Forum Grand Corps Malade et slam

L'iode des vagues venants taquinées mes narines
J'avais mon stylo et ma muse dans mon ancienne vie
Idiote dague tenant mes belles pensées à écrire
Mon voilier vole si haut sans armure ni peine ressenti.

Chaque vers me rappelant le pourquoi de l'amour
Toi vieille rancoeur sans dignité ni bravoure
Page ou claque, le pied en mer bougeant les lois de nos jours
Parfois merveille, de mon cœur tu as fait ton séjour.

Le mistral agitant la marais lointaine
Mes souvenirs s'effaçant à la tombé nocturne
Fragile cristal naviguant près des anciennes plaines
À mentir, ramant vers l'oublié sentiment éternel.

J'irai puisé mes dernières forces près de la terre ferme
Pour qu'un pas nous sépare de l'impossible
J'irai près de la clairière où nos corps ère sans terme
Et ici bas sans arme j'irai battre les vieux souvenirs.