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J'irai t'aimer
Mais j'abandonne
J'irai nager
Dans la Garonne
Pourrir dans les sanctuaires
Déesse de mes jours acquis
Écrire pendant le cycle lunaire
Une messe d'amour dans l'oublie.
J'irai te dessiner
Mais j'arçonne
L'arbre fruitier
Dans mon somme
Boire mes peines indolores
Quand j'y pense sans cesse
Eden de nos actes en accords
Cherchant sans relance tes caresses.
J'irai embrasser
Mais je slalome
Toi point désiré
Notre binôme.
À la tombé des moments sombres
Les envies au points de non retour
Pilier un temps cachés dans l'ombre
Ressorti dans un coin dont je savoure
L'oublié instant recherché sans encombre.
J'irai t'aimer
Mais j'abandonne
J'irai nager
Dans la Garonne
Des profondeurs marines je m'endors
L'orteil chatouillé de ta grâce
Le cœur en exile je sais dès lors
Il n'y a de pareil à la surface.
Dernière modification par Pil's (03-05-2017 19:20:55)
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cet homme
Ce Crazy Horse
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on se fera un french cancan
Pas trop près de la Garonne non plus
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la vie est une pouffe
L'homme lui plouf
épris d'aimer une ouf
Il se sert de la bouffe
De la trousse, de la schnouf
Mais mon rimbaud, mon schtroumpf
tiens ton caddy à bonheur dans le carouf
On se plante, se stimule, ce barrouf
Toi qui glousse, moi qui souffre on s'en fous
La musique mon ami, la musique c'est tout
l'homme gomme au gamin devant la Garonne
C'est ouf
L'homme gomme tantôt penseur
Le gamin fou d'âme sœur
À Bordeaux deux chanteurs
Feu brûlant en douceur
Elle glousse, moi dans le souffre
De ton Chateau ou ta douve
Olivier rimeur blues
Les cœurs brisés qui étouffent
Elles gloussent, nous on repousse
Le plus beau sentiment, noyé dans la cambrousse
Dernière modification par Pil's (28-04-2017 14:03:43)
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Maxime il y a des lieu comme ça
Je crache dessus, d'autre je les encre
Tu me sens triste, d'autre je les comprends
La vie c'est du pansement et des blessure
Il y a les Ancres, les Belles, les Endormis
Ceux-là évite, il pue la mort, celle qui ne se dit pas
Des gens honnête, moi toi on est des coquettes
Des croquettes des jachères, peuvent pas testent
Mais s'essayent parce que ce qu'on donne c'est l'est
Le nord à l'envers du sud, à l'ouest toujours fonce-der
J'écris ma dalle de vivre et j'atomise ceux qui voient
pour croire, parce qu'au fond des choses ils ne savent rien.
Olivier continu de vivre à travers tes peines
La pente est rude, on est des coquettes
On est des battants, des gens aimants
Mes amis ne me comprennent pas
Les autres vivent comme toi et moi
Dans le reflet de l'eau,
où on ira chercher la lune
On ira chercher Neptune sans rupture
On ira, avec ou sans lutte
Ceux qui ne savent pas cela sont des incultes
Et seulement parce qu'ils ne connaîtront jamais nos joies
Malgré la tristesse qui s'accompagne, c'est la qu'on se sent vivant.
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où on ira chercher la lune
On ira chercher Neptune sans rupture
Merci
très beau texte Pil's, et merci pour le partage de votre dialogue
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Beau texte, encore une recherche dans la façon d'écrire, bravo
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Merci à vous deux
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