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Conte ordinaire
Les oiseaux blancs flottent dans le vent
Parfois l’un d’eux dérive emportant d’un battement
Mon cœur dans ses ailes, je dévale l’azur
Je me sens comme une aube fondante sur le mur
Je me sens si agile, si léger. Avalant des frites ketchup
Rôtissant des poivrons sur le barbeuk’
Je me suis trouvé au coin d’un feu, sous les parasols
Jouant l’oisiveté comme les branches d’un saule.
On se délasse peinard, les pieds dans la marmite automnale
Une pincée de brise, un rayon de soleil, un souvenir en rameau
J’aime mes lunettes aux broches multicolores. Ouais c’est d’la balle !
Dans mes shoes, tout schuss je calumet des cônes rigolos
Remontant le temps le distordant je pioche dans les restes de gâteaux
Et au crépuscule encore mou, devant l’érable des nuages, je me régale.
un bien fou!
MoonZ a écrit:
un bien fou!
ben pareil en te lisant!
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et oui Moonz, +1 avec nicole!
Prochain barbec tu m invites?
bises
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Ton texte me donne envie d'un apéro et de bouffer.
Merci, le repas n'est que dans une heure, je viens de dire à mon fils.
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+1
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Miam ...
Le barbeuk et le texte.
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Belles images poétiques pour nous laisser saliver et humer ce barbecue, qu'allumait la paix !!! Quel havre nuagesque ... !!!
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