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L’egocentrique
Handicapé du cœur égoïste et moqueur
Il enfile son armure qui le préserve d’ouverture
Sur un monde quelque peu obscur
En muré dans son égo, le regard vers nulle part
Dédaignant toute compassion ignorant l’altruisme
Il se complaît dans son petit bonheur,
La misère c’est pour les autres les ringards
Dont le malheur indiffère le gaillard
Sauf quand il faut faire bonne figure
Il fait couler sur son visage de marbre
Une larme de crocodile qui le rend fragile.
Est-ce par peur du paraître ou du devenir
Qu’il tire un rideau sur tout ce qui n’est pas beau ?
Ou par peur de donner un morceau de son gâteau ?
Sans préjuger du bien fondé de son être
Il doit bien y avoir toute en profondeur
De son âme ou de son cœur une lueur de bonté
Pour qu’il puisse aimer sa personne
Et de sa cicatrice ombilicale faire le centre du monde
A force de ne rien voir d’autre il ignore que comme
Tout à chacun il est doté d’une cicatrice anale
Qui fait de lui un homme banal
Le trou du cul du monde.
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hahaha, j'adore, bien vu!!
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jean-louisB a écrit:
.............
A force de ne rien voir d’autre il ignore que comme
Tout à chacun il est doté d’une cicatrice anale
Qui fait de lui un homme banal
Le trou du cul du monde.
bien dit ca!
tu sais, des fois je me découvre dans ce style d'égo.heureusement que vite je m'en rends compte
très bon texte l'ami
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nick a écrit:
jean-louisB a écrit:
.............
A force de ne rien voir d’autre il ignore que comme
Tout à chacun il est doté d’une cicatrice anale
Qui fait de lui un homme banal
Le trou du cul du monde.bien dit ca!
tu sais, des fois je me découvre dans ce style d'égo.heureusement que vite je m'en rends compte
très bon texte l'ami
idem bravo
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Tu poses là de bonnes questions...
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merci pour vos comentaires
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LE CERVEAU DISAIT :
Puisque je contrôle tout et que je pense pour tout le monde je devrais être le chef.
LES PIEDS DISAIENT :
Puisque nous transportons le corps là ou il le désire et lui permettons aussi de faire ce que veut le cerveau, nous devrions être le chef.
LES MAINS DISAIENT :
Puisque nous faisons tout le travail et que nous gagnons de l’argent pour entretenir le corps, nous devrions être le chef.
Et ainsi de suite pour le COEUR , les YEUX , les OREILLES et les POUMONS. Ensuite LE TROU DU CUL se fit entendre et demanda à être le chef. Les autres parties du corps éclatèrent de rire à l’idée que le TROU DU CUL puisse être le chef.
Le TROU DU CUL se mit en colère. Il se referma sur lui-même et refusa de fonctionner.
Bientôt le CERVEAU devint fiévreux , les YEUX se croisèrent et devinrent vitreux, les PIEDS trop faibles pour marcher, les MAINS pendaient sans force et le COEUR et les POUMONS luttaient pour survivre.
Ainsi tous supplièrent le CERVEAU de se laisser fléchir et de permettre au TROU DU CUL d’être le chef.
AINSI FUT FAIT. Toutes les parties du corps faisaient leur travail tandis que le TROU DU CUL dirigeait tout le monde et s’occupait principalement de la merde comme tout chef digne de ce nom.
MORALITE :
Il est nullement nécessaire d’être un cerveau pour devenir CHEF…
Un simple TROU DU CUL d’ailleurs a nettement plus de chances.
REGARDEZ AUTOUR DE VOUS POUR EN ETRE CONVAINCU...
Et Narcisse tomba à l'eau, après avoir répondu sur son portable !!!
Dernière modification par lamalice (28-04-2012 18:10:19)
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