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ploc, ploc,
toc, toc...
Passe sous le pont,
rentre dans ta maison.
Il y a trop de haine,
dans tes veines...
Comme cette porte de prison
d'où tu ne vois plus l'horizon.
Apostrophe
sans rime,
catastrophe
sans crime.
Pas un drame,
pas une larme,
juste une prière,
dans l'atmosphère.
C'est l'ampli de tes sentiments
qui dicte les pas du présent.
C'est l'absence de tendresse
qui me blesse.
Pas de vague à l'âme,
on part demain,
comme dans un film de charme,
dont on ne connait pas la fin.
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c'est assez particulier de passer des mots: haine et prison pour arriver à un film de charme, il me manque des éléments pour suivre ton chemin, mais c'est bien écrit
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J'aime bien tes images. En fait on passe de la haine à la résignation et on verra ...
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oui, comme dit nicole, il n'est pas facile de saisir tout le sens du texte entier...
j'ai beaucoup aimé:
"Pas un drame,
pas une larme,
juste une prière,
dans l'atmosphère."
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