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Je ne compte pas les fois où tes mots ont pansé mes maux,
sans eux mes soirées n’auraient jamais été ce qu’elles étaient.
Les jours où je n’avais personne à qui crier ma peine,
toi d’un coup de baguette magique, de mes tripes, tu arrachais la haine
qui faisait que j’avais tant de peine.
Aveuglé par mon mal être, j’agonisais des heures entières
sans que quiconque ne puisse venir à mon aide.
gisant dans mes larmes qui m’empêchaient d’hurler, à cause de la fragilité de ma
voix qui ne pouvait porter, tant la force me manquait.
Chez moi parterre à me trainer, tentant de m’agripper ne serait-ce
qu‘à une chaise, afin de pouvoir me lever. Manquant cruellement
de force qui en dessous de tout était, oui j’avoue avoir pensé tout
abandonner.
Tes paroles envoûtantes de sérénité m’ont donné la force de me
relever jusqu’à en avoir le sentiment de voler. Je sais que je ne me
réveillerai jamais à tes côtés, alors en guise de remerciement, j’essayerai
de toujours être à tes côtés.
FABRICE HUGUELET alias 150pas
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sage decision de deux maux il faut choisir le moindre
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150pas a écrit:
Les jours où je n’avais personne à qui crier ma peine,
toi d’un coup de baguette magique, de mes tripes, tu arrachais la haine
bel hommage que tu lui rends
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