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bon, j'avoue celui ci respire la déprime, et c'est vrai qu'il est pas très gai, mais c'était la période qui voulait ca...alors si vous êtes à tendance suicidaire, ben évitez, sinon bonne lecture.
ah j'oubliais c'est encore un vieux truc, mais je fais tout pour m'améliorer lol
A la lisière du monde
Parfois je me demande si je fais parti des vôtres
Souvent je m’interroge, à qui la faute ?
En retrait je ne puis rester, de ce monde, je suis l’hôte
Un hôte ou un otage, ceci annonce un présage
Sommes-nous des acteurs ou de simples personnages
Peut être des seconds rôles, voire même, des premières pages ?
Le temps imprime sur nos âmes des cascades de naufrages
Et de chaque terre ou mer on vient y faire naufrage
Ecrasant nos douleurs sur les plus belles plages
Devons nous pénétrer, devons nous...
Ou bien restés figés, devant nous
A la lisière du monde, juste, à genoux
Parfois je me demande si vous faites parti de moi
Si de vos coeurs ressort un orage qui se bat
Et s’il pleut dans vos corps lorsque vous avez froid
Un hôte sortis de l’ombre, les yeux grands ébahis
« Que faites vous ici, et moi, qui suis’ je aussi ? «
Aucune réponse en moi, j’ai le coeur démoli
Le temps imprime sur nous des morceaux de murmures
Et vous cueillerez bientôt, un fruit parfois trop mûr
Un fruit rempli de rage, écrasé contre un mur
Devons nous pénétrer, devons nous...
Ou bien restés figés, devant nous
A la lisière du monde, juste, à genoux
Parfois je me demande si je dois tout raccrocher
Laisser devant vos pieds cet être inanimé
Me laisser emporter, au firmament, m’élever
Mais la vie me reprends très vite à contre pieds
Elle me tacle au mollet, comme un joueur énervé
J’ me relève aussitôt, l’âme à peine écorchée
Une journée de plus, dans les limbes de nos choix
Une journée de plus, à me glacer d’effroi
Une journée de plus, une pour toi, une pour moi
Devons nous pénétrer, devons nous...
Ou bien restés figés, devant nous
A la lisière du monde, juste, à genoux
A la lisière du monde, juste...à genoux
Hors ligne
smooz a écrit:
Devons nous pénétrer, devons nous…
Ou bien restés figés, devant nous
A la lisière du monde, juste, àgenoux
A la lisière du monde, juste…àgenoux
si ça sent la déprime...j'accours!
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nicole a écrit:
smooz a écrit:
Devons nous pénétrer, devons nous…
Ou bien restés figés, devant nous
A la lisière du monde, juste, àgenoux
A la lisière du monde, juste…àgenouxsi ça sent la déprime...j'accours!
Et moi je prends mes jambes àmon cou
voila ce que je retiendrai de ce texte :
Mais la vie me reprends très vite àcontre pieds
Elle me tacle au mollet, comme un joueur énervé
J’ me relève aussitôt, l’âme àpeine écorchée
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