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Je me suis levé, mon esprit est encore ensommeillés, mes yeux mouillés
J'ai la trouille tu sais, je voulais qu'elle sache que je l'aimais
J'ai écris quelques chose, je lui ai envoyé, elle me rend l'amitié
Sait-elle que mon amour est sans condition, réel, qu'il est entier
C'est toujours le même jour dans ma vie, mais ça c'est avant
Là j'aime et mon cœur se répand j'ai faim de vérité, de grand moment
Elle préfère m'oublier, oublier est le moyen de guérir le plus sûr
Les pires blessures, mais comment moi je fais pour dire le mot futur
Elle est la seule qui vaille
Elle est la seule et elle se taille
Et je ne suis pas de taille
Pour gagner cette putain de bataille
Il y a des douleurs qui ne guérissent jamais vraiment, des poings au mur
Des point finals qui font mille ans après encore mal, je veux être ton futur
Dire embrasser maman, je sais que je fais des choses qui font peur et froid
Mais ces mots sont des ailes qui me porte pour dire mon amour pour toi
je ne suis rien et ils peuvent se tordre dire que je suis un poète, un bon
Je suis là triste et seul, et la vie n'a aucun sens, je suis qu'un con
Et mon coeur éclate encore maintenant, pourquoi cette revanche sans pitié
De la vie sur mes erreurs passées, sur mon besoin de me rendre entier
Elle est la seule qui vaille
Elle est la seule et elle se taille
Et je ne suis pas de taille
Pour gagner cette putain de bataille
J'aime la voir m'approcher avec la douceur des astres timides la nuit
Je voudrais inventer un ascenseur magique pour l'enlever là où les cris
Son des silences, mais elle doit se dire que c'est dément et trop important
Ou je ne sais pas aimer vraiment comme il est bon de notre temps
Je regarde courir les larmes, les sent me distraire de ma peine lourde
Pleurer c'est comme s'évader d'une prison sans passer par la lourde
C'est offrir son âme a tout ces affamés d'émotions, ces cochons de la tourmente
je pleure des larmes d'enfant seul, devant les images de l'absente
Elle est la seule qui vaille
Elle est la seule et elle se taille
Et je ne suis pas de taille
Pour gagner cette putain de bataille
C'est magnifique, mais plein de larmes.
Courage, il y en aura une qui te guérira de toutes tes plaies, j'en suis sûre
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On croit toujours que c'est la dernière fois qu'on a aimé !
Et puis surgit de nul part une émotion de nouveau naît !
On croit toujours qu'on est vraiment mauvais !
Puis de nos cendres on renaît !
Ton magnifique paradoxe : Pleurer c'est comme s'évader d'une prison sans passer par la lourde !
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je suis dans ma bulle, je m'en fout moi d'être bon ou juste bien
JE sais trop bien, comment on se conduit quand on est pas bien
Je me sens léger là, les merci pleuvent et je vous respecte fort
Mais l'amour n'a qu'une jumelle quand on est seul, la mort
Et je mourais jamais c'est juste la mort dans l'âme qui me ronge
Maintenant je veux l'aimer même si ce n'est qu'un songe.
Tout à fait OK avec Nicole, bravo.
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Le paradoxe que j'y vois , c'est l'envie de la retrouver et cette forte envie de vivre ...
Aimer dans les songes est mieux que de haïr le passé , ça veux dire que tu es sur le chemin de l'acceptation
Courage
Dernière modification par mmagweno (10-07-2012 08:15:06)
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merci de votre présence et de vos com's des mots qui courent et donne envie de courir aussi.
Ça se sent que ton écrit vient du fond de tes entrailles. Bon texte plein d'émotions ! J'espère que tu est un bon magicien et que ta camisole affective ne sert qu'a être enlevé sous nos yeux ébahis.
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Moonwalker ton message m'a porter toute la soirée merci et j'y pense encore comme tu vois.
MoonZ a écrit:
J...
J'aime la voir m'approcher avec la douceur des astres timides la nuit
Je voudrais inventer un ascenseur magique pour l'enlever là où les cris
Son des silences, ...
Je regarde courir les larmes, les sent me distraire de ma peine lourde
Pleurer c'est comme s'évader d'une prison sans passer par la lourde
C'est offrir son âme a tout ces affamés d'émotions, ces cochons de la tourmente
je pleure des larmes d'enfant seul, devant les images de l'absente
...
Pour gagner cette putain de bataille
... Moonz, en mode posé, qui prend son temps pour écrire ce qui fait parfois mal, ... le mâle ne doit pas se faire la malle... comme le marin quand il part en vogue sur les vagues errantes de la mer ...
J'adore "l'ascenseur magique", ... et ce qui suit, ... et comme d'une baguette enfantine, j'aurais apprécier te voir finir à " gagner cette putain de bataille", ... mais il semble que cela soit encore trop tôt, mais je te soutiens pour que tu puisse y arriver ... soutien si tu l'acceptes, bien sûr ...
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