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je cours après le Tout des tempêtes,
avec moi grondent les horizons;
lourde est cette botte qui s'entête
à tenter ma foi aux terminaisons.
je veux que se termine la mèche rugueuse
propre à la chevelure de notre déchéance,
nous vivons auprès de valeurs visqueuses
dont le régime inculque sa répugnance.
nous sentons la forêt qui nous transcende,
et la marée ardente qui nous prive,
nous revoie loin de sa robuste ronde,
dont la seule salive est un serment de chaque rive !
nous voyons le soleil qui plus nous pénètre
de sa bonté et de son calme incommensurable;
que ce soleil, comme ses lueurs poétise des lettres
pourtant inconnues par nos dires innombrables !
je pense que le monde peu à peu succombe
aux tombes qu'il portes en ses entrailles,
or, ces tombes sont la cécité de nos lobs
nous avons lober les merveilles de nos batailles.
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La bataille de l'équilibre n'est pas pour demain pour partager les fruits de cette terre
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