Vous n'êtes pas identifié.
c'est trés religieux comme réponse lol
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Un texte
Un texte, un peu décousu,
A le mérite d’être inattendu.
Et le lecteur assidu,
Ce demande ce qu’on lui a vendu.
L’auteur est un perturbateur,
Il navigue, c’est un torpilleur.
Parfois mauvais rimeur,
Mais toujours maquilleur.
Le texte aime l’intrigue,
As-tu du cœur Rodrigue.
Souvent il incite et prodigue
Quand il ouvre ses digues.
L’auteur, plante ses banderilles,
Qu’il faut abattre, comme des quilles.
Afin que vos pupilles,
Jamais ne se grillent.
Le lecteur ébahi, se dit.
Je ne suis point trahi, que nenni.
L’adrénaline m’a envahie,
Une autre couche de chantilly.
Le texte peut avoir alors,
Des envies d’ailleurs, de folklore.
D’être comme l’amphore,
Découvert, pour livrer ses métaphores.
Le lecteur, a des envies d’envol,
De sursauts, de cabrioles.
D’histoire de sex-symbol,
Et puis des contes frivoles.
L’auteur est enfin au zénith
Quand son texte, est un plébiscite.
Et que le lecteur s’invite,
Dans son antre, a sa poursuite.
Le texte ainsi, a transmis ses idées,
Son but réalisé, belle odyssée.
Il est temps pour lui d’être citer,
Comme le texte, que vous avez aimé.
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nouga a écrit:
Le lecteur, a des envies d’envol,
D’histoire de sex-symbol,
non non, pas toujours
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nicole a écrit:
nouga a écrit:
Le lecteur, a des envies d’envol,
D’histoire de sex-symbol,non non, pas toujours
mais un peu quand même lol
biz
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je te savais gourmand
la chantilly nature ou avec des strawberry ( fields for ever) clin d'oeil BEATLES
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C'est mon commentaire qui peut paraitre décousu mais tu me comprends !
Avec ta Belle de Cadix, forcément le Beau Rodrigue et les banderilles, tu me fais penser à l'Espagne , aux pays chauds . Sont -ce des souvenirs de ton enfance marseillaise avec des enfants de tous horizons (Algérie, Maroc, Espagne ....etc ) que tu évoques ou as -tu besoin de t'évader ? Les mots Digue, Folklore et Odyssée me font rêver !
Dernière modification par Thanalie (29-02-2012 22:07:52)
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t'as raison ma belle le Sud me manque
envie de voyages, de soleils,
bises et rêve c'st la clé pour avancer
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Sensation
C’est quoi cette sensation,
Le changement de saison.
L’envie d’un strip-tease,
Et se retrouver sur la banquise
Se défaire de ses contradictions,
Oublier les prédictions.
Avoir le caprice imaginatif,
En défiant l’interrogatif.
Découvrir derrière les murs,
La vraie raison de nos fêlures.
Et partir de bon matin,
Quand le soleil montre le chemin.
Parler a la nature qui se pare,
Lui raconter, pourquoi se départ.
Puis chanter a capella,
Le refrain qui met dans cet état là .
Rencontrer la fée Mélusine,
Qui vend le bonheur, avec protéines.
Quand le physique réclame
D’assurer devant la web-came
Donner en exemple le mot,
Qui se veut être le porte drapeau.
De paroles et phrases drôles,
Afin de partager, toutes les farandoles
Inventer une suite au bonheur,
Dans un périple, ou le cœur.
Ferait des émotions, le choc,
Ou l’amour s’associe avec le roc.
C’est quoi cette sensation,
Le changement de saison.
Des milliers de petites choses,
Qu’il faut respirer à fortes doses.
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merci fréro
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Mais, où, et, donc, or, ni, car
Mais que deviennent les promesses,
Ou vont’ elles s’échouées.
Et de ce fait, ignorées,
Donc, tout cela serait irréel.
Or une promesse se doit d’être tenue.
Ni une fois, mais éternellement,
Car ce qui est promis est un dû.
Mais voila que l’amour s’invite,
Ou peut être fait’ il un signe.
Et si ce n’était qu’une illusion
Donc, juste un aperçu d’un goût
Or l’amour offre d’autres émotions
Ni une fois, mais éternellement
Car l’amour n’a pas de jugement.
Mais de cette fable mnémotechnique,
Ou l’essence de la vie se consume,
Et laisse les êtres désemparés.
Donc, le constat est la mesure du contrat.
Or en termes de promesses et d’amour,
Ni une fois, mais pour toujours.
Car les deux vont de pair, c’est véridique
Dernière modification par nouga (04-03-2012 13:40:55)
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Bien d'accord avec toi.
La parole se doit être en platine. C'est moins beau que l'or mais ça vaut bien plus.
Quant à l'amour, il doit être maintenu avec une main de fer par un coeur tendre...comme une promesse.
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merci fréro
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joli
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L’Amour
Il se trame, des états d’âmes,
Des sentiments exaltants.
L’amour s’alarme, c’est son charme,
Il n’attend, que ses moments.
Il s’amplifie, de gazouillis,
D’autant de mots, des joyaux.
Besoin de s’écrier, aimé,
Avec l’ardeur, des cœurs.
Comme un torrent, un volcan,
Il est ravageur, voyageur
Sur sa route, il envoute,
Réunissant des corps, en accord.
Et quand il s’éternise, vocalise,
Son aura vous a donné le la.
Plus de maitrise, nulle traitrise,
L’amour suit toujours, vos jours,
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C'est ça...Plus de maîtrise.
J'ai perdu tout contrôle pour Isa.
J'ai déjà aimé avant...jamais aussi fort.
Merci grand frère.
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content pour toi fréro
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Oh temps jadis
Oh temps jadis,
Quand jeune présomptueux.
J’ignorais l’avenir,
Mais en parlé avec emphase.
Envisageant des scenarios,
Ne redoutant pas l’orage.
Il y avait dans ma jeunesse,
Cette fougue enivrante.
Qui me poussait à entreprendre,
Et l’envie forte,
D’être celui, incontournable,
D’un monde en mouvement.
Combien de nuits légères,
A défaire et refaire.
Des options narcissiques,
Avec ce brin de fierté,
Donnant aux propos.
Une suffisance, a tenté ma chance.
Le jour avait cette continuité,
Offrant toutes les sensations.
Rien ne s’arrêtait,
Tout était mouvement.
Sous un soleil,
Au sommet de son zénith.
L’euphorie sans limites,
Et l’inconscience alliée.
Abreuvaient ma soif,
D’imaginer des arabesques,
Même sous un ciel bas.
La naïveté est une amie complice .
Jamais l’idée de périr,
N’obscurcissait mon appétit.
J’ignorais la réalité,
Faisait fi des montagnes à escalader,
Tant mes pas étaient pressés.
Sans montre au poignet.
Oh temps jadis, mais c’était hier,
Ces heures d’exaltations exquises.
J’ose encore y croire,
Quand le coq chante,
M’invitant à l’aurore.
À étrenner d’autres idées.
Dernière modification par nouga (06-03-2012 11:07:04)
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Tu es un vrai poète, Nouga
On sent bien l'insouciance de la jeunesse
Quelle fougue dans ta poésie
Que d'émotions ! Quelle légèreté aussi
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Complètement d'accord.
C'est un merveilleux texte.
Blindé de souvenir. Il sent le chocolat chaud et le soleil des champs de mon jura d'origine, là où, souvent, mes parents nous emmenaient pour nous dépayser de Lyon.
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vous etes des amours
biz
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Si les jours
Si les jours rallongent,
Les jupes raccourcissent.
Alors les jambes brunissent
Et l’homme songe
Si les jours s’étirent
L’eternel féminin respire
Et la nature abonde
L’homme de sa faconde
Si les jours pétillent
Le parfum des femmes, émoustille.
Le vent complice
Ainsi les hommes, frémissent.
Si les jours sonores,
De paroles dés l’aurore
L’amour alors s’invite
Hommes femmes, lévitent
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Ca sent le Nouga qui attend de se poser sur une terrasse tranquille et admirer ce que la nature offre à ses yeux LOL
Du bon poto
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cool mans
wait and see
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Contemporains
Un führer en furie, un despote Pol-Pote,
Un dictateur de la peur, un tyran gout de sang
Un oppresseur de l’horreur, un autocrate gare aux watts,
Un dominateur sauf erreur, un souverain, ses noirs dessins.
Le führer furette, a besoin de conquêtes
Le despote n’a pas de potes, il complote
Le dictateur en sueur, n’a jamais peur
Le tyran crie à tue-tête dans vos tympans
L’oppresseur sans cœur, vous promet des erreurs
L’autocrate se croit aristocrate, c’est un pirate
Le dominateur liquidateur, et ses fusils mitrailleurs
Et le souverain mandarin, joue les parrains
Mais un tour de passe-passe
Le führer péroreur, fini en aboyeur, de la niche
Le despote a ma botte, la cire et la biche
Le dictateur devient travailleur, sur une péniche
Le tyran pénitent, au service des caniches
L’oppresseur nettoyeur, a l’eau claire des bourriches
L’autocrate cuit les pattes, et garnit les quiches
Le dominateur privé de mœurs, sans ratiches
Et le souverain en eau de boudin, hilarant pastiche
Voila mes contemporains, tous unis, dans le même bain
Je jette l’eau mine de rien, ça m’a fait du bien
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