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le slam du slam , c'est le nectar, pas le fruit du hasard
un suite de sons, de mots, d'intonations, mieux qu'un big-bang
c'est l'âme d'un auteur, qui sait par coeur, la vérité sans fard
écrire pour décrire, la peur du pire, l'utopie sans faux semblant
offrir aux mots, des vies trémolos , des vies boulevards
où se prolonge les envies d'avoir le ton, quand il est hauban
en s'enivrant jusqu'a la fièvre dans le sang, comme un buvard
mieux qu'un trou dans la marre , un geyser de moments
avec par instants, l'arc-en-ciel en guise d'étendard
le slam du slam , c'est un espace, une vibration, une volte-face
pour des frissons, des états d'âme sur macadam, une rébellion
la réalité au banc des accusés, la récolte des moissons, la trace
où converge l'émotion, quand elle joue sa partition
devenant le point d'orgue dans une vie qui ignore le sur-place
pour sublimer les prologues, dixit le psychologue du moi étalon
de faire du contraire, un oreiller ethnologue, des draps qu'on enlace
une raison dans un océan courant d'air, une mer en suspension
l'épreuve dissertation, l'oral éphémère, un monde sans menaces
le slam du slam, c'est encore, quand l'aurore se teinte d'un bleu roi
dans un château sans pont-levis, une enclave sans soucis
l'endroit ou se mêle pêle-mêle, les ailes déployées d'une croix
un lieu ou se pose, l'esprit en osmose, le corps aux gestes précis
une contrée avec contre ut, avec la chute, des sons en émoi
un territoire dont l'histoire serait l'aiguillon qui officie
plus qu'un dard, plus que la mer à boire, sans la religion
la parcelle d'un champ, le chant du pinson, l'ivresse sans raccourcis
un coin dans une zone, ou l'on s'abandonne, en échangeant sa vision
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Le point d'orge oui!!
Le slam du slam slalome dans le summum
Un peu du mum un zeste de bonhomme
Cheum mon éphémère à une aura t'aura pas
On marche sur le sol pourquoi pas sûr du la
De l'eau des lois Léa dit il veut une gâteries
Pour un paquet de clope je fume cet abruti
Léa dit je m'assois là sur le la d'un monde à vau-l-eau
L'Art lire écrire apprendre ou à laisser je suis un eros
Mais Léa l'autre avec ces clebs me fait la craignos
Moi je fais qu'aimer j'ai l'art le veau et rig comme ustensiles
C'est compliqué d'être heureux quand les faux font d' la bile
Dans ce cas précis le slam du slam devient antidote
d'Andromède c'est loin moi je suis un remède contre les salopes
Demandez le buvard je vous serre un truc bizarre
Une sorte de machin fou qui fait du bien genre soupape
Le slam du slam à ses règles moi je suis alleurs. Allée G
Un enfant roi terrible entre visages et défigurés
Je slame comme Bertrand cantat quand t'as pas
Le slam du slam tu fermes ta gueule je suis juste toi
Ah ah ah ! T'aimer me rend beau comme un quartz
On s'aime fort mille fois c'est beau le reste des hersatz
MoonZ...
Dernière modification par MoonZ (15-01-2018 12:09:11)
C'est très beau le slam du slam, le nectar du slam ça ouvre l'esprit a des choses
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MoonZ le point d'orgue est à l'église ce que le point de croix est à la couturière
Nicole et Itess merci d'apprécier le slam du slam et ses états d'âmes
Dernière modification par nouga (16-01-2018 10:25:08)
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+1
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« le slam du slam , c'est le nectar, pas le fruit du hasard »
« un coin dans une zone, où l'on s'abandonne, en échangeant sa vision »
Il en connait un rayon.
L'histoire commence il y a si longtemps qu'on doit remonter le temps, encore et encore.
Quelques titres piochés ici ou là à l'instinct , et c'est un tourbillon de sensations à bord.
« Le slam » est pour lui une évidence, « Un slam qui tente sa chance » qu'il nomme parfois « Un slam de circonstance ».
Son « slam senior » est d'or, je l'adore,
Il est « slam en série » », sans négliger « slam poésie » et « slam apollo-git »,
« slam à ma porte » ou « slam aux antipodes » qu'importe !
« slam atmosphère » qui toujours espère,
« slam sucré salé » y'en a pour tous, discrets ou calés,
« slam œsophagien » n'en ratez rien !
« slam pour rire » pour dire avec le sourire,
« Slam MDR » encore plus délire,
« slam échangiste » pour compléter la liste,
« slam dérision » sans façon, sans modération,
« slam percutant » raisonnant et résonnant,
« un slam sans peur et sans reproche » à la saveur qui rapproche,
jamais « slam en péril », abandonné seul sur une île,
« slam politique » naturellement utopique,
« slam excuse » n'abuse ni ne ruse,
« le slam se déclame », on s'exclame et l'acclame,
« slam de printemps » et de tous les temps,
« slam durable » A table !
Dernière modification par Maya (16-01-2018 09:39:34)
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kimer merci
maya ton slam claque comme un drap étendu en plein vent
tu sens l'odeur de ton enfance, et tu te souviens
des rires entre copines, des marelles et quelques pécadilles
biz
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c'est vraiment magnifique ! " un monde sans menaces..." oui mais quand ! :(
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merci bcp
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le slam du slam , une escale, avant les mots en partance
rêve d'insouciance dans le tumulte ambiant récurent
il s'approprie nos strates de contingences, dans une poésie
où l'évidence à le passeport comme clé des songes
et la douceur comme balancelle de nos convictions
se grime façon conte pour maquiller les erreurs du temps
cherchant dans le magma humain , la force utile
au service des vies, quand elles quémandent l'harmonie
afin d'avoir le frisson nécessaire, en habillant la liberté
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les erreurs du temps grimées...
et apprendre avec le silence
Tout slam'en bouche un coin !
Dernière modification par SylvA (18-01-2018 16:11:51)
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bon Sylva c'est début
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le slam du slam, cherche sa respiration sur la scène
quand le micro donne à la voix sa dimension, son tempo
quand l'ego se confond avec l'envie de donner de partager
de ces instants en apesanteur entre verve et bonheur
où le temps assure et rassure, sans imposer
pour s'ancrer dans les mémoires, art de l'instantané
il s'écoute autant qu'il se vit , en narrant l'histoire
dévoilant par touches son regard sur nos ressentis
nous évitant cette routine, quand elle assassine
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Superbe! Ca donne envie !
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merci voila les deux dernières
le slam du slam , une escale, avant les mots en partance
rêve d'insouciance dans le tumulte ambiant récurent
il s'approprie nos strates de contingences, dans une poésie
où l'évidence à le passeport comme clé des songes
et la douceur comme balancelle de nos convictions
se grime façon conte pour maquiller les erreurs du temps
cherchant dans le magma humain , la force utile
au service des vies, quand elles quémandent l'harmonie
le slam du slam, cherche sa respiration sur la scène
quand le micro donne à la voix sa dimension, son tempo
quand l'ego se confond avec l'envie de donner de partager
de ces instants en apesanteur entre verve et bonheur
où le temps assure et rassure, sans imposer
pour s'ancrer dans les mémoires, art de l'instantané
il s'écoute autant qu'il se vit , en narrant l'histoire
dévoilant par touches son regard sur nos ressentis
nous évitant cette routine, quand elle assassine
afin d'avoir le frisson nécessaire, en habillant la liberté
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Lire et relire "le slam du slam" dans son intégralité de notre ami Nouga, un délice!
"le slam du slam , c'est le nectar, pas le fruit du hasard
une suite de sons, de mots, d'intonations, mieux qu'un big-bang
c'est l'âme d'un auteur, qui sait par coeur, la vérité sans fard
écrire pour décrire, la peur du pire, l'utopie sans faux semblant
offrir aux mots, des vies trémolos , des vies boulevards
où se prolonge les envies d'avoir le ton, quand il est hauban
en s'enivrant jusqu'a la fièvre dans le sang, comme un buvard
mieux qu'un trou dans la marre , un geyser de moments
avec par instants, l'arc-en-ciel en guise d'étendard
le slam du slam , c'est un espace, une vibration, une volte-face
pour des frissons, des états d'âme sur macadam, une rébellion
la réalité au banc des accusés, la récolte des moissons, la trace
où converge l'émotion, quand elle joue sa partition
devenant le point d'orgue dans une vie qui ignore le sur-place
pour sublimer les prologues, dixit le psychologue du moi étalon
de faire du contraire, un oreiller ethnologue, des draps qu'on enlace
une raison dans un océan courant d'air, une mer en suspension
l'épreuve dissertation, l'oral éphémère, un monde sans menaces
le slam du slam, c'est encore, quand l'aurore se teinte d'un bleu roi
dans un château sans pont-levis, une enclave sans soucis
l'endroit ou se mêle pêle-mêle, les ailes déployées d'une croix
un lieu ou se pose, l'esprit en osmose, le corps aux gestes précis
une contrée avec contre ut, avec la chute, des sons en émoi
un territoire dont l'histoire serait l'aiguillon qui officie
plus qu'un dard, plus que la mer à boire, sans la religion
la parcelle d'un champ, le chant du pinson, l'ivresse sans raccourcis
un coin dans une zone, ou l'on s'abandonne, en échangeant sa vision
le slam du slam , une escale, avant les mots en partance
rêve d'insouciance dans le tumulte ambiant récurent
il s'approprie nos strates de contingences, dans une poésie
où l'évidence à le passeport comme clé des songes
et la douceur comme balancelle de nos convictions
se grime façon conte pour maquiller les erreurs du temps
cherchant dans le magma humain , la force utile
au service des vies, quand elles quémandent l'harmonie
afin d'avoir le frisson nécessaire, en habillant la liberté
le slam du slam, cherche sa respiration sur la scène
quand le micro donne à la voix sa dimension, son tempo
quand l'ego se confond avec l'envie de donner de partager
de ces instants en apesanteur entre verve et bonheur
où le temps assure et rassure, sans imposer
pour s'ancrer dans les mémoires, art de l'instantané
il s'écoute autant qu'il se vit , en narrant l'histoire
dévoilant par touches son regard sur nos ressentis
nous évitant cette routine, quand elle assassine"
afin d'avoir le frisson nécessaire, en habillant la liberté
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up delice
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