Vous n'êtes pas identifié.
Quelle imagination débordante..
Y'a pas à dire .. T'es le meilleur...
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un roman , alors
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au fait Thanalie , mon imagination est une compagne précieuse
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c'est une boutade
j'avais commencé il y a deux ans et puis j'ai continué avec mes petits textes
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Microcosme
Meccano issu d'une caste élaborée.
isolant le lieu commun, des humains mortels,
comme une loupe porteuse d'observations.
Réhabilitant tous les rêves de grandeur.
Oh, le céleste mot d'un monde éblouissant,
certain d'en être le garant incontesté.
Omniprésent afin de le hiérarchiser,
sitôt l'envie exprimée, d'êtres différents,
Monopolisant les regards et les espoirs.
Etant sur que l'on péte plus haut que son cul
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prout!
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excellente réponse
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quatrain cyclanelle (nom d'une contrainte)
le premier quatrain a le don
d'être en effet au tout début
lapalissade d'un farfelu
d'une chronologie béton
d'être en effet au tout début
suivi de prés par le deuxième
pressé, voilà là son dilemme
il se console d'être à l'affût
lapalissade d'un farfelu
le numéro trois le voila
qui lentement arrive au pas
d'un air entendu , dis salut
d'une chronologie béton
il se console d'être à l'affût
d'un air entendu , dis salut
le premier quatrain a le don
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Je suis scotchée par tant de talent,bravo Nouga!
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merci c'est trop
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Ce que je découvre Itess, c'est que ton " frérot" m'épate de jour en jour !
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De l'importance
De l'importance d'écrire ses délires,
il faut traduire.
La folie est en nous, source de nos conflits,
de notre vision de la vie.
Mais aussi,
de notre capacité a rire, rejaillir, redéfinir,
les contours de notre quotidien,
d'en être comédien, kafkaïen.
Car le ridicule a également ses vertus,
il faut savoir rire de nous , de nos malentendus,
et puis du superflu.
cadeau, bonus, ou clairvoyance
a chacun ses évidences,
La folie passagère est une soupape,
que l'on exécute comme au ball-trap.
On évacue,on élimine,
on dit au yin , que notre yang, parfois tangue,
alors on tire la langue.
Comme quand enfant cette réponse,
était l'arme d'une annonce,
mettant en garde le monde adulte,
qui demain te catapulte dans le tumulte.
La folie douce, celle des amants,
a l'avantage de décupler le tempérament.
Offrant aux journées ordinaires,
un parcours plus terre à terre,
ou la fièvre corporelle
prends des allures pulsionnelles.
La folie des grandeurs, et ses excès
permettent de s'évader, d'imaginer une vie en couleur.
Reléguant le gris tristesse,
comme une simple impolitesse.
Elle a dans sa ferveur, l'ouverture vers un ailleurs,
faisant dire a ses admirateurs,
nous sommes tous un peu voyeurs.
Reste a ne pas sombrer dans la folie,
celle qui cloue au pilori
laissant le corps meurtri, l'esprit affaiblit et l'âme,
dans les limbes de toutes vies humaines,
aux inextricables amalgames.
De importance d'écrire ses sensations,
dans la vie tout est question,
d'évaluer sa partition,
comme le plus beau des tourbillons.
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Il faudrait être fou (ou complètement con) pour ne apprécier ce que tu écris.
Dernière modification par ITESS (21-02-2014 13:04:43)
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+1avec Itess surtout "complètement con"
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c'est réconfortant
merci
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L'important est d'écrire, il me semble, et de se faire du bien à soi
Que les gens apprécient ou pas devrait rester secondaire, non?
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je suis d'accord avec toi Nicole, maintenant si des personnes apprécient , c'est réconfortant et valorisant
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C'est vrai que j'ai du mal à imaginer qu' on puisse ne pas aimer Nouga
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c'est gentil
merci Sylvie
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théâtre de rue
A coté de ses pompes, quelqu'un tchatchait,
pour célébrer en grande pompe,
le mec qui les lui cirer.
Attitude héroïque, nan plutôt atypique,
cirer, étant physique.
Élémentaire mon cher capitaliste,
qui voyageait entre deux pistes.
Mais les petits jobs sont souvent,
pour une caste de gens,
qui n'ont de la vie comme aperçu,
que la pièce qu'on leur jette au coin de la rue.
Une façon de ne point crever,
surtout si la faim vient les squatter.
Et l'on sait par A+ B,
que cette main-d'oeuvre bon marché,
a de beaux jours devant elle
comme les feuilles qui se ramassent à la pelle.
A coté des néons, c'est l'occasion de se montrer,
cette lumière aveugle, car elle diffuse,
un faisceau de preuve, qui met en lumière le potentiel,
d'une Ville lumière ou tout est irréel.
Sauf l'omniprésence de gens à qui l'on dit,
vous n'avez pas de chance.
A moins que ce soit d'appétit
un bon mot pardi, pour les esprits adeptes de la redondance.
Si la réalité était fiction, on en rirait,
mais quand la vérité est cruelle, on en est consterné.
Rien n'est jamais définitif d'après les statistiques,
qui ont le chic d'avoir des courbes élastiques.
En l'occurrence devant l'évidence,
on pourrait dire quelle malchance,
sauf si elle en devient une réelle souffrance.
Et la, même, si E= MC2,
on aimerait plus d'actions, pour les rendre plus heureux.
Dans ce théâtre à ciel ouvert, la vie se dessine avec nuances,
car peindre ce décor, n'a rien d'une toile,
dormir à la belle étoile peut être une aventure,
mais si celle-ci dure, l'aventure est alors moins drôle.
Comme un naufrage constaté,
en imputant la raison à une quelconque malfaçon,
alors qu'évidemment devant des éléments déchaînés,
il n'y a pas vraiment de solutions.
D'où l'urgence d'opter pour une efficacité,
à la hauteur des maux rencontrés.
Et si cette volonté est politique,
soyons pragmatiques,
élisons des élus avec une éthique.
Car notre conscience n'est point à brader,
si demain devant la glace on veut se mirer.
Et comme dans tout théâtre, il faut savoir frapper les trois coups,
liberté, égalité, fraternité.
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ah ben le revoilà ton texte!
si moonz voulait bien remettre les siens que je n'ai pas eu le temps de lire non plus...
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et oui le revoilà , qu'en penses tu
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ben il est très fort ce texte, et si juste qu'il est difficile d'en rajouter
sauf qu'il est difficile d'etre efficace pour que les choses changent... depuis des millénaires personne n'y arrive vraiment
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