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Il est parfois si dur de vivre au cœur de nos guerres
De nos frontières, de nos peurs comme des enfers
Alors je cherche à me perdre dans le monde de derrière.
Et je chante ma prière à la lumière, à la mer, à mes frères.
Le chapelier m’a dit : marche encore. Petite chose.
Tu trouveras dans la nuit, l’autre, toi ou l’overdose
Marre à rêve, splendeur démentielle, tremblez dans l’être
Je dépose ces lettres comme des fleurs sur des kilomètres
D’une errance maladive au bord du précipice et des crêtes.
Et si je pars ce n’est que pour renaitre. Voler et renaitre.
Le chapelier m’a dit : marche encore. Petite chose.
Tu trouveras dans la nuit, l’autre, toi ou l’overdose
C’est là , comme un rêve rapiécé.
Dans les mains d’une enfant épuisée.
Dans les esprits défaits brisé, qui hurle
C’est là , puissant et la lumière me brûle
Comme consumé de l’intérieur
Comme défoncé avec la meilleure.
Connais-tu la marche à suivre, sois plus sûr ?
Connais-tu ma manière de vivre dans ce monde dur.
Danse et brise tout tes os et termine-toi à l’usure.
Je n’ai plus rien à dire, plus rien à croire, je ne veux pas…
Je ne veux plus de cette enfer, de cette morsure au bras.
Où conduisent les histoires noires, je descends plus bas ?
Voudrons-nous voir nos véritables natures affamées ?
Spectacle de boucher sur les corps des naufragés du ciel.
Le chapelier m’a dit : marche encore. Petite chose.
Tu trouveras dans la nuit, l’autre, toi ou l’overdose
Voudrons-nous d’un autre monde pour y enfermer nos peurs ?
Sirotant dans le café des constellations, quelques fleurs
Dévoré par la terreur du silence de la mort hurlante et douce
Mon enfer et mon arme dans la main je tire sur la lune rousse.
Cette balle d’argile, inventez votre monde, frère malade, ils ont peurs.
Ils ont si peur de notre progression, programmé à dépérir.
J’ai terrassé les vampires dans mon soir, j’ai pris tant de plaisir.
Marche encore ! Ecris encore ! Petite chose deviendra grande !
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ton texte est plein de poésie
bravo ami
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+1 avec mes camarades
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Je n'irais pas jusqu'à dire que je connais ta manière de vivre en ce monde.
Mais en tout cas, je l'imagine et je la comprends.
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Entre les ombres et la lumière, il y a la peine-ombre ... mais il n'y a pas d'ombres sans lumières ... alors à chacun de trouver la sienne, de l'entretenir, et de ne pas avoir peur de ses propres noirceurs projetées à même le sol ...
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