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Ka…
Ka - dam’i jafni (larmes à la paupière)
Perlent le corps
Douceur luisante
Lune Oh ! Halogène
Plaine immensitude
Vibre au champ de blé
Épis, d’emblée, émoustillant
Flirte sur brise légère
Caressante la toison dorée
La pensée Soledad
Lettres au vent
En rêve
La nuit étoilée
Et soudain
Ouragan, cyclone
Non ! Choc nombrilique
Décors enchevêtrés
Fine pluie vivifiante
Sur corps d’éphèbe
Puissance infinie de l’Apollon
Orage à l’éclair éblouissant
Illumine Prunelle
La grande ourse
Tintinnabule du triangle
Laissant autant la chair de gazelle
Sculpture de mésange
En la tendresse
Plongée de plénitude
Au bleu o séant
Perles cueillit
Sur plat d’huître nacrée
Eparpillant ses écailles
Au million d’étoiles
Du ciel d’été, il lui fait don
De l’embryon poussé au sein matriciel
Ka rihi shihi (de l’absinthe en fleur)
L’œil spatial scrupte
Le Sahara sculpté
Par le doux son d’Alizée
Dernière modification par lamalice (21-11-2011 18:23:12)
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Ka - dam’i jafni et Ka rihi shihi sont en quelle langue?
Très joli texte (je ne sais plus si je t'ai conseillé d'aller lire les texte de Baboufly ou de Fabien (pas GCM) qui sont aussi amateurs de jeux de mots)
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POur la langue, je ne sais plus, désolé, et pour le conseil, je vais aller voir les textes que tu me conseilles. CE que je me rappelle, c'est que la première phrase de la 1ère et dernière strophe sont d'Abu Nuwas, grand poète arabe, et qu'elles m'ont servies de passerelle pour ce texte KA ...
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lamalice a écrit:
POur la langue, je ne sais plus, désolé,
c'est pas grave
Jai repris une ration d'huitre nacrée au perles de rêve en revenant quand le coin
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trés beau voyage avec ton texte
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Tout le plaisir est pour moi de t'avoir fait voyager sans aucun ticket à poinçonner mais surtout sans aucune pollution pour notre couche d'Ozone....
Dernière modification par lamalice (22-11-2011 19:54:50)
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lamalice a écrit:
Fine pluie vivifiante
Sur corps d’éphèbe
Puissance infinie de l’Apollon
Orage à l’éclair éblouissant
Illumine Prunelle
Merci pour cet hommage rendu aux hommes que nous sommes (étaient ?)
Non, je dec, les images sont très fortes, comme déchirées par ce contraste que tu utilises entre la brise et le cyclone, la plaine - toison dorée - et le bleu o'seant (excellent l'analogie !), la grande ourse et l'oeil spatial pour une contemplation d'un shara sculpté.
Et puis j'aime bien ces strophes très poétique :
lamalice a écrit:
Plongée de plénitude
Au bleu o séant
Perles cueillit
Sur plat d’huître nacrée
Eparpillant ses écailles
Au million d’étoiles
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Vos encouragements me vont droit au coeur ...
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