Vous n'êtes pas identifié.
les étoiles ouais sont loin, ouais!
alors incapable de voler malgré mon souhait
j'ai rêver de marcher à tes côtés.
Ma douce muse, que rien n'amuse vraiment.
Je ruse pour séduire ton cœur de vestale
Mais la femelle fait mal et moi pauvre mâle
Je suis une plume sur l'hiver des brouillons
Je bouillonnes de te réjouir d'un vers de mirmidons
Tel Achille à Troie, mais je suis plus Achille Talon.
Les miracles de l'amour de l'Art peuvent-ils te faire perdre
Ta moue. Faudrait que je me défasse de ma mue
Mais muse je suis mou et ma mine miaule des rimes
de rien, un tintamarre qui déjoue tes silences cruels.
Je me fais donc poète de crépon et m'envole à tire d'ailes
Dans le crépitement de la bougie sur l'autel du poète.
Boudoir, écritoire, plumier, je trempe dans le feu solaire
Et tu me fais la tête, ou tu me prive de mon espoir
D'être ce soir le chanteur de ton cœur. et ce manque
Me flanque une triste mine, qui me démonte comme l'océan ce matin.
Improvisation pour une muse de Prusse au nom sexuel. genre Alexia.
j'aime beaucoup les assonances et ton texte
On sent ta fragilité derrière
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+1 avec Nicole
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+1 aussi avec nicole!
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si je ne m'abuse c'est bien écrit
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nicole a écrit:
j'aime beaucoup les assonances et ton texte
On sent ta fragilité derrière
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