Vous n'êtes pas identifié.
Le sablier temporel passe grain à grain,
Le temps écoulé à construire la mosaïque
De la dune, sous le moonlight des tropiques.
Les dunes de plages sont bordées d'un voile drapé
De cocotiers, sur le sable braisé En papillote.
L’ÉROSion turquoise, au rythme des vagues, est colorée au vitrail, en coraux d'eau rangée !
Lonesome Paradise, où naissent les sens à coucher, s’est mosaïcalement dessiné.
Le corps blond ensablé,
Brumisé dans le moindre méandre filant,
Ouïe le doux murmure du signe sourd du Sirocco si frémissant
Dans le canyon profond, au creux de ses reins,
Comblé caressante sur sable fin.
Rebondit d'une dune édifiée au souffle léger, si flottante du bout des lèvres,
La chaleur épanouie, au printemps fleuri, en rose des vents, en rose des sables.
La rosée matinale, entre chien et loup,
Perle le sable sur son corps en mouvances.
La diurne croissante, au vent du souffle chaud,
Brise sur la nuque dégagée,
La portée du voile en transe lucide, en soie légère.
Elle a la crinière au vent, au galop chevaleresque, sur les plages mouillées, de l’embrun pacifiqueste.
Au fil d’émoi, filent les mots scions en corps de Sainte, encore enceinte.
Le visuel vésuvien, axé au ventre arrondi,
Melissa, le corps chocolaté,
Brille aux amandes de douceur
A la lumière d’un rayon doré, sous le soleil mexicain.
El Gringo déguste sa mousse fondante … !!!
Hors ligne
+1
Hors ligne
je m'associe au dessert
Hors ligne
Merci mais comment faut il l'entendre cette association au dessert ?
Hors ligne
Melissa, le corps chocolaté,
Brille aux amandes de douceur
v'la le clin d'oeil au dessert lol
Hors ligne
Ah ça, c'est foindant et moelleux !!!
Hors ligne