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En Repos de Mots
Je me suis mis en repos de mots
Rien à déclarer.
L’hiver trainait sa mélancolie,
La neige par endroit se faisait admirer.
Des moineaux attardés, cherchaient désespérément,
Une miette à grappillé.
Il n’y avait pas foule, tôt le matin dans les champs
La campagne hibernait
Parfois le bruit d’une tronçonneuse réveillait cette immobilité,
Et des arbres tombaient.
Quelquefois c’était un engin de chantier
Qui réveillait le bourg endormi.
Il y avait bien sur, le chemin de l’école,
Les rires des enfants ;
Se racontant des histoires de héros de télé,
Ou un fait d’actualité.
Un jeu de foulard qui ne devait rien au hasard.
J’avais juste à épousé le rythme,
De ces moments de vie au ralenti.
Rien ne semblait important, ou peut être, et même surement
Que tout l’était.
La vie continuait ses méandres,
Ce n’était pas mon jour de les entendre.
Mes oreilles s’étaient mises en jachère.
J’avais l’impression d’une certaine lassitude,
Des gens aux gestes absents.
Je ne sentais pas ce vent qui porte
Donnant au courage, les ailes si déployées
Quand elles sont prêtes à tout survolaient.
Vers la plage,
Les barques des pécheurs amateurs
Se balançaient au gré des vagues,
Et les mouettes tournaient dans des vols réguliers.
Dans un décor de fin du monde
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en repos de mots ? NOOOOOON je crois pas meme au repos ça déchire en tt cas
Bravo
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MJ23 a écrit:
en repos de mots ? NOOOOOON je crois pas meme au repos ça déchire en tt cas
Bravo
si ça dechire, c'est que jai bien cerné une certaine ambiance
merci poto
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le bruit déchirant d'une tronconneuse ou d'un engin qui vient tuer la paix...
a part ces 2 bruits, je me suis régalée de te lire, j'ai eu le meme temps, bien que j'aurai pu dire "la neige partout se faisait admirer"
elle est en train de finir de fondre, apres 10j
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nicole a écrit:
le bruit déchirant d'une tronconneuse ou d'un engin qui vient tuer la paix...
a part ces 2 bruits, je me suis régalée de te lire, j'ai eu le meme temps, bien que j'aurai pu dire "la neige partout se faisait admirer"
elle est en train de finir de fondre, apres 10j
t'as remarqué il y a souvent un bruit incongru qui vient nous enmerder, ne nous laissant pas en paix comme tu dis
la fonte des neiges en Charente , voila un beau texte pour toi
le debut commencerai comme ça
un matin, j'ouvris mes fenetres, le blanc ne faisait plus recette,et mon ami le chardonnet avait rejoint son arbre préferé.
elle avait déserté de nuit, a pas de loup, sans demander son reste, quand la saison est finie , il faut savoir ceder la place.
je venais de comprendre,cette nature qui toujours nous donne, une leçon de vie
a toi la suite
biz
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merci et bon week end a toi et ton amie plus ton fils si tu l'a avec toi
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Finalement j'ai ecris la suite Nicole , tu peux rajouter tes mots si tu le veux
Tout passe, mais la nature reste
Un matin, j'ouvris mes fenêtres, le blanc ne faisait plus recette, et mon ami le Chardonnet avait rejoint son arbre préféré.
Elle, avait déserté de nuit, à pas de loup, sans demander son reste, quand la saison est finie, il faut savoir céder la place.
La neige enfuie, il me semblait redécouvrir des formes d’arbres, des dessins de champs nouveaux.
Par endroit des traces que je n’identifiais pas, me poser des questions, je n’avais pas de réponses bien précises. La nature vous surprend chaque jour, elle aime ce jeu, qui fait dire d’elle, je suis libre et indépendante, et mes humeurs ne sont pas négociables.
De tout ce blanc qui avait envahi mon espace, j’étais resté sans voix, car le silence avait lui aussi décider de s’inviter.
Comment vous décrire ces moments d’isolements, ou seuls mes yeux avaient cette acuité intense.
Pas un souffle de vent, et de respirer cette couche immaculée, j’imaginais un paradis venu pour faire dans ma vie une parenthèse plus qu’amicale.
Dans ma tête se bousculaient des milliers d’impressions fugitives, mais si vivaces, comme si la féerie avait décidé de ne jamais cesser.
Je venais de comprendre, cette nature qui toujours nous donne, une leçon de vie.
Demain et d’autres jours encore j’irais a la recherche d’émotions sur les sentes des sous bois ombragés.
Sur les chemins qui bordent la rivière, avec mon regard comme ami, pour embrasser cet univers qui jamais ne me lasse.
J’attendrai patiemment les premiers flocons, quand l’hiver décide de nous surprendre, et que la neige impose sans violence, sa présence.
Alors comblé par tant d’élégance, je lui décernerai le titre bien éphémère.
D’amie, qui me permet de m’évader, quand elle l’a imposé.
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belle suite, désolée d'avoir raté le coche, mais j'aurai été plus inspirée par la neige que par sa fonte, et pour ça ton texte me comblait
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nicole a écrit:
belle suite, désolée d'avoir raté le coche, mais j'aurai été plus inspirée par la neige que par sa fonte, et pour ça ton texte me comblait
biz Nicole
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Élection
C’est une fable moderne, l’histoire d’une élection
Campagne oblige, un jeu de séduction.
Acteurs ayant appris par-cœur,
De peur de n’être a la hauteur.
Des débuts de vagues projets,
D’idées bien formulées,
Qui se doivent de fuser,
Afin de vous éclairer.
Et quand la course est partie,
Il faut faire beaucoup de bruit.
Sinon largué, et l’impression,
Je me suis ramassé, je suis un vrai con.
Alors ne faut pas lésiner, sus à la surenchère,
Parler de la vie chère,
De ce qui rend vénère,
De tous les sangs qui n’ont pas de veine.
Et que l’ont transfusent, hémorragie de la haine
Faire la check-list, ne rien oublié.
Et même inventer, on n’arrête pas le progrès,
Des causes à défendre
Attention, vous allez en apprendre.
No limits dans l’inédit,
Afin d’oublier ce qui a déjà était dit.
Mieux qu’Aladin, le super génie.
Comme tous les contes, ne comptez pas les aberrations,
La place est bonne, et les solutions,
Font rêver le quidam,
Et plus de bruits sur le macadam.
Certains ont même dans leur manche,
L’intention de sauver la France, quelle chance.
Mais le must , reste l’affiche de campagne,
La tu comprends, que ce sont des êtres a poigne.
Slogan mitonné aux petit oignions,
Le temps de le lire, tu la bien profond.
Et puis cette sensation
Mais je vous laisse à vos interrogations.
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C'est éxactement ça.
Un jeu...Un jeu de stratégie et de bluff.
Dernière modification par ITESS (19-02-2012 12:58:17)
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ITESS a écrit:
C'est éxactement ça.
Un jeu...Un jeu de stratégie et de bluff.
au poker menteur, la politique n'a aucunes peurs
merci fréro
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J'ai vu une image que je ne retrouve plus, elle représente un chat avant et apres les élections.
l'image d'avant, c'est le chat potté, avec ses grands yeux, suppliant pour avoir des voix et apres les elections, c'est une photo d'un chat roux, l'air tres matois et satisfait de lui. c'est tout juste s'il ne fait pas un doigt d'honneur
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ma chatte a appreciée lol
biz
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Bravo encore une fois pour ton slam, Ami Nouga !
On n'a pas fini d'en avaler des couleuvres ! Le jeu du " poker menteur " ne fait que commencer !
J'ai trouvé l'image à laquelle tu faisais allusion, Nicole
Je la partage avec vous !
[IMG=http://img214.imageshack.us/img214/4962/watermarkphph.jpg][/IMG]
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chat alors
c'est chu per
comme disent les Auverpiots
merci
bises thanalie
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Boa
Quand le serpent migre, boa,boa
Et que sa proie, de loin se voit,
La frousse pour elle, est de mise,
Et lui dans tout ça, n’attend que ça
De constricteur, il en est l’auteur,
Façon de vous dire, je vous enserre
Vous êtes a moi, vous n’y échapperai pas
Dans cette jungle, je suis un des rois
Ceci est une affaire de mœurs
Le boa a des usages d’un autre âge
Et sa réputation crépusculaire
A des allures patibulaires
Au détour d’une liane, en Guyane
Il prend son temps, et vous l’effroi
Quoi qu’il en soi le boa avalera
Et sa proie dans tout ça, moins fan
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En lisant le titre, j'attendais celui de la grande Zoa, lol
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biz avous deux
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Massage
Salon d’accueil, j’attends mon tour,
J’ai mon larfeuille, je ne suis pas nu,
La masseuse ne fait jamais ça a l’œil,
Faut dire que mes reins méritent le détour
Puis vient mon heure, me v’là au cœur,
De son empire, et pas question de soupirs,
C’est une pro, malgré son poids plume
Je ne moufte pas, et avale mon agrume
C’est sa façon de souhaiter, bienvenue,
Ici faut être zen, calme, détendu,
C’est ce qui est prévu. Je m’exécute,
M’allonge et ferme les yeux, pas de discu’t
Elle attaque dans le vif du sujet, aie aie aie
Elle va me réduire en charpie, pâte a modelé
Mais non, c’est plutôt le pied, heu les reins
Elle m’assure que je ne suis pas venu pour rien
C’est vrai que ça fait de l’effet, qui l’eu cru
Je vais me convertir, devenir assidu
À force de trop loucher sur son cul
Qu’elle a bombé, en attendant c’est moi qui sue
Séance finie, elle me sourit, je dis merci,
De rien me dit’ elle, vos reins en avaient besoin
Prochain rencart, je vous envois un email
Car avec elle je serai toujours, un client habituel
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L'avant dernière strophe est un régal !
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merci a toi ami , et vas te faire masser lol
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t'es entre de bonnes mains
veinard
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Oh
Oh,
Rien que le son,
Donne des frissons,
Procure des émotions,
Il peut être oh, d’admiration
D’un amour en pamoison
Et perdre la raison
Il peut être oh, de trahison
Pleurs, et déception
Séparation et abandon,
Oh d’émerveillement
Devant la nature inégalée
Et tout faire pour la protéger
Oh, de surprise, comme la brise,
Enveloppant la femme éprise,
Et lui son Å“il qui frise
Oh, d’indignation, de tension,
Rumeur, insinuation,
Vengeance, abomination
Oh, d’hésitation, timidité,
Rougir et s’excuser,
Partir sans se retourner
Oh, d’étonnement
Qui vous ment
Vous, ou l’autre évidemment
Oh, jubilatoire, de l’illusoire,
De l’éphémère aléatoire
D’instants oratoires
Oh, d’étranglement,
Quand la farce dure éternellement,
Bien trop de temps
Oh, de douleur, et souffrance,
De perte d’assurance,
De mort en instance
Oh, avec hé, pour appeler
De ses vœux l’être aimé,
Et de sa vie, Ã jamais
Oh, d’éternité, sérénité,
Oh, comme la vie aime s’inviter
Quand les « oh » sont exprimés
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