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Le monde prie, pleure… pris au piège du gris.
Sans solution, l’antidote est conscrit et l’esprit maigrit
Si cela ne suffisait pas, le corps d’un petit crie famine
Une femme dans des draps blancs lui chante une comptine.
C’est triste à pleurer, c’est le monde qu’on dessine
Pour des symboles qui nous déciment et du ciment sur nos plaines
Plume dans l’air, je laisse quelques S.O.S face à la peine
De ceux qui vivent dans la théorie brisée de la haine.
Rêve de gosse qui me hante, sur un destrier je voulais
Traverser les champs de guerre pour nous guérir de nos plaies
Palme d’or pour ce film dans ma cahute, je fends le vide
D’encre liquide et je dérive dans mes songes splendides
Où tout tourne autour de l’Axe d’un crayon pensif et posé.
J’aimerais croire en Dieu et prendre le temps de causer
Avec le mal qui infecte l’œil des maîtres d’un monde cassé
Mais je connais le secret de cette secte de prêtre ils sont devenu traître
Ne jure plus par l’Être mais pas les chiffres et des kilogrammes de net
Flic et sécurité s’en sont retournés contre le prophète et le peuple en guerre
Contre la connerie inhumaine qui sermonnent avec le sourire de l’enfer.
La crise craint c’est clair mais ça saoule et ceux qui s’y perdent sont faibles
Car leur vision avide fait des gens ordinaire le sang de la terre meuble
On nous manipule et manigance des promesses impossibles en vrai.
Et le monde dérive et le fond des océans se révolte contre les récoltes sans pitié.
J’ai mal à mon monde, mon nom est mon emblème, blême comme la lune
Je traîne dans une ville sombre comme l’encre dans nos plumes.
Jamais je n’aurais cru que j’irais dire tout ça comme ceci, mais c’est ainsi.
Je me lève se matin et l’amertume me hante comme une odeur de pourri
C’est tellement merdique, que les sinistres ministres sont des héros sur gris
Des caméléons aigris qui se battent pour le prix de la prochaine élection
Et comme c’est le jeu on participe pour voir perdre nos aspirations.
Parce qu’au jeu du fric seul gagne le business des champions.
Les autres sont invisibles et nos espoirs comme des choses impossibles
S’épuisent à dire que nous ne sommes pas des pantins dans cette arène imbéciles.
Alors on se diverti, on danse et le privilège est dans les mains des mêmes
Ceux qui manipule la bête avec une bonne tête et un peu de fric pour des J’aime.
Je me fais tellement chier que je bois pour l’oublier, mais c’est des conneries.
Mais combien le voient ça, hein ! Combien ont pour recul la chance de l’écrit.
trés juste conclusion a ton texte réaliste "" combien ont pour recul la chance de l’écrit""
ecrire le permet et cela personne ne nous l'enlevera
bravo ami
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+1 avec nouga
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Tant que nous pouvons partager nos mots, gardons espoir ...
De très très z'affectueux poutoux z'à toi, homme du Finistère Sud et aux tiens de Thanalie la Brestoise...
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"...Combien ont pour recul la chance de l’écrit."...
Encore faut-il qu'il ait accès à l'école, ou bien à une plume ... à défaut d'avoir un maillet et un burin pour graver à jamais leur peine sur une pierre tombale ... sans en laisser une ardoise à leur descendance ... !!!
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