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L’histoire s'évaporait aux premiers rayons de soleil
d'autres chats à fouetter, où un certain désenchantement
qui amplifiait cet état de léthargie ambiante.
Trop de mots et paroles poreuses avaient eu raison de l'enthousiasme
l'envie de passer à autre chose, comme un besoin vital
une survie , dans ce calme plat indigeste.
L’électrochoc, voilà le mot qui revenait en boucle,
mais comment, çà , mystère,
on fait dire aux mots tant d'espoir
que l'attente en devient amère
plus les jours passent.
La première hirondelle se posa dans un ancien nid
retour salvateur, recommencement annuel
où les odeurs sont pérennes.
Dans la rosée du matin, des fils d'épeire
tissaient avec orgueil
défiaient de téméraires insectes.
Au jardin les outils reprenaient vie
avec cette passion qui fait dire
l'amour du travail bien fait.
sur les visages on devinait des désirs
prêts et parés pour,l'histoire nouvelle
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c'est beau. vraiment
J'aime beaucoup le second paragraphe... mais pourquoi à l'imparfait?
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Moi c'est le 1er vers qui me fait décoller.
j'aime beaucoup
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Comme Sylva, j'adore la seconde strophe, c'est le printemps qui repart, comme un nouveau départ, et on en a besoin en ce moment, Merci Nouga.
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La plume toujours belle! Joli texte Nouga!
"l'envie de passer à autre chose, comme un besoin vital
une survie , dans ce calme plat indigeste."
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merci a vous, et que le printemps soit synonyme d'espoir
Sylva le voila au présent
l'histoire s'évapore
L’histoire s'évapore aux premiers rayons de soleil
d'autres chats à fouetter, où un certain désenchantement
qui amplifie cet état de léthargie ambiante.
Trop de mots et paroles poreuses ont eu raison de l'enthousiasme
l'envie de passer à autre chose, comme un besoin vital
une survie , dans ce calme plat indigeste.
L’électrochoc, voilà le mot qui revenait en boucle,
mais comment, çà , mystère,
on fait dire aux mots tant d'espoir
que l'attente en devient amère
plus les jours passent.
La première hirondelle se pose dans un ancien nid
retour salvateur, recommencement annuel
où les odeurs sont pérennes.
Dans la rosée du matin, des fils d'épeire
tissent avec orgueil
défient de téméraires insectes.
Au jardin les outils reprennent vie
avec cette passion qui fait dire
l'amour du travail bien fait.
sur les visages on devine des désirs
prêts et parés pour,l'histoire nouvelle
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c'est aussi bien au présent, mieux même je trouve, merci.
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le passé donnait une petite couleur nostalgique à la 1ere, mais le présent va mieux à la 2eme
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je suis d''accord Nicole
donc 3éme version
L’histoire s'évaporait aux premiers rayons de soleil
d'autres chats à fouetter, où un certain désenchantement
qui amplifiait cet état de léthargie ambiante.
Trop de mots et paroles poreuses avaient eu raison de l'enthousiasme
l'envie de passer à autre chose, comme un besoin vital
une survie , dans ce calme plat indigeste.
L’électrochoc, voilà le mot qui revenait en boucle,
mais comment, çà , mystère,
on fait dire aux mots tant d'espoir
que l'attente en devient amère
plus les jours passent.
La première hirondelle se pose dans un ancien nid
retour salvateur, recommencement annuel
où les odeurs sont pérennes.
Dans la rosée du matin, des fils d'épeire
tissent avec orgueil
défient de téméraires insectes.
Au jardin les outils reprennent vie
avec cette passion qui fait dire
l'amour du travail bien fait.
sur les visages on devine des désirs
prêts et parés pour,l'histoire nouvelle
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Salut Nouga
Je ne l'avais pas vu ni lu à l'imparfait mais au présent, je trouve que c'est beaucoup plus.... doux et
reposant...
Beau printemps, Nouga.
De très très z-affectueux poutoux z- à vous et aux vôtres de nous Neuf, Brestoises bientôt plus Solitaires...
Mon petit printemps à moi - Mutti - arrive vers 15h 45 par le...train....et en ...chantant.....
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je le lis à haute voix je vois pas la différence
Le premier je le trouvais bien parce que ça emmène
Monnz, en effet il y a de quoi s'y perdre....
Nouga, sur les conseils éclairés de Nicole, a remis sa première partie à l'imparfait mais la deuxième partie est maintenant au présent et ses mots ne sont que plus doux et reposants... et à lire à voix haute , c'est plus agréable.
Voili, voilà ....
De très très z-affectueux poutoux z- à vous et aux vôtres de nous Neuf, Brestoises bientôt plus solitaires...
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cool merci a vous
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Bravo pour le texte et ses reprises qui tiennent compte des avis. Différentes manières d'en savourer les mots.
"on fait dire aux mots tant d'espoir
que l'attente en devient amère
plus les jours passent."
Heureusement le printemps revient toujours.
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merci maya
le printemps attendu comme un du
l'histoire s'évaporait, en lisière ou à l'orée
elle s'évapore encore, météore
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Oui, je suis d'accord avec le résultat, la première à l'imparfait pour le côté nostalgique, la seconde au présent pour le côté poétique. Merci Nouga
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