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Ma muse, la poésie est une dance
Et l'écume de ton regard nous unit
Sous la nuée stellaire en transe
Que les frêles feuilles ont muni
De vers...O vert dense
Tournoyant, tournoyant
En une longue somnolence
Comme l'été côtoyant
Mon âme en démence
Sous les côteaux rougeoyants...
Mon doux chant se perd...
O langue de mes morts !
Je ne suis ni l'ainé ni le père
Quitter, quitter Gomorrhe
Est pourtant le dicton des prospères...
Hélas, mes pupilles amères se frictionnent
Ah! mon île, me voici solitaire
Sans tes gerbes où les vents frissonnent
En creusant des tunnels de lumière...
Seulement ta beauté me papillonne.
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les vents qui frissonnent en creusant des tunnels de lumière, c'est très poétique
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nicole a écrit:
les vents qui frissonnent en creusant des tunnels de lumière, c'est très poétique
Merci Nicole
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ITESS a écrit:
J'aime bien.
Ça me fait plaisir mon frérot.
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Mon doux chant se perd...
O langue de mes morts !
Je ne suis ni l'ainé ni le père
digne successeur ami
bravo
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nouga a écrit:
Mon doux chant se perd...
O langue de mes morts !
Je ne suis ni l'ainé ni le père
digne successeur ami
bravo
Merci Nouga
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Je t'imagine papillon voletant de ci de là pour collecter les plus jolis mots. Belle image poétique!
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Maya a écrit:
Je t'imagine papillon voletant de ci de là pour collecter les plus jolis mots. Belle image poétique!
C'est vrai que j'aime bien les textes quand il y a beaucoup d'images. Merci à toi.
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