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L'écriture c'était mon refuge,
chose qui dure et amuse.
L'écriture c'était mon thérapeute,
qui soigne les ruptures d'un feutre.
J'ai écris sur n'importe quoi,
sur ma vie, les marmottes et les gens que je vois.
J'ai écris jusqu'à saigner de l'index,
de minuit jusqu'au chant matinal de La Mecque.
J'ai griffonné sur les hauts rivages,
à balayé mes pensées parano qui prennent le large,
j'ai déposé sur ta peau ces quelques lettres sans marque page.
J'ai écris des je t'aime mon cœur,
des mots qui se traînent à la recherche du prochain jour,
j'ai peu dormi entre mes rêves et mes pensées troubles.
J'ai écris les pires textes, mais mes plus beau sont ceux que j'ai fait rimés avec amour.
Les nuits blanches je les comptes plus,
papy se déhanche encore je l'ai vu,
arpenté la danse au corps de mes mots style "rébus".
L'écriture c'est une grande famille que je complète à la première idée venu.
Maman elle pense encore à moi et à mon âge,
beau papa je le balance dès que je le vois en arrachant les pages,
je reviens à un temps où j'étais attachant et respectant le nombre de laitages.
L'écriture c'est un sacré farceur jamais en rupture de blague.
Je pars à la mer puis à Alger, sacré plume !
Je largue mes affaires à côté de l'arrêt de bus,
où le hasard m'a préparé la rencontre aussi belle que la lune.
Celle où je séduit d'une onde la femelle qui sera mienne, avec ou sans lutte.
J'écris sur le clochard du coin,
des souvenirs de l'arbre du jardin.
De la crêpe caramel
ou de la saint Valentin,
un texte qui s'appelle
ainsi va, le va et viens.
J'écris quand j'suis triste
ou pour me faire remarquer,
à la moindre envie j'me rebiffe,
une trêve où j'me laisse embarqué,
pour laisser de côté le titre,
partir d'un rêve qui vient se dessiné.
L'écriture c'était mon refuge,
j'sais plus trop c'que c'est.
Prétexte ou muse,
j'sais plus trop quoi gribouiller.
J'écris que mon cœur va mal !
Que mon cœur va bien !
Que le bonheur s'installe !
Aussi vite qu'il s'éteint !
Que regretter c'est mal !
Quand le sourire se souvient !
De quelques balades...
D'une brise, d'un matin
avec tes lèvres en spectacle,
je me retire, la plume à la main...
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"L'écriture c'est un sacré farceur jamais en rupture de blague."
En voilà du frais... cool pil's.
et pour le reste c'est top et en vrai ça donne envie d'écrire; sans blague
Merci pil's....
M comme matricule d'un Mc sans mic, qui aime ça
Main pleine d'encre, la tête plein d'espoir de myopathe
Parce que je ne mâche pas mes mots, je dézingue avec
La même frappe qu'un Mohamed ali, l'écrit c'est mon âme man!
O comme trois pommes, o comme l'ombre du soleil
O comme l'orage, le ballon orange qu'on smatche
Dans l'Art sot, pour marquer notre rêve américain
Sur le boulevard des étoile, mais je suis plus armoricain
O comme un noyau d'olive dans le fond des bottes de soldats
Otage de mon passé, je ronge les os, les chaines, les ton-ba
O comme dans Homme, comme dans come je suis assis à l'Ouest
Au seuil du monde, où la mer danse avec la lumière là -haut.
N comme haine contre la haine, j'annihile les chance qu'elle me saigne
Nul n'est son ennemi en lui, juste le Seum qui traine sa sale rengaine
Je nie avoir dénoué les liens avec mon nid ou nul ne se frotte sans ennuis
N comme naitre, nénés, ainés des trois, je dois naviguer à vue, donc je zig-zag
Z comme Zorro le plus grand des charlots, je suis le héros de ma vie
Zèbres déguisé en Dragon, je crache comme une mouche Tzé-tzé mon horizon
Zoli ou s'en font les voiliers et enfants d'un Zoo de fous et d'aimant
Z comme Fin, comme l'écu d'une ZUP point Zero de mon Z de dyslexique
MoonZ en un mot : L'ZUPERHEROS.
Dernière modification par MoonZ (26-04-2016 10:04:48)
N comme nobody is perfect, et la vie ait conquête
il pleut des roquettes sur les anges déchus
la mort est un quotidien pour eux défendus
a quand un sursaut pour qu'ils fassent la fête
O rage dans mes veines , mon sang bouillonne
mon dard aiguillonne, je combats les moulins
j'écris mon destin a coup de pas incertains
la vie est une épreuve ou rien ne ronronne
U utopique ma marque de fabrique , innée
tatouée dans mon cortex, a l'encre des mots
qui sortent de mon chapeau, un brin mégalo
le pouvoir de dire haut, mon idéal rêvé
G pas encore gâteux, mais presque diront
ceux qui croient que les années sont fardeaux
imaginent des lendemains comme des troupeaux
alors qu'il suffit d'avoir un peu d'imagination
A la lettre d'amour, d'amitié, d'argent également,
mais jamais celle de la haine qui n’enchaîne
jamais celle de l'individualisme a la peine,
mais au contraire le A qui t'aimes éperdument
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en impro ou?
nougatissime
impro direct
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pil's désolé mais on est bien chez toi!
bravo nouga
Qu'est-c'qui vous arrive les gars ?
Perso, avec mon 3ème bouquin qui tend à se boucler, les sujets se raréfient.
C'n'est pas une panne mais ça y ressemble.
En tout cas, bravo les gars.
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Bravo Pil's et vive l'écriture!
Essaye un accrostiche de ton pseudo Itess
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Bravo à tous! je me régale! (moi c'est pas le gigondas, ce sont les mots )
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Tu as bien raison d'écrire, Pils. Les mots ont tant de choses à nous dire et nous permettent de dire tant de choses.
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Pas mon truc, la Miss.
J'ai déjà beaucoup écrit en plus là -dessus...
Extrait:
Pas la peine
Que j'te rappelle
Que j'fais du rap à la pelle.
Tu sais comment j'm'appelle ?
J't'épèle: I.T.E.2S, ma belle....
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