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Oh??
Oh!!
Ohhhhh!!
OooooooOooooOh......
Oh...
Oh
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Des ho qui coulent comme de l'eau
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non mais oooooh c'est du bon
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oh du mec ravi , merci les amis(e)
biz
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j'aime bien tes superlatifs lol
merci fréro
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D'accord avec Itess ! Tu mérites bien tous ces superlatifs !
Toi, le breton- marseillais amoureux de la mer, tu as oublié le
Oh hisse et oh d'effort des marins !
Je te laisse trouver la rime !
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pour le oh hisse (les voiles) quel supplice ou plutot délice quand sur l'eau le bateau glisse
oh d'effort c'est enfin l'arrivée au port
merci biz
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Quart d’heure
Le premier quart d’heure
Et son début prometteur
D’une attention soutenue
Belle flamme entretenue
Le quart d’heure suivant
Des mots répétés, enivrant
Une pause, avec tendresse
Et une suite de caresses
Le troisième, un poème
D’amours plus bohèmes
Ou la complicité envahie
Ces instants qui nous sourient
Le dernier quart d’heure
Déjà l’heure, et puis ailleurs
Ce fut une belle parenthèse
Sans aucunes hypothèses
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C'est tous les jours la Saint-Valentin avec toi
Merci pour le bonheur que tu nous procures
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Thanalie a écrit:
C'est tous les jours la Saint-Valentin avec toi
Merci pour le bonheur que tu nous procures
et merci de me lire
biz
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cool bon appet frero
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Je/elle
Je l’accoste,
Elle riposte.
Mais je ne suis pas ghost,
Elle finit son toast.
J’attends patiemment,
Elle prend son temps.
Je sifflote,
Elle n’est point bigote.
Je la suis, la foi sauve,
Elle a une écharpe mauve.
Moi des souliers rouges,
Elle, ses lèvres bougent.
Je m’en rends compte,
Elle, n’a pas de honte.
L’avenue n’en finit plus,
Elle, hésite et continue.
J’essaie de la faire rire,
Elle craint le pire.
Le soir s’invite,
Elle, ne prend pas la fuite.
Je suggère, un souper,
Elle, se plait à imaginer.
Alors chandelles,
Elle, me parle d’elle.
Je lui dis, a bientôt
Elle me répond, aussitôt.
J’ai compris le message,
Elle, besoin de massage.
Je la rejoins dans son alcôve
Elle, telle une grande fauve.
Je suis au paradis
Elle, m’éblouit.
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ITESS a écrit:
C'est sympa.
Ça m'a fait penser à Déjeuner En Paix de Stéphane Eicher.
belle reference, en plus c'est Djian qui a ecrit les paroles
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Ah? je ne savais pas, je me coucherai moins bête ce soir
J'adore cette chanson
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Qui
Qui vous parle de la vie.
De la sève, qui fait des êtres.
Ces créatures complexes.
Vivant toutes sortes de contextes
Dans un parcours rocambolesque
Qui vous parle des étoiles.
Le poète les a comptés.
Et de ses mots vous a permis,
D’avoir les yeux ouverts,
Sur un voyage avec escales.
Qui vous parle des joies.
Celles journalières, éphémères.
Donnant au temps,
Des habits de lumières,
Pour vous inviter à le suivre.
Qui vous parle de l’amour.
Ce rêve que beaucoup caresse.
Mais dont sa fragilité,
Fait de ceux qui le croise,
Des humains qui planent.
Qui vous dira encore.
Toutes ces choses à entendre.
Quand le poète se tait,
C’est à votre tour de les imaginées.
L’avenir se bâtit à votre gré.
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C'est encore un PUTAIN de texte !
Je suis d'accord. Le poète ne fait que donner une étincelle, une suggestion de reflexion.
C'est au lecteur de la poursuivre, de la prolonger.
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Itess exprime avec véhémence ce que je pensais écrire aussi !
Nouga , non seulement tu sais écrire des slams mais tu es aussi un poète !!
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vous des assidus merci
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Quelques secondes
Quelques secondes suffisent,
Quand la torpeur au point mort, n’a plus d’emprise.
Pour esquisser un pas de dance, un baiser.
Se dire que la vie a deux, permet toutes les audaces,
Qu’elle efface les petits bobos.
Et les remplace, par des mots.
Quelques secondes sont nécessaires,
Pour admirer l’éclosion matinale, de la fleur anniversaire.
Et s’enivrer de son arome,
Comme ces amants de leurs effluves,
Qui s’aiment, et rayonnent.
Jouissant de tous les instants lumières.
Quelques seconds utiles,
Dans une vie agitée, parfois futile.
Pour donner et partager plus que des sourires
Sans hésiter à chérir.
Et s’enthousiasmer à séduire
Comme des êtres fertiles.
Quelques secondes, et puis partir,
La vie a offert, maintenant elle ne veut plus languir.
D’autres assureront la relève,
C’est la loi d’une nature, sans trêve.
Mais les souvenirs impérissables,
Sont des caresses qui coulent comme le sable.
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Très beau!! quelques secondes pour lire ton textes, et un peu plus pour le garder en mémoire
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nicole a écrit:
Très beau!! quelques secondes pour lire ton textes, et un peu plus pour le garder en mémoire
merci beaucoup Nicole
biz
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Complètement d'accord avec toi.
Quelques secondes suffisent pour aimer, pour haïr, pour avoir le geste qui sauve, qui tue...
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Quelques secondes , et une vie peut basculer du pire vers le meilleur ou du meilleur vers le pire selon que l'on soit optimiste ou pessimiste !
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biz a vous deux
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Superbe ! J'ai pu kiffer de longues secondes et je reviendrai
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MJ23 a écrit:
Superbe ! J'ai pu kiffer de longues secondes et je reviendrai
content que tu ai aimé poto merci
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Le Premier, le Dernier
Le premier à jouir.
Le premier à fuir.
Le premier à mourir.
Restait plus personne, pour parler de ce qui c’était passé
Enfin si, il restait le dernier
Celui qu’on avait coutume d’appeler
Le simplet, ou le naïf, ou d’autres épithètes
Comme s’il s’était agi, d’un ramasse miettes
A la fin d’un repas orgiaque
Quand l’ivresse rend les êtres démoniaques.
Maintenant c’était son tour,
Dernier ne serait plus jamais son statut,
Encore moins sa renommée.
Il entrait dans la lumière,
Lui qui avait tant inspiré la misère.
Il devenait le mythe,
Qui serait craint comme la dynamite.
Il fut interrogé, caressé dans le sens,
De ce que l’on nomme a son égard,
La rouerie, pour le faire parler de cette jouissance,
Et révéler sa nouvelle puissance.
Mais le dernier ne dit rien,
Il contemplait l’azur avec confiance.
Le dernier à écouter.
Le dernier à aimer.
Le dernier à respirer
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