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Voici un petit poème que je dédie à toutes les femmes, dont l'étincelle de départ, est le mot Muse et développé ensuite avec l'anagramme de CORNEMUSE:
Le matin, au lit, elle joue de la cornemuse,
ET moi, le soir, son corps m'amuse de se dévoiler.
Sans tambour, ni trompette, elle largue sa semence.
Ensemble, nous écumerons les tempêtes à 20000 lieues.
Pour ouvrir notre pêne, nous irons à Crémone,
Sans gâcher le temps à pécher de voir si le bar y est.
Voici, le ton est donné, la matrice de la monère naîtra.
Les murènes nécrosées vont se nouer d'affection sans s'écorner.
Là -haut, l'oiseau-lyre, la ménure admire les cornées.
A chaque chapître, la lignée s'étale sans se consumer .
La coeurse dans l'abominable abdomen suplantera la mornée.
Des cors encroués sonnent les énormes glas, ici-bât.
Sur la plage ocreuse, la matricelle baigne dans sa marre.
Censurée, la muse, dans ses deux mains, va la secouer.
Quel sacré numéro ! la petite encoure l'asphyxie.
Mais, nous muerons chacun à Nemours, la frêle renouée à la VIE....
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comme j'ai déja repondu au commentaire de mon texte sur les femmes
ton texte apporte une fraicheur nouvelles pour ces femmes qui le meritent
bravo , et puis les jeux de mots , du a l'anagramme sont supers
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cet Avis à toutes m'amuse aussi, même si je ne joue pas de la cornemuse personnellement. Seul mon corps s'use, et ça, ça ne m'amuse pas.
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que d' ambiguïtés dans l'anagramme
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nicole a écrit:
cet Avis à toutes m'amuse aussi, même si je ne joue pas de la cornemuse personnellement. Seul mon corps s'use, et ça, ça ne m'amuse pas.
Qu'il est beau de voir, une femme ou un homme marqué par le temps des sillons de la Vie, .... je le préfère à la chirurgie estomptive du temps, comme s'il n'existait pas, et qu'il faut rester jeune à jamais...
ALors respecter votre corps, et laisser le s'inciser des marques d'antan... comme pour différencier les géénrations dans l'Arbre de Notre Vie, celui de notre descendance ...
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