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Si le cœur t'en dit j't'ai fais une lettre
Qu'tu liras peut être pour t'ouvrir l'esprit
Une fois qu't'auras fermé ton cahier d'président
Et te croyant content tu palperas ton blé
J'ai connu un savant qui avait les mains noircies
Par les couleurs de la vie qu'on avait choisie pour lui
Il n'parlait pas souvent sauf quand se faufilaient
Les clercs de Monastier à chaque fin de soirée
Il ne demandait pas à c'que la madone
Lui fasse l'aumône mais partage son repas
Et il a eu ce regard sur nous
Tiens si c'était vrai c'qui est écrit dans l'bouquin qu't'as dans les mains
Que d'son corps sorti le pain pourquoi ils m'ferment leur sacristi
J'ai connu une mère qu'avait l'teint percé
Par les années à l'arrière de l'enfer
Elle avait plus de tristesse qu'une feuille
Et son larfeuille se remplissait de la fesse
Du salaud d'pauvre oublié par l'amour
Qui le jour devenait encore plus pauvres
Et elle a eu ce regard sur nous
Tiens si c'était vrai c'qui est écrit dans l'code qu'ils nous ont pondus
Qu'sont bien égaux tous les culs pourquoi j'vis en plein déni
Ce qui nous différencie monsieur le président
C'est que des gens là je n'en connais que la vie
Et qu'Ã des statistiques d'la politique
J'préfère les tics de la république
Alors que toi tu scrutes les conteurs
De la peur de tes électeurs sans foi
Dernière modification par EtienneDugland (20-09-2008 10:31:56)
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Salut Etienne, je vois un peu ce que tu veux dire mais c'est dur dur à lire ... il me semble que la forme soit trop abstraite .. enfin pour moi ... attends l'avis des autres ... mais j'aime pas trop cette forme que je trouve un peu "brouillon" ... excuse moi du terme
Vincent V
Salut Vincent, Tu as surement raison mais je voulais couper les rimes, les vers pour valoriser le fond. C'est loupé on dirait.
Voici donc ma première version
Si le cœur t'en dit
Je t'ai fais une lettre
Que tu liras peut être
Pour t'ouvrir l'esprit
Une fois que t'auras fermé
Ton cahier de président
Et te croyant content
Tu palperas ton blé
J'ai connu un savant
Qui avait les mains noircies
Par les couleurs de la vie
Que l’on avait choisie pour lui
Il ne parlait pas souvent
Sauf quand se faufilaient
Les clercs de Monastier
A chaque fin de soirée
Il ne demandait pas
A ce que la madone
Lui fasse l'aumône
Mais partage son repas
Et il a eu ce regard sur nous
Tiens si c'était vrai c'qui est écrit
Dans l'bouquin qu't'as dans les mains
Que d'son corps sorti le pain
Pourquoi ils m'ferment leur sacristi
J'ai connu une mère
Qui avait le teint percé
Par les années
A l'arrière de l'enfer
Elle avait plus de tristesse
Qu'une feuille et son larfeuille
Se remplissait de la fesse
Du salaud d'pauvre
Oublié par l'amour
Qui le jour devenait
Encore plus pauvres
Et elle a eu ce regard sur nous
Tiens si c'était vrai c'qui est écrit
Dans l'code qu'ils nous ont pondus
Qu'sont bien égaux tous les culs
Pourquoi j'vis en plein déni
Ce qui nous différencie
Monsieur le président
C'est que des gens lÃ
Je n'en connais que la vie
Et qu'Ã des statistiques
De la politique
Je préfère les tics
De la république
Alors que toi tu scrutes
Les conteurs de la peur
De tes électeurs
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"Les conteurs de la peur "?
Ne serai ce pas les "compteurs de la peur"plutôt ? parceque étant conteuse ....ce mot là me heurte un peu car en général les conteurs apportent du rêve ,quelques fois de la peur mais toujours fictive! alors que là c'est de la peur réelle et ce n'est pas un conte ....
j'ai aussi connu de meilleurs textes venant de toi mais on a tous des hauts et des bas ....non?
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Tu as raison sur la qualité de ce texte qui est plus que médiocre ; sans compter les fautes...
Je crois qu'est venu le temps pour moi de me poser et de tailler ma plume sans forcément vouloir y trouver les bons mots.
Je pense que c'est une nouvelle étape dans mon éciture...
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c'était donc une faute?
tu écris très bien ...mais c'est vrai que comme en musique il y a des étapes à franchir ! mais sache que c'est toujours un plaisir de te lire.....
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