Forum Grand Corps Malade et slam

je m'en prend à quelqu'un de mon boulot,
bon je pense que j'ai pas besoin d'en dire plus...

toute ressemblance avec une situation réelle n'est que pure....vérité pauvre con !

T’as voulu m’ bannaner, t’as voulu m’entuber
T’as voulu m’utiliser, mais j’ t’ai fais tituber
Je démarre sans intro, j’suis à fond prêt à mordre
J’en appelle à la « mail touch », j’ te renvoie dans les cordes

Donc comme ça t’a voulu te beurrer sur mon dos
Mais plus grave t’as tenté d’ te servir des ados
Tu t’es pris pour un as, une sorte de machiavel
Sous estimant sur’ement  le QI d’ ma cervelle

C’est ma peau de toubab, qui t’a fait prendre confiance
Où le fait que je bosse dans l’ milieu d’ la délinquance
Tu t’es dis, celui la, cet agneau, ce mouton
Va me suivre sans broncher, sans n’ jamais hausser l’ton

Maintenant tu sanglotes tu gémies tu regrette
Tu cherches du réconfort auprès des nombreux traîtres
T’en trouv’ras certain’ment du coté d’ la cafete
C’est l’endroit stratégique ou ça pue la défaite

J’ai mis un grand coup d’ latte dans cette grosse fourmilière
En employant, pardon, des manières bien familières
En public, à la voix, j’ reconnais c’est pas juste
J’ai pas mal d’entraînement et mes mots j’ les affûte

J’ t’ai couché, mis KO des le gong j’ t’ai sonné
Mais j’ m’étais préparé arguments bétonnés
T’as bouffé, encaissé à la manière du PSG
J’ai même cru qu’un moment t’ allais t’ mettre à gerber

Le jeune homme bien élevé, que tu voyais en moi
T’as violé verbalement, t’as giflé de sa voix
Hall d’accueil à midi 100 personne à l’écoute
Un endroit stratégique bien choisi tu te doutes

Tout le monde doit savoir que tu n’es qu’une raclure
Un bidon, parasite, un fléau, une enflure
Un escroc, gagne petit sans aucune dignité
Arrogant débordant d’une immonde vanité

J’ai pourtant l’habitude des coups bas d’ fonctionnaire
Des combines, des embrouilles, des histoires imaginaires
Mais planter la jeunesse et tirer la couverture
Je trouve ça dégueulasse, tiens comme la confiture

Maintenant t’es grillé, et tu traîne ta cass’role
Tu n’ pourras plus faire chier pauvre minus, pauvre troll
T’apprendras également que te frotter à moi
C’est à double tranchant l’émoi ou l’ désarroi

Et tu vois je grandis de chaque situation
Je fais mon egotrip trouvant l’inspiration
Un avertissement pour tout autre branleur
Qui n’attendent en ragotant que l’horloge donne Cinq heures