Vous n'êtes pas identifié.
J'ai tenté les 20 mots, tout a été pour le mieux !
Je ne compte plus les heures où je passe à t'admirer
J'ai du atteindre le sommet de l'odyssée, de l'aventure,
J'ai rompu avec ma timidité quand j'ai senti qu'tu m'attirais
J't'ai donc posé dans mon placard pour montrer la plus belle devanture.
Ne me demandes pas pourquoi, c'était juste une évidence
On avait soif tous les deux de cet amour que l'on se donne,
On a choisit la vitesse pour que calmement nos coeurs dansent
Sur une mélodie pleine de passion et qui jamais n'abandonne.
C'est grâce à mes mots doux, mon seul moyen de locomotion,
Que je transporte ma tendresse et mes strophes de velours,
Je t'offrirais mon plus grand livre, bien rempli d'émotion
Et de vers vertueux que je vernis de tout mon amour.
Plus question de volte-face, notre vie ira juste de l'avant
Je n'ai plus la peur au ventre, cette boule qui me froisse,
Je sens désormais ta joie, tes sourires et des fous rires souvent
Plus question de retour en arrière, moi le passé me glace.
J'sais bien que ce texte, ça n'casse pas trois pattes à un canard,
Mais le ridicule ne tue pas, dévoiler mes secrets non plus,
Je dédie cet écrit à celle qui restera mon oiseau rare
T'as beaucoup de qualité, et tant d'autres choses qui m'ont plu.
Je garde beaucoup de victuailles, des aliments, des éléments
Quand on se s'ra mis au vert, et pour nourrir notre futur à attendre
Je garde l'inimaginable, plein d'sentiments, plein d'compliments
Pour chasser mon statut de vilain, et te montrer mon âme de mec tendre.
Pour ma p'tite Erosette
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c'est tout mignon
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allez, je relance des mots, si ça vous dit...
faune
jardin
levant
octobre
chien
suite
popotin
misère
repas
vélo
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Des petits mots doux pour nounou...
Je suis assis, le popotin sur le gazon
À admirer la force du soleil levant,
Je prépare la table, en cette belle saison,
Pour un repas exquis posés sous le vent.
J'observerais avec toi cette belle faune
Dans le jardin de la vie et de ses douceurs,
Silencieux nous serons, voire même aphone
Pour écouter ce délice en cette douce heure.
Nous discuterons, entre chien et loup,
Jusqu'Ã ce qu'il n'y ait plus de suite,
Cet instant magique, c'est pour toi qu'j'le loue
En espérant qu'il n'y ait pas de fuite.
Je suis assis, et octobre arrive bientôt
Mais restons ensemble, contrant la misère,
Admirons la nature, avant d's'enfuir à vélo
Reste encore la plage, la forêt et les déserts...
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c'est magnifique!!!!!
vraiment!! et ça me parle beaucoup
tu mets la barre haute pour les autres!
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Il m'épate toujours, Eros!
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très beau Eros!
C'est bizarre avec tes textes ou j'adore où je déteste ! dans tous les cas il ne me laissent pas indifférente et celui j'aime beaucoup...
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oh, rien à voir avec la discussion, mais je vois que Voulouz est enfin sorti de sa sieste dans ton avatar! c'est l'été, et il a un peu chaud, on dirait (une caresse pour lui de ma part)
sur l'autre photo, on l'imaginait tranquille au coin de feu, et on avait envie de se coucher sur le tapis à côté de lui pour lui murmurer quelques doux secrets à l'oreille...
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il te fait aussi un gros poutou .......baveux! (avec l'été c'est pire)
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c'est enorme !
bravo
(je viens de découvrir ce topic .... vous avez le droit de me frapper honte a moi ...)
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~Flo-Creation~ a écrit:
(je viens de découvrir ce topic .... vous avez le droit de me frapper honte a moi ...)
rrrohhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
et il y a un atelier d'écriture 2, il mérite le détour aussi
mais qu'est ce que tu fais sur le forum quand tu viens? il est plein de trésors qui ne demandent qu'à être lus!
heureusement que tu te rattrapes en nous mettant de magnifiques liens, ou en rassemblant les vidéos de GCM.
alors, il te sera beaucoup pardonné
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10 minutes chrono...
J’ai beaucoup voyagé , j’ai beaucoup visité
J’ai vu tant de pays, découvert tant de contrée.
Au mois d’octobre dernier, J’ai visité l’Afrique
J’y étais déjà allé mais ce continent est magnifique
De la faune sauvage de Tanzanie,
Aux magnifiques dunes de Tunisie,
C’est de loin des 5 continents
Celui qui me fait rêver éperdument.
Certains diront que c’est la misère,
Mais moi quand j’y vais je m’ sens pas fier
Une telle richesse dans le cœur d’ ces africains
Me filent chaque fois, des coups de pompe dans l’ popotin
J’ai visité l’Asie, la c’est le dépaysement,
Surtout quand tu visite le pays du soleil levant,
Bon faut pas y aller pour faire de bon repas
Paraît qu’on mange du chien, mais qu'on ne le sens pas.
La suite me direz vous ?
J’ai visité dien ben phu,
J’ai visité l’Indochine
Et bien sur je me suis arrêté en chine.
J’ai visité pékin
Et ses magnifiques jardins
J’ai vu tous ces vélos
Croiser toute ces motos,
Cette ville est trop peuplée
La bas je suis désorienté.
J’en ai bien d’autre à raconter
Mais j’ crois qu’ les mots que je devais caser
Sont tous présent dans ce pt’tit texte
Alors j’ peux r’ tourner a ma sieste…
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c'est un plaisir de vous lire
voici donc d'autres mots pour vous et tous les amateurs....(et n'oubliez pas que les anciens mots sont toujours à prendre)
je vous en mets 13 Ã la douzaine (pris au hasard dans mon dico)
côtier
éléphant
coton
génération
peinture
ivresse
livre
malchance
manière
néant
noeud
pendule
profond
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La chasse est ouverte,
tapis sur le sol et vêtus de vert,
il n'est plus question de faire volteface.
Les êtres velus au pas de velours
se dirige vers les oiseaux de retour,
aprés des aventures inimaginables au long cours.
De l'air et des ailes comme locomotion,
rythmant la vitesse de la migration.
Soudainement une détonation
mit fin à la timidité du silence
et à l'existence sybilline
d'un pas si vilain canard,
de quelques livres seulement.
Pourquoi ? Pour finir,
autour d'une table et ses rires,
en victuaille,
victime du ventre. et de ses failles.
C'est l'heure des ridicules funérailles
où la faim et la soif sont de taille.
Du coup j'apprend des mots comme victuaille ou gréement, c'est ludique et instructif.Merci.
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Fabien a écrit:
Du coup j'apprend des mots comme victuaille ou gréement, c'est ludique et instructif.Merci.
de rien, lol, tu me scotches à chaque post, je suis ravie d'avoir au moins quelque chose à t'apprendre
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Quatre corps de docker,
massifs comme des armoires,
pratiquent l'art noir du poker.
Ni guitare, cithare ou cigare,
ici, ni valet, ni dame en talon.
Les pièces ébauchent une timide chanson
dans les poches des pantalons.
Regards de défiance, silence,
on guette l'échec et les défaillances.
D'un coup, un poing heurte la table avec violence,
le whisky dans les verres danse.
Les molaires découvrent les rayons solaires,
les salaires sont partis en colère.
Les coeurs étaient noirs ou absents,
les pics sont devenues rouges de sang,
les carreaux acceuillent l'hecatombe,
les trèfles poussent sur les tombes.
Sous les yeux d'un bébé,
un défilé de machabés,
dans le port de Bombay.
Vraiment je trouve, Nicole, que ton atelier est une trés bonne idée,
il encourage à l'écriture, c'est tout sauf une contrainte.
S'il vous plaît encore des devoirs professeur.
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Les volets se ferment pour la lune,
la ville offre ses lumières brunes.
Ses yeux, attentifs aux crapauds
et aux canards dans les marres.
En ce lieu, son âme et sa peau
n'ont pas d'amarre.
Central Park comme une vallée,
au coeur des montagnes de fer et d'acier
où l'humain ne s'éloigne pas assez,
de son passé carnassier.
Aprés le violent scalp des tours,
cet indien a fait le choix de l'amour.
Son esprit en partie prisionnier,
encore aujourd'hui des pionniers,
pardonne volontiers.
subsidiaire : Tous les êtres vivants trinquent,
à la santé de l'ornythorinque.
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Mauvaise idée le jaune
Les volets se ferment pour la lune,
la ville offre ses lumières brunes.
Ses yeux, attentifs aux crapauds
et aux canards dans les marres.
En ce lieu, son âme et sa peau
n'ont pas d'amarre.
Central Park comme une vallée,
au coeur des montagnes de fer et d'acier
où l'humain ne s'éloigne pas assez,
de son passé carnassier.
Aprés le violent scalp des tours,
cet indien a fait le choix de l'amour.
Son esprit en partie prisionnier,
encore aujourd'hui des pionniers,
pardonne volontiers.
subsidiaire : Tous les êtres vivants trinquent,
à la santé de l'ornythorinque.
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Fabien a écrit:
Vraiment je trouve, Nicole, que ton atelier est une trés bonne idée,
il encourage à l'écriture, c'est tout sauf une contrainte.
S'il vous plaît encore des devoirs professeur.
A vos ordres! lol (et encore 13 Ã la douzaine)
et je rappelle aux amateurs que tous les mots peuvent encore servir
(dans un genre différent, il y a aussi le jeu "kamouloxons!!"...ou des jeux de mots un peu plus bas, ouverts par Natty ou Eros)
avenir
vague
ruisseau
vilaine
haleine
courbure
menthe
ours
chandelle
reiterer
fantome
bellâtre
figer
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Je vivais en paix avec les éléphants
Les crânes je les fend
J'arrache des horizons côtiers
Je les écoute crier,
Au plus profond du bateau négrier
Ou se confond la terre et l'enfer
On m'a mis les fers
Je connais bien des manières
De faire le mal avec des lanières
J'ai fait des noeuds qui ne tiennent pas jusqu'au lendemain
J'ai monté des pendules humains
Je ne leur ai laissé aucune chance
Victime de la malchance
Donné tant de coups de ceinture
Puis j'en ai fait des peintures
Je brûle les livres avec ivresse
Mes aventures sont livresques
J'ai réduit au néant
Presque touché ce qui est grand
J'ai souffert et fait souffrir
Je me suis offert mes soupirs
Je suis au-delà des générations
Des races à la con
Du champ de coton
Au camp de concentration
Je tient l'arme
Je suis en larme
Je suis la main qui serre le fouet
Le dos blessé
Je suis toi et moi en entier
A moitié bon et mauvais
Je suis une plaie
J'essuie tes plaies
Pas la peine de m'épeler
Tu as compris, je ne suis que l'homme.
Merci encore, ces petits jeux vont devenir des textes
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Fabien a écrit:
Mauvaise idée le jaune
...
oui les couleurs claires en général ça passe mal
tu as un bouton prévisualiser avant de poster et si tu veux retoucher un post tu peux cliquer sur édit
dans ton post
A+JYT
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rencontre.
c’est pas discipline préférée, elle n’a pas confiance en elle
elle ne veut pas se regarder elle se dit vilaine
mais internet a éclairci son avenir
les sites de rencontres lui redonnent le sourire
Elle a rendez vous ce soir avec un bellâtre
Un dîner au chandelles suivi d’une pièce de théâtre
Autour d’une menthe à l’eau, ils se découvrent lentement
Il l’invite a danser mais elle refuse sèchement
pas question de s’afficher devant tous ces gens
IL lui dit qu’elle est très belle, avec un p’tit coté charmant
Une vague de bonheur l’envahit a présent
Après avoir réitéré sa demande, elle décida d’accepter
Et les voilà tous deux, a s’essayer de danser.
Ils sont délicats comme des ours, se marchent sur les pieds
Mais ils ont le sourire et c’est bien la priorité.
La soirée est passé, comme un ruisseau elle a coulée
Les voilà tous les deux au pieds de son entrée.
Yeux dans les yeux , ils ne cessent de s’observer,
Et quand il se rapproche, le temps semble se figer
La main sur la courbure de ses reins, il va l’embrasser
Elle pense à son haleine ce serait bête de tout gâcher
Un long baiser, puis un second tout s’est bien passé.
Il s’éloigne dans la rue , elle le regarde s’éloigner
Ce n’est plus qu’une ombre comme un fantôme
Elle n’a plus de lui que l’odeur de son parfum lancôme
Mais elle garde le souvenir mémorable
D’un homme charmant et admirable
Demain il la rappellera, ils se reverront c’est certain.
Internet, pour eux, a rapproché leur destin.
Dernière modification par seb de blancmesnil (27-09-2008 11:57:32)
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c'est extraordinaire ce que vous arrivez à faire!
il va falloir que je vous mette du grain à moudre avant de partir!
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je commence à avoir des crampes avec mon stylo pret a deguainer , j'attend impatiemment que notre chere nounou nous alimentede nouveaux mots...lol
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Prés de la crête,
une source vient de naître,
ce filet d'eau devient ruisseau
reflète le laid et le beau
Il fait miroiter à un ours bellâtre
l'image d'un bel être.
Son cours connaît des courbures,
des chutes, des cascades et des coups dures.
Son avenir lui fera voir milles chandelles
avant d'écouter le chant des baleines
il croisera l'amour et la haine
jusqu'Ã en perdre haleine.
Sur ses berges couvertes de menthe
dérive des pensées vilaines et démentes,
figé par ces fantômes qui le hantent
Il est soutenu par les eaux affluentes.
Il embrasse et débouche sur l'océan
décu de se fondre dans le néant
au début, il va réitérer ses erreurs
faire des vagues pendant des heures
avant de comprendre qu'il a fini sa course,
le voilà revenu à la source.
Dernière modification par Fabien (29-09-2008 17:08:18)
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Dans les courbures de la Vilaine
un ours bellâtre tient en haleine
un vague fantôme tirant les chaînes
d'un avenir en bout d'chandelles
Assoiffé et figé dans un ruisseau de sel
l'ours réitere son appel...
"je veux un diabolo menthe" (désolée je ne savais pas où caser menthe)
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stoupig!! quel plaisir de te voir de retour dans le jeu!
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