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Être poete ne suffit pas à éteindre
La confusion qui éclaire mon esprit,
Les destins parallèles qui s'enchainent.
La souplesse de l'oiseaux ne s'hasarde jamais à le faire voler dans une dimension
Qui ne lui est pas accessible, aussi orgueilleuse soit-elle.
Mais les courants qui pilotent le destin humain semblent fougueux, ou trop sage
Pour mon esprit sans frein.
Neanmoins j'en retiens chaudement des frasques innombrable, qui sont les sèves
De ma sensibilité.
Cet organe inconditionnel qui monte avant nos jambes l'escalier de nos choix, de nos vies.
Nous fait exeler dans la douleur, le courage, la faiblesse, et la peur.
J'ai crié les mots sensible, à l'oreille d'un destin sensible.
Insensible même à la plus agonisante des voix, à la plus evocatrice plaie du siècle.
De ce siècle qui boit voracement la vomissure des siècles précédent, mais de quel siècle le premier siècle a t-il bu la vomissure?
La douleur abuse de nos blessures,
La tentation de nos pensées,
Et l'amour de notre cœur.
Tout suit son sicle, mais à nos dépends il mè semble.
Je reste immergé dans cette ignorance,
Où je respire mon infériorité.
J'accède à une dimension de souffrance qui n'est pas sensée être la mienne,
Et je regarde impuissement ces différents moments qui viennent chacun à son tour, couper un bout de chair à mon cœur, à ce cœur qui ne s'éteind jamais.
Je pointe mon index vers le ciel, j'ouvre ma main, et je saisis le soleil.
Je dis à ses yeux: me vois-tu?
Puis à ses oreilles: m'entends-tu?
Nuit de doute, jour sans conviction, année de résignation, siècle d'indignation, ignorance de malheur!!! qui es-tu???
Tes eaux suivent le sillon de ta destinée,
Te contraignant de nous emporter avec toi!
Mais de grace! Ralentis ton voyage, car,
Je ressens mes essences conserver leur chaleur au cœur de la glace.
Où je sonde le chant des oiseaux, le regard des enfants, les moindres signaux révélateurs que font tomber le vole des aigles.
Mais le socle de l'Humanité semble être conservé dans un vide argenté.
L'Homme n'est pas assez humain pour prétendre l'avancer, peut-être devrais-je renoncer..
Zabissa le seigneur Z
Dernière modification par Zabissa777 (28-02-2013 12:32:32)
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une belle interpretation de ta sensibilité
j'aime bien cette phrase """La douleur abuse de nos blessures,"""
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Ah merci! La sensibilité est ce que nous ne devons jamais perdre, bien quelle soit douloureuse,,merci à toi!
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Des fois on désespère de la race humaine et quelque fois elle nous surprend avec plaisir !
Ce n'est pas l'humain qui est mauvais c'est le monde dans lequel il vit qui le pervertit !
Mais il reste des lumières qui peuvent nous donner le chemin à suivre ! Un phare dans la tempête ! Une étoile qui donne une direction ! Un feu dont les flammes nous réchauffent quand on est perdu et que l'on a un peu froid !
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bon retour, Zabissa, joli texte
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Au printemps, la sève irrigue les veines de nos mains, qui a fleur de peau, pointent la plume en plein coeur de la cible, comme pour y tatouer, au fleuret, une marque indélébile ... Cela nous laisse pas insensible (un sans cible !) ... !!!
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"Être poete ne suffit pas à éteindre
La confusion qui éclaire mon esprit,
Les destins parallèles qui s'enchainent.
La souplesse de l'oiseaux ne s'hasarde jamais à le faire voler dans une dimension
Qui ne lui est pas accessible, aussi orgueilleuse soit-elle.
Mais les courants qui pilotent le destin humain semblent fougueux, ou trop sage
Pour mon esprit sans frein.
Neanmoins j'en retiens chaudement des frasques innombrable, qui sont les sèves"
De ma sensibilité."
superbes vers d'introduction
et le reste du texte est douce poésie
merci pour ta sensibilité
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très joli et sensible... en effet le début est fort, et la suite coule bien également.
bravo, de belles images en plus
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Merci à vs tous! C'est m fai chau o cœur vo com!
Eh la malice Jaim osi bien vtr sensibilité,,la plume qui se pointe à notre cœur,,,
Merci Mj jsavè ke t'aprecirai,,,merci à tous!
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