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Une personne un jour m'a dit, écoute ton coeur il bat fort pour elle,
J'avais à mon avis pas de rancoeur pour cette demoiselle,
Seulement le problème de ma vie c'était elle,
Elle, le dilemme qui fuyait pour se faire la belle.
Tu peux essayer d'garder les bon moments dorénavent,
Puis continuer d'marcher seulement droit devant,
Tu peux fleurter avec l'insouciance d'vouloir garder le bien,
Etre Piègé par l'érance sans pouvoir tracer ton chemin,
Mais j'ai pris mes jambes à mon cou en pensant à elle
Voulant attraper l'hirondelle, j'aurai pris des coups
J'ai ensuite prier pour la revoir,
Mais comme tu sais quand t'y crois pas, y'a pas d'espoir
J'ai compris que le poison était la compassion,
Cette valeur humaine qui dévoile vos sentiments sans raison,
Pourtant au fond, la haine des autres est votre guérison
J'ai donc pris le temps d'les enfermer dans ma prison,
La vie est un long voyage rempli de grain d'sable,
Tu peux tourner la page gamin mais faut être respectable,
J'aurai voulu plutôt deux fois qu'une faire le premier pas et mettre les voiles,
Mais pourquoi marcher sur la lune quand tu peux toucher les étoiles.
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J'aime beaucoup, comme l'autre texte, et particulièrement cette phrase ci
Shawnii a écrit:
Mais comme tu sais quand t'y crois pas, y'a pas d'espoir
c'est frappé au coin du bon sens.
Bravo
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j'aime bien
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Le texte est bon mais je n'suis pas d'accord sur tout.
Comme:
" J'ai compris que le poison était la compassion,
Cette valeur humaine qui dévoile vos sentiments sans raison, "
Désolé.
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Travaillant dans le médical, on peux avoir de la compassion pour quelqu'un, partager sa détresse sans pour autant la ressentir et parfois, on montre sa fragilité par cette valeur en ne pouvant résister. C'était en ce sens
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