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L'obscurité est totale
Je suis désespérée
Le silence est glacial
Depuis quand suis-je enfermée?
Cette solitude constante
Est des plus angoissante
Mais ce qui me terrifie le plus
C'est cet immonde individus
Qui assouvis ses pire fantasmes
Sur mon pauvre corps de femme
J'ai trop peur de lui résister
Il n'hésite pas à me torturer
Mon corps porte les cicatrices
De sa folie si déstructrice
Alors je me plie à ses volontées
Je ne suis plus que souffrance
C'est lui qui l'a décidé
Ma peur m'ôte toute résistance
J'entends des pas s'approcher
Je sens la panique me gagner
La porte s'ouvre lentement
Mon corps n'est que tremblement
Il est maintenant devant moi
équipé d'une grande lame
Il me saigne d'un geste adroit
La vie me quitte dans une dernière larme
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Les sentiments sont humains, c'est impossible de luter contre (ou dur si l'on ne s'écoute pas).
L'angoisse de la solitude constante je connais que trop bien. Accrochez toi à ce que t'as et tu verras comme c'est tout de suite plus facile. Sinon j'aime bien ton texte, je vois ce que j'ai vécu à travers.
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Merci Jundow pour ce bijou...
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Ecrire des livres rances à profusion pour que les douleurs, inscrites à l'encre indélébile des larmes de sa lame perforante, s'en échappent, se livrent aux autres, transpirent d'émotions, comme pour se délivrer des entrailles de cet assassin, de ce pervers ...
... scions les maux par l'émotion d'écrits, pour s'asseoir sur une nouvelle branche plus seine et sereine, pas grangrénée par la peur permanente ...
... et si cela continue cette torpeur, tu n'aurais de raison de rester attacher à lui, mais de panser à te sauver !!
Dernière modification par lamalice (13-11-2012 10:20:00)
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