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moment charnière,
C’est un moment charnière,
me répète le serrurier,
dont le trousseau,
sera sa dot.
quel élégant sésame
de vive voix, le quidam
s'exclame
mais pour le pêne
pas de bohème
reste l'ADN
en guise d'alibis
une clé amie
sera vigie
car si la clenche
se déclenche
par malchance
faudra un cadenas
sinon patatras
tous a l'internat
à moins qu'un verrou
fasse son trou
peu ou prou
quant au loquet
s'il faut zieuter
ce n’est pas le pied
et la targette
mazette
il y a belle lurette
c'est un moment charnière
entre deux portes
ressasse le serrurier
pour l'anecdote
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pour regarder par le trou de serrure ( of course
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pour mater les derrières
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et la chevillette?
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chera
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état d'esprit
il avait la queue, entre les jambes
quoi de plus normal
c'était un mâle
et l'estomac dans les talons
une allusion
a sa façon, d'avoir l'eau a la bouche
la tête sur les épaules
comme c'est drôle
ça lui mettait la puce à l'oreille
quand il vivait sur son petit nuage
et quand il avait les pieds sur terre
même sa mère
disait qu'il avait les yeux de Chimène
ce qu'il ne l'empêchait point
d'avoir plus d'un tour dans son sac
pour coincer la bulle
un pacifiste en sorte
entre septième ciel
et muet comme une tombe
quand il était dans sa tour d'ivoire
d'où son besoin de battre la campagne
pour rester comme un poisson dans l'eau
sans être fou à lier
car si les voies de Dieu sont impénétrables
"mystères et boules de gomme"
en somme
état d'esprit, destin et lendemains
il ne lésinait pas sur les moyens
d'aller plus loin
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C'est trop bien quand tu joues avec les mots comme ça Nouga!
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et pour aller plus loin, il prend ses jambes a son cou?
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merci les filles bises
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Nicole : Bravo pour ta réponse… Tu as écrit et il prend les jambes à son cou
Nouga, en prenant la poudre d’escampette vers Montélimar, tu nous joues un sale coup
Tes jeux proverbiaux avec les mots vont nous manquer… Rien à mettre au clou…
J’apprécie toujours autant tes facéties… Je me suis régalée de bout en bout….
De très très z’affectueux poutoux z’à toi et aux tiens de Thanalie de son far Far-West….
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Thanalie bises merci bcp
frerot bises a vous trois a+
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elle se pend à son cou pendant que lui prend les jambes à son, du coup, ne voulant pas la corde au cou, il coupe court au malentendu
ce qui s'appelle tordre le cou au cliché
je vous évite le coup de grâce
et sans coup férir
je vous dis au prochain texte
en espérant qu'il vaille le coup
coucou a vous
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T' es doué, poto... Y'a pas à dire
Pour rester dans le coup, emportes - tu un ordi à Montélimar ?
Si non, tu vas cruellement nous manquer
Et déguster tes slams et ceux des autres, ça vaut le coup ...
A + Thanalie de son far Far- West
Dernière modification par Thanalie (07-10-2014 20:14:01)
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pas d'ordi, et demain dés l'aube a l'heure ou le TER partira vers Renne, j'aurai une pensée pour le forum
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ben je crois que tu vaux le coup en effet!
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Tant pis pour nous...
Tu vas vraiment nous manquer...
Si tu vois Itess, donnez nous de vos nouvelles ....
Ce sera ça au moins de gagné...
Bon séjour à Montélimar et profite bien du beau temps...
Embrasse ta mère de ma part....
De très très z'affectueux poutoux z'à toi et aux tiens de Thanalie de son far Far- West bien gris...
Dernière modification par Thanalie (08-10-2014 12:36:44)
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merci a vous deux
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Un texte décalé
décalé de quoi ?
Quoi un texte!
texte décalé , un
un quoi décalé?
décalé un texte.
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Et puis c'est quoi un texte ?
Des mots sortis par réflexe ?
Un texte trouvé dans un pré,
Est-il un prétexte
A l'écriture de ce dernier ?
Décalé ? Moi ? J'y étais presque.
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rap ou slam, quelle importance, du moment que ça s'écrit
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je suis là -bas celui qu'on appelle Adreuz
Entre les arbres à fruit, l’aube dore le sentier.
La lumière est rasante, mais le soleil est entier.
Un vieil homme rumine debout sa carrière de rentier
Il se dit qu’il aurait préféré être Parmentier…
« Inventer l’idée de faim dans le monde et tenter de la tuer
Il n’y a que d’illustre penseur pour sauver le monde avec de la purée »
Et si ses rêves l’étouffent de rire, l’homme sait qu’il n’y aura pas de curée
Pour sauver son âme, car Dieu et lui ont décidé de s’éviter.
Le vieux suit les senteurs du parc, s’émerveillant d’une goutte de rosée.
Pourquoi se souvient-on ? Les Hommes devraient croire en leur odyssée
Nous cherchons dans l’immensité une réponse à nos silences blessés
Les Idéaux sont des rêves et nous réalisons le chemin à faire
Pour parvenir à exprimer le silence que nous renvoie l’Univers.
Notre présent aux portes de l’époque
N’est que monnaie de singe Rage de l’expression,
J’ai lu Rimbaud et Ponge, encore benjamin dans l’équipe de foot
Dans le décor, gosse énervé sur le ballon rond. Je shoote
Enrage et coute coute repart, le but est au bout de le route
Le soleil à l’horizon plonge là où nos espoirs se sont échoués
Et si se perdre permet de se retrouver
Je serais loin avant longtemps, prêt pour l’aventure
Si je pète un plomb, qui sera là , je n’ai pas de conseils à donner
Je n’ai pas de Francs à rendre, je fais ma vie, bon à rien sinon à rimer
Mes rêves se sont en voler, je parle juste pour décrire ma réalité
Et si ça ma pèse tête baissée, c’est que rien ne me grandit en vérité
Les textes décrassent, c’est l’axe d’un slam, ici
Trace de vie à l’écrit l’encre crie, on est tous craie vrais
Magritte dans le décor je repeins les pomme en sourire de joconde
Mange et rêve de ce que nous pourrions faire du monde
Songe que c’est une chance et passe l’éponge une seconde
Tu penses que nous sommes pris au piège de la société
Mais ta pensée n’est pas imposée et tes visions libérées
Qui nous empêche de lâcher le vase d’eau du maitre
En souriant.
Je passe mon temps à apprendre
Et le rendre sur peinture, les livres les pensées sont des couleurs
Elles composent le tableau de notre histoire
Et je ne fais que peindre ce que je ressens dans nos déboires
Dans nos joies, dans les textes qui passe et tressent d’être fresque
Avec des brindilles de poésie et des rayons de lumière
L’espoir qu’on y trouve est plus important que de savoir
Qui prendra ou pas la dernière bière.
Ce que je retiens des minutes passées,
C’est qu’ils ne veulent pas de nous
Que tu dois jouer un numéro sur chaque série
Et tu aimes l’idée d’être manufacturer
Dans le plus de petites mains que possible
Tu aimes l’idée de vendre ton âme couturer
It Is a life Combien on saignait pour que nous en pleurions
Je ne sais pas ce dont j’ai besoin pour vivre en vision
J’ai lu richard 3 pour savoir que Dieu fait peur au chien.
Ouais un scélérat ! Ça aussi j’ai appris à le faire dans la langue de Molière
GOD is DOG ! J’ai toujours aimé cette vision des sales canidés.
Ils ne me feront pas dire autrement ce que je pense en vérité.
Il y a jamais plus que ce dont nous avons besoin dans le ciel comme ailleurs.
Et si nous préférons l’image du paradis à l’enfer,
c’est que nous sommes meilleurs, pas pire que leurs visions de la vie sur terre.
ma strophe préférées est
"Je passe mon temps à apprendre
Et le rendre sur peinture, les livres les pensées sont des couleurs
Elles composent le tableau de notre histoire
Et je ne fais que peindre ce que je ressens dans nos déboires
Dans nos joies, dans les textes qui passe et tressent d’être fresque
Avec des brindilles de poésie et des rayons de lumière
L’espoir qu’on y trouve est plus important que de savoir
Qui prendra ou pas la dernière bière."
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un autre....
Malaxe tes neurones !
Fléchis et glisse comme le vent
Sur la surface de l’eau
Le roseau plie et l’arbre casse
Et les âges terrassèrent des civilisations entières
Quand l’esprit qui flotte sur l’onde
Au bord de la rivière, reste le même
Interroge tes bonnes idées
Comme une femme fatale que tu imagines accrocher
Traverse les flammes et moque-toi d’elles avec un pied dans le seau
Créature d’abysses
Tu seras dans la mythologie de l’art sot ou la lumière à l’horizon
C’est l’axe d’un homme qui fait son équilibre
Et le monde est un diamant
Et les étoiles sont des diamants
Et nous sommes des battements par minute
Sondes-tu les profondeurs de mon esprit
D’où germe un geyser comme un Uppercut
Le Pitch vient de commencer,
La foule est en Amérique du nord sur la trace
De calamity janes et Billy le kid,
Les quidams ont kidnappé le Rap dans une casse
Brasse la masse du terminal A au BEP salle 23,
Je ne cravache pas, monsieur
Je ne suis pas un esclavagiste
Je joue au damier en Martinique,
Je jam sur le Tam-tam
Les micros branchés ouais,
La Tribu est dans le bipper,
Je pars madame
Les maths sont capables de soulever le monde ! Non ? bon !
Je mets en échec les grillages, pour une grillade,
La brigade passe j’enchaine En scred,
Connecte mon WIFI,
Et repasse l’enfer avec deux enfants d’Hamburg royal cheese.
Tel est le bonheur en quelques minutes la chambre fume, parle, rient bien !
Bingo dans la poche,
Je raccroche avec les X-men,
En mission pour le Onzième commandement
Ne dis et ne veut pas de mal aux voisins…
Je flane sur du bon son qui fous le boxon
Je rêve de justice pas d’ordre, de poésie, pas d’or,
Je suis un Klaxon sous le patron
La marmaille rit, le boss assis attend
Que tout deviennent noir pour rentrer dans son Abri nucléaire.
Mais fixé par les projecteurs
Mon acteur en habit de tueur à gage sort du seau
Un gros bon son pour les Truands
Et les gens applaudissent les films de bang bang !
Il n’y a pas d’habits qui nous protègent assez,
Otage d’un temps qui m’accapare la pensée
Je suis une victime de la crise ou un être sensé ?
Je me demande. Sur feuille canson dessein et peine
Se confondent dans les yeux d’un gosse presque Zen
Zoom Zoom zeng ! Je lâche mes Benz dans l’arène
Chevaux-moteur de la destinée, donnez-moi des syllabes
Besoin de décibels de désirs beaux pour ma lubalys sur dub
Labiale poésie de la parole, je suis l’enfant de l’aube
Des racines aux fruits de l’arbre, je fais fleurir les fleurs de Son
Aux plaisirs des piliers de la horde de Malt, mon mal en chanson
Je suis le kyste… là tu meurs, je suis le Kiss sur ton mal
Balivernes et ballerines sont des rats dans mon opéra fantasmagorique
Je suis allégorique ou je ne suis pas, gnose des pensées des mots
Des idées jetées dans le courant, j’inventerais un Zoo pour mes mômes
Avec des animots, je dirais il y a les animâles et les amies femelles
Ils y a les amibes et les nababs-là qui se sucrent avec nos gamelles
La tortue-là qui se maquille de rimmel est la sœur de gargamelles
Son chat cherche la terre promise avec des as en guise de lys.
Je montrerais à ces mômes l’odeur du blé, la senteur de la vase
La noirceur et je leur dirais regarde naitre et mourir le soleil
Et dit moi qu’elle moment préfère tu de la journée.
Mais je me demande à quoi ça sert.
Si c’est pour faire de la thune, c’est sincère
Simplement, personne n’aime ces airs
Parce que l’auteur se ballade avec des miroirs
Et que c’est dans ce miroir que se reflète notre laideur
Notre bonheur, je ne dirais pas ce qui n’a pas besoin de mots
La haine, la peur et la colère sont des ronces et des lierres
Mais parfois il arrive qu’on appelle espoir les bourgeons qui les fleurissent.
Ce n’est qu’une image. Mais elle nous sert à savoir quand toute chose
Il y a de l’ombre et de la lumière...
j'essaye de le corriger, mais je suis un impatient.
Dernière modification par MoonZ (30-10-2014 18:41:25)