Vous n'êtes pas identifié.
Les idées me viennent
Mais les mots me manquent
Pour exprimer tout ce néant
Cette bizarrerie que sont les gens
Les drôles de manières, ces sentiments
Qu'on veut cacher,
Qu'on cherche à montrer,
Et puis ce "on", et puis ce "je", pour désigner
Ni toi,ni moi mais nous et vous.
Pourtant ces"ils",pourtant ce "je"
Bien qu'ensemble, ne se connaissent pas.
Il y a ces rires, il y a ces pleurs
et puis entre, toutes ces heures.
Je te vois, tu me vois
Cependant on ne se regarde pas.
Le doute me hante, l'ennui m'épie
Depuis c'est la mélancolie.
J'ai le mal d'amour comme le mal de mer
Mais j'ai jamais eu de gilet de sauvetage.
Au secours, je m'étouffe, le monde se noie
Mais tout cela ne se voit pas
On dissimule,on préambule
De l'aube jusqu'au crépuscule,
Sans scrupule,cent scrupules
C'est pas joli, tous ces mensonges
Et tout ce fléau qui nous ronge
Mais c'est le monde ma grande
Ma mère m'avait dit,
Mais même une fois avertie,
J'en valait pas deux.
C'était moins une, pour dénoncer cela
Que je monte à la tribune
Mais rien ne presse, tout ce stress
C'est le monde qui le veut.
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement"
avait dit la prof de math, en reprenant Boileau
Moi je conçois rien et je l'annonce librement
Dans ce foutoir émergent, façon cubiste chez Picasso
J'aimerais qu'on m'explique...
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y'a rien a comprendre, le monde est ainsi et en avoir conscience , c'est déja changer les choses
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comprendre rime avec apprendre, mais ces deux verbes ne sont rien s'il n'y a pas
avoir envie de
partager
dire
echanger
aimer
observer,
patienter
evoluer
lutter
et je te laisse ""continuer""
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blondy jo a écrit:
Ma mère m'avait dit,
Mais même une fois avertie,
J'en valait pas deux.
.....
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement"
avait dit la prof de math, en reprenant Boileau
Moi je conçois rien et je l'annonce librement
Dans ce foutoir émergent, façon cubiste chez Picasso
J'aimerais qu'on m'explique...
j'aime particulièrement cela
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