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J’erre dans un monde étrange.
Je me brûle les phalanges
En shootant sans cesse dans le mur
Pour sortir de cette impasse où naissent les blessures.
Mon pote, écoute mes lyrics frère, on s’arrache ici
Tenir se battre chaque jour, j’ai qu’une putain vie
Pour me rendre meilleur et rendre grâce à ceux qui veillent
Comme un putain Muhamed Ali, je frappe comme l’abeille
Mes mots dansent sur la page, et j’en crève à mesure
Où vont me conduire mes chaussures, Nancy Sinatra
Quand je ne sais pas de quoi et pourquoi je suis là .
Mon esprit doit être fort, me porter plus loin
Et même si je me blesse, bah, j’en ai besoin
Écrire, et dire ce monde étrange, je ne peux pas lâcher
Mes rêves me donnent de la lumière dans l’obscurité
Et rien ne m’empêche de croire que mon histoire se forge
Par mes propres mains, et jusqu’à demain j’aurais la rage à la gorge.
Quand elle nous traque et nous met des coups, il est normal de lui rendre.
En tout cas tu l as bien boxée cette vie. Surtout en finissant reveur optimiste.
C'est un joli cri instantané.
Bravo.
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LOL tu frappes comme maya l'abeille , psartek
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petit a petit, avoir la rage à la gorge...
+1 avec lookforiste
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Salut MoonZ, juste un petit apparté à la lecture de ton slam, qui est aussi un clin d'oeil à mon blaze, par ce skech de Fernand Raynaud "Ne me parlez pas de Grenoble !"
C'est une histoire sur méprise à la recherche d'un job, entre "tôlier" et "taulier".
J'y retiens cette expression à ton slam :
"Si je frappe, je frappe fort, mais je préfère être à plusieurs"
Evidemment, je me place délibéremment du côté de celui qui donne plutôt que celui qui encaisse, le vie en est alors un long fleuve tranquille depuis cette berge...
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