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Le lion des forts, celui de la lumière crépusculaire
Qui descend en tournoyant sur le cœur des suaires
Réveille l'amie des amalgames blafardes
Que le soleil longuement darde
Et moi, rêvant de la compagnie d'une femme
Par mégarde, par silence et par gammes
Venues colorer les rives de Vénus en flammes
Surnage en soûlard les hémistiches des dames...
Les nuages colorent la paupière de mes vers
Et le bleu des étendues célestes sur les mers
Nonchalantes et sereines sur la mémoire
Des limbes constellées de lentes histoires
Que je voudrais être miennes...
Et si seulement, le temps de la peine
Rappelait aussi la pluie diluvienne
Dont les sérénades s’éprennent...
O j'aurais été ce vent que l'aigle égraine
Dans un rêve d’été où ta chevelure se baigne.
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ITESS a écrit:
Joli.
Merci ITESS.
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Très joli
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Très poétique et plein d'images
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comme Nicole, poétique
Les nuages colorent la paupière de mes vers
Et le bleu des étendues célestes sur les mers
Nonchalantes et sereines sur la mémoire
Des limbes constellées de lentes histoires
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Je vous remercie les amis.
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Léger et doux comme ces nuages qui colorent la paupière de tes vers.
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Merci Maya. Justement, je voulais faire quelque chose de léger.
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