Forum Grand Corps Malade et slam

Muraille d'été, chaîne d'automne
Flamme de printemps, cendre d'hivers
Est-ce Dieu qui condamne les hommes
À errer dans des corridors infini?
L'homme traîne l'homme de par la chaîne
Où son cœur est étreint au dernier maillon
Les larmes noirs durcies par le formole qui sommeille derrière le sucré de l'amour
Nos mots se brûlent à l'apparution du jour
Non ne t'enfuis pas là où ne peuvent te poursuive ses yeux.
Les pieds rougissent par le sang des colombes écrasées,qui innocemment volaient dans ses abîmes.
Est-ce Dieu qui condamne l'amour à condamner les hommes?
Comment puiser le limpide dans le soleil grissonant?
Le dernier baisé avec lequel il voulait te retenir, ses détaché de ses lèvres pour marcher sous la pluie, errer dans des cris,
Des cris qui font germer des murs sans issues
Il n'y avait plus de sortie.
Est-ce l'Homme qui torture l'amour
Après que l'amour est poignardé l'Homme?
Ou est-ce l'amour qui torture l'Homme
Après que l'Homme est poignardé l'amour?
Tant de phrases prônée aux lèvres se brûlent
À l'apparution du jour.
De ses cendres poussent des transparentes fleurs
Et de son visages poussent des transparent pleures.
L'univers se casse sous lui
Il vais devoir marcher avec des tessons sous ses pieds
L'obscurité dans les pupilles
Les mains en avant
Tentant de ressaisir du bout de ses doigts
Ce chemin dérobé à ses yeux.
Les larmes existent belle et bien
Mais non l'armure pour le cœur,
De tout ces cœurs détruits, par un amour gagné par la peur...
Muraille d'été, chaîne d'autonme
Flamme de printemps, hivers de cendre...

IL N'EXISTE PAS D'ARMURE POUR LE CÅ’UR

Zabissa le seigneur Z