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Ici ITESS en direct d' L.Y Gotham,
Là où DUKE kickait d'la bonne came;
Là où y a du bon miam-miam
Et les canuts qu'enculent la flamme.
On en revient aux fondamentaux;
Ceux qui nous motivent à prendre d'assaut
Les mots; d'apprendre et transmettre le flow.
Capte ITESS sur toutes les ondes radios.
J'sais pas qui t'es ni d'où tu viens.
J'sais juste qu'on peut aller bien plus loin
En s'entre-aidant, en s'tendant la main;
Unis comme les 10 doigts d'nos mains.
En HP H24 des repas chiche et des drames
Je vis toujours pour chercher une trame
Une trappe pour m'enfuir en travaillant des slams
C'est le neck plus ultra poète messieurs dames
Je constate que le système est un rouleau compresseur
Que l'état et l'ordre mondial sont les agresseurs
Quand la banquise crame les décideurs ont moins de coeur
Qu'une arme chargée dans les mains d'un tueur
Les esprits forts sont appelés par l'appât du gain
Et on étouffe les idéaux venus de l'or du commun
Pour que toujours les mêmes nous enfument et récoltent
Les bénéfices d'une société où de moins en moins votent
Laissant la part à l' extrême et au clin d'oeil de fossiles politique
Qui refuse que le monde soit cosmopolite et utopique
La guerre n'est pas nucléaire parce que économique
Ils ne t'iront pas sur les futurs acheteurs de l'ère pétrochimique
Droite, Gauche, même son d'clairon qui sonne faux,
Disques rayés pour gonfler les capitaux.
Mais MoonZ et l'TESS décapitent les taux;
Un nouveau duo pour défoncer l'étau.
Ca fait combien d'années qu'on répète
Qu'sur c'te planète on marche sur la tête
Pensant faire d'chaque jour une nouvelle fête,
Pansant chaque jour les plaies réouvertes ?
Ne m'parle pas d'destin. Rien n'est écrit.
D'ailleurs ceci est une impro', mon p'tit.
Rien n'est joué d'avance et rien n'est acquis.
Donc pas d'excuses; c'est toi qui choisis.
T'es pas obligé. C'est une illusion.
Choisis d'entrer en révolution;
Rêve d'évolution sans ambition.
Rêve d'anarchie et de libération.
Tu veux un enfant parfait l'humanité 2.0
Ou une intelligence artificielle pour les mots
Quand il suffit de tendre un stylo a un gosse perdu sous le préau
Pour découvrir dans sa tête un nouveau Rimbaud
La fin commence, la terre a trop de souffrance
Je m'dis que je suis moins bargo que ceux qui contrôle la France
Alors j'ecris pas des ragots sur un tel ou un tel
Je gratte mon mal être et le non sens dans ce réel
On est venu rendre la parole concrète et réaliste
Les choses possibles de faire sont nombreuses sur la liste
Comme donner la parole aux gens optimistes
Qui voient dans l'Humain une force créatrice
Combien de temps resterons nous a nous haïr
Comme ci de rien n'était comme si nous avions oublier de rire
De se surprendre de découvrir des rêves comme les étoiles
Sont même devenu un problème politique sur la toile
Tout augmente et le niveau est tombé bien bas personne n'y gagne
Les pays sont envahis par les extrêmes Suède Italie grande Bretagne
La France on est pas à l'abri de la barbarie nationaliste
Je crois que le pire est a combattre dites le aux journalistes...
Ici, c'est 6.9 La Trik, ma gueule.
On sort dans les rues pour foutre le zbeul.
Entre Rhône et Saône, on rame sans paddle,
Les pieds dans la merde d'où l'état d'nos groles.
Une jungle envahie par les fachos.
T'as vu les manifs. Tu sais qu'c'est chaud.
Des barricades scellées à la chaux,
Expérimentées comme un film de Lacheau.
Ouvrez les frontières. Faites les sortir.
Sans eux, on peut très bien vivre et s'unir.
Sans dèc', avec eux, j'me sens périr.
Il est temps de prendre en main l'avenir.
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Dernière modification par ITESS (26-05-2023 18:56:18)
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Super, bravo à vous 2, tout est tellement vrai hélas
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idem like Nicole
le duo fonctionne, un texte qui cartonne
alors j'entonne
la guérilla, urbaine, sera-t-elle une aubaine
pour qu'enfin , on devienne croquemitaine
la peur comme arme factice
juste pour le vice
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...La Guérilla Urbaine en Métropole, j'en rêve.
Mais en manif' (surtout aux vues du rouge que je porte), je reste dans les cortège anar sans rejoindre "le front".
Les métropolitains ne sont pas prêts.
150 ans se sont écoulés et le pouvoir a appris à nous faire oublier.
Merci à Vous.
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Je n'ai que trois mots à dire :
Non mais owwwwwwwww
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