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Bon alors on avais le même topic dans l'ancien forum,et c'etait un delice pur. Aujourd'hui on a plein de nouveaux, venant de pleins d'horizons differents. Alors si on voyageait encore un p'tit peu hein ? Fabien nous a fait decouvrir St denis vu de sa fenetre. ET vous que voyez vous de votre fenetre ? PArtagez avec nous s'il vous plait
Je reviens plus tard pour ma vue à moi promis
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Vu de ma fenêtre longtemps il n'y eut que des décors de théatre.
Des illusions, des masques et des faux-semblants.
Rien de bien intéressant en somme.
Mais à y regarder de plus près, d'aucun aurait pu y voir, l'âme du peintre qui les avait placés là .
Mais il n'en fut ainsi. Et comme résigné au bout de sept longues année fut érigéun mur.
Un mur vide. Il aurait bien pu être noir. Mais celui-ci est bien trop profond.
Il aurait bien pu être de brique, mais elles sont bien trop chaudes.
Il aurait bien pu être d'un gris fade, mais on y aurait encore trouvé matière à lire.
Ce n'était qu'un mur, qui ne porte rien, qui ne montre rien, sur lequel rien n'accroche.
Et ce mur s'installa à ma fenêtre pour de plus longues années encore.
Rares furent ceux qui le franchirent.
Ceux-la et ceux-la seuls par ma fenêtre virent d'étranges paysages, qu'ils ne comprirent pas toujours.
Et alors que tout un chacun ne voyait que le mur, eux comme moi y voyions, la vie.
Mais aussi longtemps que le mur cacha la vue, il isola ceux qui voyaient au travers.
Il les rejeta, les nia, les brima.
Alors à ma fenêtre apparu un être bien trop longtemps retenu. Quelqu'un que le mur avait gardé hors de portée.
Et avec lui, la vue porta loin, sur un monde de poussière ou ne soufflait que tempêtes et fureurs.
Ma fenêtre vit passé tous les démons que compte se monde.
Vu de ma fenêtre, la terre reflêtait la rage, d'une douleur trop longtemps enfouie.
Et à explorer ce monde s'imposa le temps de changer le décor.
Et vu de me fenêtre dès lors ne se présenta que la vie elle-même, avec ses errances, ses erreurs, ses défauts, ses joies, ses beautés.
Depuis de ma fenêtre, je vois, mon voisin, qu'il m'invite à boire un thé des mille et une nuits.
Je vois mon frère, qui m'invite à contempler la voûte céleste, couché sur le sable chaud, de la terre mère.
Je vois mon avatar qui accroche à la stupa mes prières pour qu'elle portent au-delà de notre monde.
Je vois ma soeur, qui par tous les vents, aux rythmes des tamtams, chante la terre de nos origines.
Je vois l'inconnu qui amasse quelques cartons pour porter vers demain le « gêne » de nos vies.
De ma fenêtre, je vois, le monde.
A+JYT
Dernière modification par sekaijin (02-07-2007 21:38:44)
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Vu de ma fenêtre, y a que de la verdure
Et si je disais qu'il y a des bâtiments,
Tu saurais que je mens
Et pour voir le ciel, c'est pas vraiment dur
Non, pas vraiment dur, j'ai beaucoup de chance de ce côté-là .il suffit que je lève les yeux, au-dessus de tous les arbres autour de chez moi.
Ce sont des chênes et des noisetiers qui ont du mal à pousser, car le sol n'est que du calcaire..
On avait un magnifique érable de Montpellier, tout habillé de rouge en automne, mais que la tempête a abattu et que j'ai regretté comme un ami perdu
Il y a aussi un houx qui fait des baies rouges début décembre... que les oiseaux affamés dévorent juste avant Noël! tant pis pour la décoration de la table de fête, je leur laisse de bon coeur!
En ce moment, le soleil oblique passe à travers les branches, éclairant les mauvaises herbes que l'on tond de temps en temps pour avoir le droit d'appeler ça « gazon »
Quand j'étais petite, je rêvais d'habiter une forêt...ce n'est pas exactement pareil, car il y a des voisins, mais quand on fait abstraction..... c'est presque ça. Quand ce n'était pas clôturé, un chevreuil est même venu faire un tour sur la terrasse.
A la place, maintenant, il y a un petit chien noir qui patrouille avec zèle à la recherche des lézards et qui surveille même l'espace aérien, chassant les pies et les tourterelles !
Heureusement que les loriots, pinsons, huppes, mésanges et même écureuils échappent à sa surveillance!
Quand la nuit arrive, l'été, je sors dans le calme du soir, je m'assois dans l'herbe, j'attends que les lumières de la rue s'éteignent à 23h, et je guette les étoiles filantes, j'admire Cassiopée, la grande ourse, la voie lactée.....j'écoute le rossignol...
et je mesure la chance que j'ai....
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j'ai l'impression que tu décris "ma" fenêtre sauf que le chien il est beaucoup plus grand . Je ne peux pas m'asseoir sur l'herbe cette année car elle est trempée et que j'aurai le popotain détrempé! même le chevreuil y est!...
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De ma fenêtre cette nuit,
j'ai vu la vie en habit de suie
Un tableau bleu sombre
avec la lune qui jouait dans l'ombre
des lucioles d'argent qui traversaient la toile
et des étoiles que recouvrait un voile
Un instant pour moi
un cadeau de la vie?
un moment de choix
une éternité ça n'a pas de prix!
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Vu de ma fenêtre, à coté de chez moi
En me penchant bien, j'aperçois
Le garage d'à côté, avec ces voitures détraquées
Parfois brélées
Généralement accidentées
De temps en temps des camionnettes, le pare-brise arraché.
Des odeurs de pots d'échappement
Quand on mange, c'est tr_s appétissant.
Un peu plus loin, je vois le distributeur automatique
Que c'est romantique !
Je change de fenêtre, je change d'environnement
J'ai vu plongeante sur un bÃtiment,
Il me cache la vue, me bouche l'horizon
Ya jamais personne, on dirait une prison
De la fenêtre de ma chambre, j'ai l'arrière du garage, c'est encore mieux !
J’ai des montagnes de rouille et des cascades de fer
Toutes les carcasses dont on ne sait quoi faire.
On voit quand même les collines en levant les yeux.
Mais en fait tout ça ne me dérange pas, tout ce que je vois
De toutes façons c'est chez moi.
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De ma fenêtre,grande fenêtre...
Un bel univers,chaques maisons en face porte un nom et une histoire.
De la vitre transparente j'apercois le ciel bleu fourni de nuages gracieux avancant à perte de vue pour disparaître.
Le silence est immense,il porte les odeurs des arbres en fleur.
Le vent souffle le bruit des feuilles sur la verdure entourant le pater de maison.
Un calme avec lequel je m'accouple pour être Zen,
Les gens et les enfants passent et repassent,
Ils sourient et disent boujours sans avoir peur.
J'me dit qu'ici je suis si bien , j'me sens appaisé... decontracté et j'me dit que c'est ici que j'ai choisi de passer un bon moment de ma vie.
Franchement de nos fenêtre la vie peut être belle et instructive.
De mon ancienne fenêtre je pouvais voir les gens d'une autre langue et pourtant du même pays...
Je pouvai voir à ce carrefour le feu interdisant le passage au rouge et laissant passer au vert tous les gens tel des robots affubler d'un sort qu'ils ne choisissent pas toujours.
Maintenant le bruit de tous ca à laissé place au calme devant mon nouveau chez moi.
Comme qui dirai LE CALME APRES LA TEMPETE....
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merci de vos écrits, de vos "décrits"...
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Vu de ma fenêtre il s'en passait des choses
A chaque décor sa cause
J'ai vu ma vie défiler grâce à elle
Des p'tits bonheurs et des malheurs à la pelle
Vu de ma fenêtre j'en est vu des choses pas belles
Des sentiments qui se révèlent
Charnelles ou irréelles
Mais j'ai jamais vu de marelle
Vu de ma fenêtre j'ai vu des gens s'aimer
Des paysages magnifiques chaque semaines parfois changer
J'ai vu la tolérance et j'ai aussi subit une forme d'intolérance
La violence de l'adolescence
Derrière elle je cache mon innocence
Vu de ma fenêtre maintenant ça bouge plus
J'y vois madame nature aux arbres bien touffus
La stabilité aussi a bien des vertus
Même si autour c'est un village de glandus
Et que leurs regards sont toujours aussi ardus
Je me colle à elle et leur montre mon cul!!!
Vu de ma fenêtre je rêve et me dis
Qu'elle m'a apporté une vision plus polie
Sur un monde très vaste aux mille facéties
Car elle a parcouru pas mal d'endroits vieillis
Elle montre tout comme tel, sans bruits et sans chichis
Vu de ma fenêtre je regarde ma fille jouer
J'entends les rires d'enfants qui me font continuer
Car ma fenêtre a l'image et le son et j'aime bien m'y pencher
Et quand je partirais elle sera toujours là encore à veiller
Si d'ici là les enfants ne l'ont pas encore brisée!
Dernière modification par EkimoZ (04-09-2007 22:17:45)
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tu as une fenêtre qui vaut tous les cables du monde! Avec une fenêtre comme ça pas besoin de télé! Merci de nous l'envoyer par slam direct !
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Ma fenêtre est une nomade!!! Merci pour elle!!! lol =)
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moi ce qui m'a plu
c'est le village de glandus...
enfin...pas pour ce que ça sous entend de regards de biais, pas toujours faciles à soutenir...non, c'est juste le mot (mais tu as toujours des mots forts) et l'humour que tu mets à répondre...
c'est beau quand tu regardes ta fille jouer...on sent l'amour que tu lui portes..
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Merci beaucoup Nicole!
Je prépare un écrit justement sur les "glandus" ils sont vraiment trop forts!!!
Ma fille... ah ma fille... =) ... même si ça parait évident d'aimer son enfant ben pour moi ça n'a pas était évident! J'ai un peu honte en disant ça, mais moi je suis encore en apprentissage de "love power"!!! lol
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Je vois que tu as réussi a inclure une image! Bravo Nicole.
Pour te recompenser je te rends des photos de chez moi, prises hier!
(sauf la derniere qui date de l'automne.
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Vu de ma fenêtre, y'a que des bâtiments
Si j'te disais que je vois de la verdure, tu saurais que je mens
Et puis pour voir un bout de ciel, faut se pencher franchement
Vu de ma fenêtre, y'a des petits qui font du skate, ça fait un bruit, t'as mal à la tête
Et puis y'a des gars en bas qui galèrent
Ils sont là , ils font rien, ils prennent l'air
Surtout le printemps, surtout l'été, surtout l'automne, surtout l'hiver
Vu de ma fenêtre, y'a vachement de passage, de Carrefour à la mairie je vois des gens de tout âge
et oui je suis de la citée!!
mais bon Vierzon se n'est pas que ça, je prendrai le temps de vous en parlez un peu plus
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vu de ma fenetre y'a pas d'batiements
ya ke dlaverdure exposée au vent
on peut voir le ciel sans spencher franchement
Vu de ma fenêtre, y'a des taupe en bas qui font du squatte, sans aucun bruit, sous 2 ou 3 boites
et ta des pies en bas, qui galerent
a trouver dla bouffe sous la terre
Surtout le printemps, surtout l'été, un peu l'automne, et pas l'hiver
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Vu de ma grande fenêtre
Ya qu'un brun de bien être,
Des arbres et des champs,
Et la belle Rance chantant.
Vu de mon autre fenêtre
J'vois loin, plus d'300 mètres,
Un lieu où faune et flore
Luisent et brillent comme l'or.
Vu de mes autres fenêtres
Des corbeaux, ou peut-être,
Des renards et des grands cerfs,
Une découverte, un grand concert.
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Vu de ma fenêtre je vois la route,
y'a pas que du bien être aussi du doute
J'avance comme une dingue... Personne n'écoute
personne ne lis ces lignes ça je m'en doute
je file à cent à l'heure sur la p'tite route
J'accroche mes mains à mon volant
si tu gueules tu m'connais, tu descends
plus que quelques mètres avant le tournant
enfonces toi dans ton siège et serres les dents
regardes par la fenêtre, vomis pas d'dans
120 kilomètres heure j'ai plus le temps
de changer le rapport maintenant
serres les fesses et acquiesces... c'est indécent
j'ai du mal au gonnesses, mon coeur est plus lent.
J'appuie sur le champi moteur hurlant.
Vu de ma fenêtre je vois la route
Plus de temps pour bien être, j'ai que des doutes
il n'y a que le moteur que j'écoute
pas le moindre frisson, tu t'en doute
Et c'est de ma faute si on est sorti d'la route ............................ LA BOUCLE EST BOUCLEE
j'AI éCRIT çA EN PENSANT A UN RAP DE kAMELANCIEN
Dernière modification par elle (29-05-2008 23:16:55)
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seb de blancmesnil a écrit:
pardon nicole, je ne retrouve pas le topic "vu de nos fenetres" tu peux replace ce texte si tu veux et si tu peux...
Vu d’ ma f’netre d’puis un moment
j’ vois deux enfants jouer souvent
J’entend des rires et des cris dès qu’il fait beau
J’observe la rosée et le bal des oiseaux
Mais c’ que j’ voie de l’autre fenêtre est moins charmant
J’vois des voisins méfiants avec leurs chiens méchants
Ils ne disent pas bonjour, espionnent leurs voisins
Ne font pas d’ barbecue malgré leurs beaux jardins.
C’est étonnant car vu d’ ma f’nete ma rue est belle
Mais elle est vide de chaleur, moi j’ me rappelle
Quand vu d’ ma f’netre, je n’ voyais que d’autres bâtiments
On humait les odeurs, les gens étaient charmants
On avait qu’un jardin obligé d’ partager
C’est p’ tete ça au final, qui nous a tous soudé
Bon je me plaint pas de ce que je vois d’ mes f’netre
J’ai une maison et c’est le but de beaucoup d’êtres
Mais c’est dommage qu’en devenant propriétaire
Les relations entre voisins deviennent austères
Du coup dans ma maison, je me contente de regarder
La f’netre ou mes enfants sont en train d’ s’éclater
(Sic)…..
Ceci est une fiction
issue d’ mon imagination
Toute ressemblance
avec de véritable voisins
qu’ils aient ou non un chien
Ne serait que pure coïncidence
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De ma fenêtre
Quand je regarde par la fenêtre,
Je vois des chênes, un saule, des hêtres.
Aujourd’hui, ils sont tous rouillés,
Normal, on n’est plus en été.
Il y a aussi un chien qui dort,
Sous l’soleil d’automne, il se dore.
Alors je crois qu’j’vais faire pareil,
Profiter d’ces rayons d’soleil.
Puis j’ai vu un oiseau venir,
Chercher des vers pour se nourrir
Alors je crois qu’j’vais faire pareil,
Les vers c’est mon rayon d’soleil.
Quelques fois au fond du jardin,
Y’a des biches et des marcassins,
Ils profitent de cette belle forêt,
Où y’a personne pour les chasser.
Au printemps, il y a des fleurs,
Qui m’enivrent de leurs odeurs.
Quand elles éclosent, de leur beauté,
Impossible de se rassasier.
Sur ma gauche, y’a une balançoire,
Ou mes enfants aiment être le soir.
Combien d’heures ils y ont passé …
Franchement j’sais pas, j’ai pas compté.
Il y a également des cabanes,
Dans les arbres d’où des rires émanent,
Lorsque les enfants viennent jouer,
Franchement, ces rires c’est vraiment l’pied.
Alors Natty, qu’est-ce que t’en penses,
D’mon jardin, fontaine de jouvence.
Moi j’y suis bien et j’en profite,
Car le bonheur, ça passe trop vite.
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vu d'ma fenêtre, y a un couple de corbeaux,
ma gouttière, ils ont pris comme nid,
un p'tit hiver à s'tenir chaud,
et du cocon sortiront des petits
Bon, ne vous moquez pas, ce sont mes tout premiers vers...
et ils sont inspirés car il y a effectivement un couple de corbeaux en train de faire un nid dans ma gouttière, d'ailleurs, je vous laisse, je vais jeter un oeil à tout ça
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he he he c'est toi qui demandais comment on fait ? ben c'est comme ça que ca commence...
Vivement un texte de toi et merci pour le partage
laurent
j'en pense que j'aimerai bien m'envoler; comme ce petit oiseau vers ta fenetre et profiter un peu de ce que tes mots on superbement décris
Il y a également des cabanes,
Dans les arbres d’où des rires émanent,
Lorsque les enfants viennent jouer,
Franchement, ces rires c’est vraiment l’pied.
J'adore !
Merci à vous deux
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Merci Natty, tu es vraiment très indulgente. J'avais envie de participer à ces vues de la fenêtre, mais n'étant pas encore très habile pour vous ouvrir la mienne, j'ai tenté juste un petit entrebaillement
Guère profond, ni vraiment marqué par les émotions, je dois dire, si ce n'est l'amusement d'avoir ces deux corbeaux sur ma gouttière, sous mes yeux en fait, car ils étaient vraiment lÃ
mais ils sont repartis depuis... il n'y aura pas de suites, pour ces oiseaux là en tout cas
en tout cas, merci Natty, je pense que je commence tout juste à saisir tout plein de trucs.. du coup, j'ai plein d'idées, mais pas encore les mots ça infuse, ça infuse
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Prend ton temps , tu verras les mots vont couler tranquille....
Sinon t'es pas obligée de donner une vu de ta fenêtre en vers tu sais. Racontes nous juste comme tu le sens ...
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ou tu peux poster une photo
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Une photo, pour vous, pour vous ouvrir ma fenêtre,
oui, certainement, pourquoi pas ? c'est tentant, peut-être,
Mais j'aurais peur que l'image à paraître
ôte à ma montagne toute son âme, son être.
Je voulais vous faire un 2e vers, mais ça doit pas avoir encore assez infusé
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Vu de ma fenêtre je peux apercevoir mes voisins.
Qui n'attire pas que mes seuls yeux, mais ceux de mon patelin.
Et comme y n'ont pas de rideaux, rien n'est cacher.
Sans pudeur, ils nous laissent même les admirés.
Du matin au soir comme si ils ne possèdent pas d'intimités.
Quand on s'ennuie, il suffit juste de les écoutés.
Si moi je suis au premier rang, sont enfant est sur la scène.
Qui chaques jours voit des choses qui fond de la peine.
Ici c'est pas un coq qui vient réveiller le quartier.
C'est seulement leur chien qui aboie à en crever.
Vu de ma fenêtre, je peux voir le lieu de travail du mari.
Qui sort au matin et ne revient pas avant minuit.
Ça femme n'a pas le temps de s'ennuyer.
Chaques jours je vois des gens venir puit s'en aller.
Toujours des personnes différents mais pour la même raison.
Qui sortent par la fenêtre quand le mari rentre à la maison.
Voila =D bon un peu bizarre comme texte, mais le sujet est de savoir ce que l'on voit de notre fenêtre alors ^^
Dernière modification par Gigi (22-10-2008 15:02:29)
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