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De bourdonnantes pensées frictionnant l’imaginaire
Crispées dans un drap où l’amour règne
S’évadent dans ces contrées de bois solitaires
Que Vénus embrasse d’une lueur blême.
Où est l’étoile qui dore le lit d’aurore,
La femme en chœur avec l’harmonie de la nuit
Qui soupire à chaque poème que l’enfant sort
Et qui revient sans cesse aux battements d’ennui ?
D’éclairs zèbrent le ciel silencieux,
D’éclairs d’espoir en mon âme teintés
Et ses fenêtres ouvertes refont à deux
Un seul visage d’où la lumière est née.
Les paysages s’envolent comme les souvenirs
Le temps n’a laissé que de vains ouvrages
Dont le cœur n’a encore pu s’affranchir ;
Des lambeaux de robe et d’autres pages.
Dernière modification par Vague (15-02-2013 16:08:39)
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salut ami
bon texte
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d'accord avec nouga!
j'ai pris une puissante vague de poésie
bravo
Dernière modification par écriturienne (14-02-2013 20:09:51)
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bon retour, Vague
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C'est très bien foutu et avec ce beau style propre à tes écrits . Bravo je te souhaite le meilleur en tt cas
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Une vague pensée qui nous laisse rêver à des vagues qui se fracassent contre les rochers !
Des lambeaux de phrases qui nous laissent espérer que les étoiles ne s'étiolent !
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Voilà une jolie façon de faire connaissance avec toi Vague. Très joli texte
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C'est très évaporé ! ça plane bien ! Sympa !
un petit truc qui me gêne ! J'aurais mis "Dont le coeur n'a encore pu s'affranchir !
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Merci beaucoup pour ces commentaire ...Je change ça de suite Blanc-Mesnil
d'ailleurs j'ai hésité déjà ...
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La muse, comme une nymphe ou comme le rut du cerf ? ... Je divague, ça m'amuse... ça, ma muse ... !! entre la mer d'huile et l'écume, entre une mer calme et le ressac, ... emporté par la beauté de cet imaginaire poétique qui se dégage ... comme " ... Les paysages s’envolent comme les souvenirs!!! ..."
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La muse comme nymphe plutôt
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