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Stylophone.
À l’encre diaphane,
Parlant de mon âme,
L’art meurtri dessine, dans le vent si calme,
Ces nuances mauves,
Ces feux d’automne qui fanent.
Mes yeux giclés par le froid, rient et pleurent.
Je me méduse encore, je me transpire et j’hurle l’heure
Ile déserte, il est temps !
Aujourd’hui, j’en ai peur.
J’ai appelé ton nom mille fois avant de m’en retourner aux larmes.
Comme la mer est belle ce matin,
J’y noierais mon âme
L’absence qui serre mon cou
A eut raison de ma flamme
Je ne serais plus ici, demain,
Voilà tout Madame.
Belle poésie déchirante,bravo
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+1 avec Sylvie
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c'est beau, et c'est déchirant en effet...
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