre univers encore en gestation
Comme un tableau peu banal.
Mais rapidement ses vagues nous emportent
Vers d’autres regards sur le monde
Vers autres choses qui nous transportent
Qui avec nous glissent et se fondent
Les milles reflets de sa surface
Tissent cette toile de l’abstrait
Qui doucement ce monde efface
Pour révéler l’univers en son entier.
Chaque vague, chaque relief
Se transforme en abstraction
Nous révèle son antre son fief
Jusqu’à exposer cette construction.
Plus on avance sur cette mer calme
Plus le monde se dissout
Plus abstraite se fait son âme
Jusqu’à nous dire tout.
Alors l’univers entier prends corps
Dans le moindre espace, de cette houle
S’expose et nous montre plus encore
Jusqu’à former une immense foule.
Il prend alors l’envie de plonger
Toujours plus profond dans l’abstraction
Si fertile, pour y finir noyé
Riche de tout l’univers en action.
Sa construction cristalline, et parfaite
Semble enfin offrir les limites du monde
C’est alors qu’explose toutes ses arrêtes
Pour former en nous un tout autre monde.
Comme si son pouvoir sans limite
Gravait en vous de l’univers la patience
Cette mer seulement vous imite
Pour construire en vous sa science.
Il sera alors temps de quitter assagit
La mathématique, et son art abstrait
Pour suivre la vague, et prendre du gît
Vers l’horizon et tout ses attraits.
Je voudrais vous inviter à venir de vos rêves
Caresser, avec moi cet archipel des hommes
Perdus dans ces océans aux fureurs sans trêve
Pour doucement pénétrer leurs sommes
Vous montrer en chacun d’eux l’univers
Qui sur l’océan onirique de leurs rêves
Se reflète, et inscrit son empreinte de fer
Comme une symphonie qui jamais ne s’achève.
Je ferais découvrir les mille baies de leurs songes,
Portés par les vagues immenses, qui agitent
Encore d’une force incroyable le monde
Qui en eux assoupit les habitent.
Je vous montrerais volontiers ce précieux germe
Qui nous arracha hier de la jungle sauvage
D’une main délicate, douce, et ferme
Pour nous faire entrer dans un nouvel âge.
Alors nous prendrons le large, sur un océan
Au clapot apaisant, qui embrasse les hommes
Dans ce qu’ils ont de plus précieux céant
Ce qui fait tout leur âme en somme.
Cette infime goutte de l’univers,
Que par magie, nos rêves seuls
Nous montrent par leur travers
Et nous relient à tous nos aïeuls
Je voulais vous inviter à venir de vos rêves
Voguer sur l’océan onirique de mes pensées,
Vous offrir une balade comme une trêve
Un voyage magique Vers notre humanité.
A+JYT
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sekaijin a écrit:
Meiji, la mer
Que j’aime à plonger
Doucement dans tes profondeurs
Humides et chaudes
Pleinement m’envelopper
De toutes tes douceurs
Comme une ode
Sentir monter et descendre
Ta magnifique puissance
Jusqu’à m’emporter
De toutes mes cendres
Telle une renaissance
Me porter à rêver
De cette magistrale houle
Jusqu’au bout de moi
Sans effort, tu me transportes
Au-delà de toutes foules
Tu prêche en mon émois
La force de la vie, m’apporte
Combien j’aime ce soutien
Qui me berce à ta surface
Et me dérive de cette terre
En ton cœur tout aussi bien
Tout au fond je trouve place
Alors que mon âme erre
Pour ta douce clameur
Pour ta tendre fougue
Je me perds pour toujours
Avec la rage du rameur
Je m’encre dans ton joug
Comme mon acte d’amour
Porte-moi de tes effluves
Envole-moi de tes tempêtes
Qui dépassent ma conscience
Couvre-moi de ton étuve
Il n’en reste qu’une fête
Alors que tu retrouves ta patience
De ton infinie calme
Je sens monter haut et force
Cette puissance intime
Qui porte mon âme
Sans coquille, sans écorce
Et me berce de houle infime
Tu me prends, m’enveloppe
Tu m’élève, me porte
Comme une barque à la dérive
Dont le fond j’écope
De ta fougue, tu m’apportes
Enfin ma seule matière à vivre.
A+JYT
PS: Meiji est le petit nom de ma femme
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Merci Sékaijin! ça fait très plaisir de voir de si beaux textes prendre un peu de lumière
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Ouch !
Comment poster un texte après ça
Bon j'vais poster mes quelques lignes quand même hein :p
Moi, j'veux un Océan qui se repose
Comme si les lentes vagues voulaient une pause
Pourtant, malgré ce calme apparent
On sait combien il fut cruel auparavant
Combien de tempêtes il déchaina
Et Combien de lames de fond il déchainera
L'Océan, lorsqu'il est las
Est plus beau que tout autre chose
Jusqu'à ce qu'à nouveau, il explose
De simplement beau, il deviendra
Magnifiquement dangereux
Dangereusement malheureux
Malheureusement méchant
Et Méchamment fascinant
Mais pour l'heure, tout est paisible
Se souvenir qu'il est meurtrier devient risible
Quelques mouettes dans un port de Bretagne
Sont les seules a oser briser ce calme...
Dernière modification par Antonin (01-02-2009 16:56:05)
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Salut
J'ai un peu de mal avec ton texte. il aurais besoin de trouver un rythme un tempo. bref certain vers viennent casser le cadacement et ça lui retire de la fluidité.
de même pour les structure des rimes.
tu utilise des rimes suivante (deux vers successif qui riment ensemble) mais tout d'un coup il y a des rimes englobantes. (deux vers qui englobent deux autres vers : l'océan, lorsqu'il est las)
mais en même temps rien dans le fond ne porte ce changement. du coup on sent une gêne.
il y a aussi des formulation qui accrochent trop dans le corps de certaines rimes qui du coup bloque la portée. comme dans "Jusqu'à ce qu'à nouveau, il explose" on perd la rime parce qu'on bloque sur le début. une formulation plus effacée serait bien venue
" L'océan, lorsqu'il est las
Devient plus beau que toutes choses
Alors de nouveau, il explose
Simplement beau, il deviendra "
je pense que la rupture de la structure rythmique doit accompagner le discours, le fond ou alors l'image poétique. l'utiliser sans autre forme de support laisse un goût amer comme un manque une gêne.
comme dans l'exemple que je donnais ici : Mes mots me brûlent qui utilise des rime enlacée masculine et qui sur la strophe précédent la strophe finale va utiliser une rime féminine (avec un e féminin ou muet) pour ajouter de la douceur au propos, de la nostalgie. et enfin sur la strophe finale change la structure rythmique pour des vers suivants affin d'abattre la dernière carte et l'âme même du texte.
Il existe mille est une façon d'utiliser les structures rythmiques. il n'y a pas de règles bien établie. mais pour moi il est nécessaire que cela porte le fond ou l'image du texte car sinon cela devient incongru. mieux vaut alors un texte déstructuré. comme le Slam en produit beaucoup. ou on oublie la rime et les pieds des vers.mais où le texte sans structure apparente porte un rythme basé sur les consonnes et bat comme une caisse basse d'un orchestre de jazz.
A+JYT
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Sekaijin, respect pour tes textes !!! la barre est trés ( trop) haute
C'est sublime de beauté , de poèsie
J'ose quand même poser en toute simplicité mes petites lignes comme Antonin dont j'aime aussi le texte
J'aime quand la mer se fait l'écho
Du rire des enfants , qu'elle danse
Avec eux, les roule , les caresse
Et porte sur son dos avec délicatesse
Leurs bateaux, leurs canards et leurs jeux rigolos
Mais les matins de solitude
C'est furieuse que je la vénère
Je respecte son ire et ses complaintes rudes
Ses vagues majestueuses et son écume amère
Sa colère trouve alors en moi son écho
Sa beauté magistrale me fige au bord des flots
Dernière modification par marilou (01-02-2009 23:30:24)
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lilouette a écrit:
La mer
Dans mon slam, elle se perd
Elle n’existe pas sans la terre
Elle peut parfois est aMER
Elle a provoqué la chute d’HoMER
Elle est peuplée de chiMERes
Loin d’être éphéMERes
Mes idées s’aggloMERent
Il est temps de retourner sur terre.
je ne parlerai pas d'bateau ça me file le mal...de mer
je n'parlerai pas des trotoirs parisiens tous minés de...demer
je n'parlerai pas non plus d'ecologie et de MOnsieur... MAMER
je parlerai donc juste de l'amour que j'éprouve pour... ma mère.
Dernière modification par seb de blancmesnil (08-02-2009 16:30:41)
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seb de blancmesnil a écrit:
lilouette a écrit:
La mer
Dans mon slam, elle se perd
Elle n’existe pas sans la terre
Elle peut parfois est aMER
Elle a provoqué la chute d’HoMER
Elle est peuplée de chiMERes
Loin d’être éphéMERes
Mes idées s’aggloMERent
Il est temps de retourner sur terre.je ne parlerai pas d'bateau ça me file le mal...de mer
je n'parlerai pas des trotoirs parisiens tous minés de...demer
je n'parlerai pas non plus d'ecologie et de MOnsieur... MAMER
je parlerai donc juste de l'amour que j'éprouve pour... ma mère.
joli tous les deux !!!
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c'est une superbe question,j'ai vécu 4ans dans l'ile d'oleron,a st trojan,donc avec le continent en face.AVEC UNE LONGUE VUE IL ETAIT POSSIBLE DE LIRE L'HEURE sur l'horloge de la mairie de marennes.je ne crois pas que j'aimerais vivre en permanence au bord d' une mer,genre fin des terres.LA PRESENCE DU CONTINENT QUI FERMAIT L4HORIZON AVAIT QUELQUES CHOSES DE RASSURANT;c'etait il y a 30 ANS?MEME 40.CE N'etait pas le drame de la bretagne,les bateau,ne partaient pas en Islande.Mais certains chalutiers ont fait naufrage.la mer a au moins deux visages,son coté touristique que je n'aime pas et celui des pecheurs avec le courage,qui marche autour.je crois que je la preferre les lendemains de tempête,a l'epoque elle ramenait des morceaux d'epaves,des boules de filet de pêcheur.A vrai dire je ne la connais plus maintenant.SES M2TAMORPHOSES AVEC LES SAISONS ME FASCINAIENT;sur 4 ans toujours des petits changements et lamplitude des marées,un point de repere dans les saisons .Deviner l'heure a sA POSITION SUR LA PLAGE.mon message est aussi décousu que mon tricot de neurones en ce moment.vafalloir que je rapiece tout çà.L'ecriture m'aidera .
BONNE JOURNEE NICOLE;a bientôt.
elise la fille à la chévre
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La Mer
Voir la mer, un peu chaque jour, le temps de s'imprégner des odeurs qu'elle transporte
comment imaginer autre chose que l'instant, ou la mer te raconte et t'exhorte
il y a l'heure a ne pas rater disent avec aplomb les peintres du dimanche
mais d'heures il ne faudrait ne point en rater, la mer est l'assurance, jamais une revanche
De ces heures passées a rêvasser auprès d'elle , en se racontant le pourquoi du comment
essayant des combinaisons, à base d'interrogations, en hypothéquant chaque instant
pour jouer l'étonné, comme on joue un ticket à gratté, en supposant voyager
voila un bonheur simple et jubilatoire, sans arrières pensés, idéal romancé
Ne pas craindre de perdre son temps, la mer est une amante, elle te surprend
ne te laisse indifférent, c'est son coté sensuel , avec les si, évidemment,
comme autant d'interprétations de signes du destin, de rencontres imprévues
quand dans un reflet soudain, apparaît la forme d'une sirène ingénue
Voir la mer, miroir de ces états d'âme, se réconcilier avec ses démons cloportes
et lancer dans un défi des mots, en visant au loin une vague sous escorte
des dernières rumeurs anodines, pour enfin saisir le sens de la vie à trépas,
puis rasséréné lui dire, le jour suivant accueille-moi encore avec tes appas
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Superbe! "un bonheur simple et jubilatoire" que tu dépeins merveilleusement.
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Des bris de verre polis blancs et verts sur les plages amères
S’endorment dans les hautes-lumières crépusculaires
C’est un Soir lent, la lune argent, silhouette, j’erre
Ombre sans reflet, marchant seul comme sur un air
Rêvant d’un elfe chevauchant le dos d’une panthère.
Je me suis perdu sur un banc devant la place du marché
Là, un enfant perché cherchait à faire basculer
Le monde et ses terreurs comme on séduit le danger.
Parce que l’amour fait peur aux monstres cachés,
Parce que l’amour les font rire alors ils se sentent obligés,
De le protéger. J’ai longtemps perdu pour l’entendre
Cette invitation à la danse folle de la vie, je n’ai pas à attendre
J’aime le défendre de tout. Oui ! je sais que l’amour est tendre,
Qu’il est assis sur un trône sacré et ce trône est au centre,
Et ça rebondit comme un gamin qui te rentre dans le ventre
Comme on rentre dans les vagues pour défier l’univers !
Dans cet océan qui te transperce, te nourrit, qui te caresse
Qui te soulage, te bouscule tes naufrages, tu chavires et las tu laisses
Loin et seuls, ceux qui t’effraient et ceux qui te font la promesse
Que tu reviendras. Mais tu ne reviendras pas, par délicatesse
Alors tu prends ta pelle ton seau et tu rêves sur la route
Que tu t’en rappelles comment ça s’appelle, mais tu n’as plus de doutes.
Il y a la mer qui prend les hommes, les hommes qui prennent une mère
Et les hommes qui marchent bras dessus bras dessous avec la mer
Sur tous les rivages et pages du monde pour déjouer leurs enfers.
MoonZ
Dit : https://soundcloud.com/olivier-gatin-755988841/vagues
Dernière modification par MoonZ (29-12-2016 13:38:39)
nouga et moonz :
et un signe vers Marilou que j'espère en bonne santé
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Encore un véritable amoureux de la mer qui lui inspire de belles histoires. Avec ici à la fin un clin d'œil à une chanson connue.
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https://www.franceinter.fr/emissions/le … nvier-2016
Isabelle Autissier
La seule vision de la mer réduit la sensation de douleur
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une femme au temperament iodée
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Joliment dit et inspirant.
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Euh... oui... sauf quand on a le mal de mer peut être...
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La mer c'est de la merde de mouette
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Un vrai poète ce Moustaki
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Prière.
Oh ! Mer, mère nourricière, écoute ma prière !
Toi qui as vu tant de vies naître et s'éteindre,
Qui accueillis en ton sein monstres et dieux,
Et fus le théâtre des luttes ancestrales.
Oh ! Mer, aux douces vagues ! Comme hier,
Empêche-les de faussement nous étreindre,
Protège-nous des chimères et faux dieux,
Garde-nous contre ton cœur abyssal !
Oh ! Mer, qui me berça , tu m'es si chère ;
Toi seule qui m'appris à ne pas feindre,
Toi qui de mes passions dénouas les nœuds,
Donne-moi la force de vaincre le mal !
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parallèle mer mère, double connotation, tant elles sont toutes les deux nourricières
bravo maya,
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joli
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la mer tue
en bretagne, il parait qu'il y a 3 sortes de gens : les vivants, les morts, et ceux qui sont en mer
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