Vous n'êtes pas identifié.
Bonjour!
Voici un petit texte que j'ai écrit hier... Dites moi ce que vous en pensez!
Le sable courait, glissait, s’évadait de la dune compacte ou il était prisonnier.
Le sable matière vivante sans limites ni âge, le sable qui lui pouvait s’échapper des barreaux des prisons de ces sociétés conformistes qui construisaient son avenir.
Et la mer à côté.
La mère du monde.
La mer qui s’échoue sur le sable.
Qui s’échoue sur l’avenir, l’effaçant, leur rendant incertain.
Et dispersant dans l’air autours d’elle un parfum familier d’iode.
Un parfum rassurant presque maternelle, un parfum qui vous entoure, vous laissant presque étourdi lorsque vous sortez de son emprise.
La mer transparente comme la vérité, et on sentait dans cette vérité la une vérité difficile à avouer.
La mère, mer, portait dans ses bras son enfant.
Son enfant.
Ses cheveux bruns, bouclée, défiant toute conformité, sa peau, couleur du monde, son être, disparu.
Pas d’être dans cet personne peut être un léger « j’ai été » mais presque impalpable tant on été obnubilé par l’absence du « je suis ».
Son enfant était mort.
Et plus elle essayait de se l’avouer, plus elle espérait un happy end.
Mais si l’espoir fait vivre, il ne rend pas la vie.
Je pense que c'est très émouvant et que tu as grandi trop vite! C'est sûrement lié au drame que vous avez vécu toi et ta famille
Le début de ton texte me fait penser a celui que Fabien a écrit pour Celine Dion "La mer et l'enfant"
Je suis la mère, tu es l’enfant
Aucun lien n’est plus sage
Tu es le sable, moi l’océan
Tu es mon seul rivage
Je te recouvre chaque instant
De mes vagues de passion
Comme une mer de sentiments
Et d’affection
De toute ma tendresse
Mes vagues te caressent
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
Je suis la mère, tu es l’enfant
Aucun lien n’est plus fort
Tu es ma terre, moi l’océan
Tu es mon seul décor
Je sais devenir capricieuse
Je peux me mettre en sang
Et jouer la tempête furieuse
Qui te défend
De tout mon privilège
Mes vagues te protègent
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
Paroles de Grand Corps Malade, interprété par Céline Dion
Dernière modification par sylvie32 (12-06-2014 18:41:36)
Hors ligne
Merci
Je ne connaissais pas cette chanson...
essai réussi
bravo
Hors ligne
merci nouga
les dunes, le seble la mer, la tristesse, tout trouve écho en moi
Hors ligne
Merci!!