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Salut tout le monde ! Ça fait plaisir de vous retrouver toujours aussi créatif !
Je viens de passer un mois de coupure dans l'institue ou je suis, là je fais ma première sortie en we chez ma mère. Et je n'ai pas chaumé de mon coté : en moyenne un poème par jour, voir cinq dans les meilleurs jours. J'ai trouvé des lecteurs, surtout un qui me corrige et m'aide à avancer en poésie. Donc finalement j'ai écris au alentour de 50 poèmes ce mois ci !
J'en ramené les 4 derniers pour vous :
Un de mes plusieurs alexandrins,
Peau de lait
La neige tombe quand le feu rouge se noie
Dans les braises chaudes reflétant son visage
Blanche et douce de peau comme un lait qui se boit
Avec mon cœur battant timidement, si sage,
Puis je la regarde sans être dévoilé
Comme un petit enfant qui s'amuse et se cache
Entres ces paires d'yeux se fuyant pour jouer,
Les sourires émus, les pensées un peu lâches,
Sans prendre de risque s'effaçant dans mes songes,
M'imaginant avec, en lui prenant la main
Pour enfin murmurer ces quelques mots sans âge,
Un baiser, une envie, et de beaux lendemains.
F.Giret - 6/11/11
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La on passe en octosyllabes,
J'ai adapté "La chanson" en vraie chanson avec ma petite guitare et ma voix timide.
La chanson
C'est comme une chanson si douce
Que parfois même on la repousse
Et l'on se marche sur les pieds
Mais pourtant on sait l'apprécier
Comme un bal d'été plein d'échos
De bruits de sons plein de marmots
Qui nous rappell' cette jeunesse
Comme des fous à la kermesse
Puis la fille que je regarde
De loin comme un vieux garde
Comme cette chanson si douce
Que parfois même on la repousse
Cette femme aux yeux si charmants
Que j'inviterais en dansant
Mais bien sûr si je le pouvais
Je serais son homme parfait
Je l'embrasserai sur les lèvres
Sur son cou et sur ses joues mièvres
Perdu à jamais sur son corps
Murmurant des mots de ténor
Je resterais comme un enfant
Plein de souvenirs si marquants
Chantant cette chanson si douce
Que parfois même on la repasse.
F.Giret 11/11
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Bon puis la suite sur la même structure,
Le damné
Je n'existe pas à mes yeux
Poussé à mentir à mes vieux
Rejetant mon identité
Tout autant que ma vérité
Je suis cet invisible enfant
Qui ne va jamais de l'avant
Sans oser en être le fou
Finalement se fout de tout
Songeant toujours à sa douleur
Centré sur l'ego, le malheur
Comme des maux déjà écrits
Gravé dans la pierre salie
En cultivant sa propre merde
Ayant trop peur d'avoir de l'aide
Je m'enfonce tout doucement
Vers l'enfer l'orage grondant
Je suis cet invisible enfant
Qui ne va jamais de l'avant
Sans oser en être le fou
Finalement se fout de tout
Trop perturbé pour exister
Alors je me laisse couler
Sans aucun regret ni remords
Glissant lentement vers la mort.
F.Giret 11/11/11
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Et le petit dernier, même structure, mais personne ne l'a lu encore pour le moment !
Case asile
Tôt le matin je me réveille
Un nouveau jour encore en veille
A glander entres culs et chaises
En refaisant un monde en pause
Sur cette terrasse à fumer
tournant en rond tous compactés
A parler de tout et de rien
Tous si drogués comme des chiens
Je suis le dépressif timide
Toujours les yeux un peu humide
Trop gentil et surement trop con
Voulant me tuer pour de bon
J'suis tombé dans la case asile
Pourtant je suis fou pas débile
On devrait m’élire président
pour ouvrir ma gueule d'enfant
Tard le soir enfin je m'éveille
Tant de mots au creux de l'oreille
A désirer culs et raison
Dessinant la vie en passions.
F.Giret 11/11/11
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Voili voilou, en espérant que ça vous plaira !
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Salut! heureuse de te voir de passage, et posant des textes et des petits commentaires joyeux. J'espère que c'est le signe que tu te sens mieux.
J'aime beaucoup tes textes, comme toujours et mes préférés sont le 3e et le 4e (surtout le 4e)
Bon courage pour la suite, à bientôt!
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Tt a fait ok avec Nicole
Pls bons textes avec des comm' c cool
Merci et portes toi bien
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+1 avec
prends soin de toi
a l'asile je deale, ma sortie , mes envies
a l'asile je file vers la sortie
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J'aime bien les deux premiers, qui nous laisse imaginer, la future conquête que tu cherches, que tu voudrais, et cela avec ton âme d'enfant.
Les deux derniers sont plus trixte, et l'enfant qui est en toi, ne voit pas la vie clairement, et j'espère que celle que tu attends ou qui te donnera la main, viendra redonner à ton visage, tes sourires d'enfants enjoués.
Bon courage à toi, ...
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Merci à tous !
(Pour celle tant attendu elle m'a refusé son cœur et son amitié ).
Bref sinon du nouveau, j'ai encore fait le tri. Je continue à mettre mes textes en chanson, parait-il que j'ai une belle voix.
Alors les nouveaux textes :
Une petite chanson pas très rigolote :
Étoile filante
Comme une poussière d'étoile
Je prends le vent et tends ma voile
Pour partir loin de cette vie
Qui s'achève, déjà finie
Je laisse au monde tout mon corps
Mes babioles et mes efforts
Dans ce dernier adieu là -bas
La planète des gens si las
[Refrain]
Bye-bye à toi mon existence
Échappes-toi de mon errance
Salut à tout les gens en vie
Enfin je me casse d'ici
Puis je fais sonner ma guitare
Sur une mélodie qui part
Pendant tout mon enterrement
Dans mon cercueil en me chantant
[Refrain] x 2
Bye-bye à toi mon existence
Échappes-toi de mon errance
Salut à tout les gens en vie
Enfin je me casse d'ici
F.Giret - 25/11/11
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Une autre que j'ai écris pendant qu'un pote jouais une de ses compos à la guitare
La brume des pendus
J'errai dans le parc, tout perdu
L’œil sur la brume des pendus
Qui se cache dans les lenteurs
Des nuages pris de hauteur
Mes yeux attirés par les branches
Dessinant des femmes les hanches
J'imagine déjà la scène
La belle plante est une reine
Marchant tout le long du grand bourg
Entre la mort et les amours
Mes pensées chassaient les saisons
Pour en oublier tous les sons
Continuant à me balader
Dans l'hiver près de son entrée
Je m'en allumai une chaude
Coincé dans mes poumons à l'aube
Me rappelant tous ces moments
Où encor je marchais au banc
Pour m'assoir, esseulé, fini
Garder l'instant final de la vie
Rêvant d'mes dernières amies
J'enlace cette corde ici
Pour mon grand cœur déjà cassé
Clamant mes adieux à l'été
Mes yeux attirés par les branches
Dessinant des femmes les hanches
J'errai dans le parc, tout perdu,
L’œil sur la brume des pendus.
F.Giret - 26/11/11
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Une chanson qu'on chante en duo avec le pote qui m'a redonné le gout au chant
Comme une enfant
Je me posais sur la mer bleue
Moi, guitariste malheureux
Les vagues me parlant de loin
Quand je chantonnai ce refrain :
[Refrain]
Coule le long de mon visage
Petite larme du présage
Qui demain m'apporte la mort
Comme une enfant sans aucun tort
Je crois qu'il est bon que je chante
Cet air qui à nouveau me hante
Perdu sur mon rafiot tout noir
Comme ses maux que je vais boire
Un alcool brut, doux et si fort
Sur le quai vide du beau port
De mes souvenirs tant émus
Par cette mélancolie nue
[Refrain] x 2
Coule le long de mon visage
Petite larme du présage
Qui demain m'apporte la mort
Comme une enfant sans aucun tort
F.Giret - 24/11/11
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La c'est quand je commençais à aller un peu mieux. :p
Mise au point
Je vous raconte tant d'histoires
Qui mènent ma vie tard le soir
Dans ces nuits de la terreur
La mise en scène du malheur
Tantôt je racontais ma mort
Reliant ma faute et mes torts
Toutes mes pensées suicidaires
Parfois même mon esprit précaire
Mais il n'en est rien de tout ça
J'ai bien voulu partir là -bas
Mais ça mit du sens à la vie
Comme un dernier appel parti
Dans les limbes de l'infini,
Plus jamais cela et merci
Enfin je vais pouvoir revivre
En mimant mon existence ivre
Prendre le bon chemin plein nord
Monter plus haut en plein essor
Être vibrant, vibrer d'envie
D'être de plus en plus grandi
Je vous conterai les histoires
Que l'on sème à la fin du soir
Dans les matins un peu frileux
La mise en scène d'être heureux.
F.Giret - 29/11/11
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Et le petit dernier que j'essaie de mettre en chanson, mais pas au point encore, Ã voir..
Pa dam dam dam
Je me baladais en chemin
Sur un cercle sans une fin
Tournant en boucle je pensais
Que j'étais gai, tellement gai
Quelle folie m'avait frappé
Après un esprit malmené
Je me sentais déjà revivre
Comme une belle toupie ivre
[Refrain]
Pa dam dam dam dam... (etc)
Ou tel un yoyo qui se bouge
De haut en bas, roulant et rouge
Un jour j'étais mélancolique
Et le lendemain si lyrique
Pris dans le vers entreprenant
Et sans semblant il était temps
Je me réchauffe et me renflamme
Juste le temps de dire "Pa dam
Dam dam." Et avec plein de charme.
[Refrain] x 2
Pa dam dam dam dam... (etc)
F.Giret - 30/11/11
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Voilà !! Petite sélection du mois, j'espère que ça vous plaira, bisou à tous !
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belle production l'ami
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beau taf amigo
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Cool tout ça prends soin de toi !
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lol...
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Je préfère celle ou tu te découvres "vibrant d'envies"
j'espère que tu continues a prendre soin de toi, c'est cool de te voir faire des coucous ici
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Ouais ITESS,beau travail à lui..
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