Vous n'êtes pas identifié.
Teuf de naze
J’arrive a la teuf de mords moi le nœud
Et lui comme un has been me passe la beu
Largué mec reste couché
Prévoit des rails bien parallèles
Et vire moi cette nouvelle
Je capte mal sa cervelle
Arrive un parano allumé
Me parle de la dernière virée de Julien Doré
Je lui réponds eh mec refait toi une beauté
Je suis pas venu pour tes délires
Moi mon kif c’est écrire
Et voir vos tronches de zombi
Franchement ça me donne le tournis
Même Jésus j’aurais préféré
Avec les apôtres comme portiers
Sans se soucier une branleuse se met à gerber
Elle se croit ou cette poufiasse en skin partie
A se toucher avec ses amies
Je vais la driver direct en pleine orgie
Et pour finir la contre allée
Turlute c’est tout ce qu’elle peut espérer
Et dire qu’ils ne m’ont pas lâché
Que le rire est leur allié
Je me suis tiré
La prochaine foi pour mes idées
Je vais me dégoter
Dans la haute société
Une vraie salope habituée
Dans ce milieu c’est assuré
Et puis la bouffe et les boutrolles sont à volonté
En guise de texte, j’écrirai des CV
Avec comme références exigées
Savoir s’amuser sans avoir la nausée
Et les mains sales
Hors ligne
Rig a écrit:
Aujourd'hui je vais vous parler un peu de ma vie
Un épisode lointain de mon existence parti
A la rencontre de mon destin sans paillettes ni strass
Cette petite anecdote secrète a laissé une trace
A l'époque, haut comme 3 pommes, j'explorais
Le monde extérieur vaste et secret
Pour un bout de choux d'Ã peine 2 ans
Entouré de l'affection et la vigilance de ses parents
Le moment bascula quand je me suis approché du jardin
Innocent et frais comme la rosée du matin
Les yeux grands ouverts pour ne pas dire écarquillés
Je me suis approché de cette verdure bien rangée
Quand tout d'un coup j'ai repéré de petites choses bleues
Sans hésiter et plutôt content de moi, excusez du peu
Je les ai mangé vous savez comme on est
Quand on découvre quelque chose, pourquoi ne pas le gouter ?
Malheureusement ce n'était pas des bonbons
Mais plutôt de l'anti limace..eh ouais, c'est con !
Evidemment mes parents m'ont vu pendant la dégustation
Pris de panique ils m'ont demandé si j'en avais mangé, j'ai dis "non non"
C'était sans compter sur la belle couleur qu'avait prise ma langue
On est parti illico et c'était pas pour Disneyland
Un lavage d'estomac plus tard, tout est rentré dans l'ordre
Inutile de vous dire qu'il y a de quoi se tordre
Cette petite anecdote me poursuit depuis longtemps
Faut dire que c'est marqué sur mon carnet de santé, alors évidemment
Pendant les visites médicales j'entends pouffer les gens
Je le prends pas mal parce que y'a quand même de quoi rire
De quelque chose qui ne m'aurait pas fait mourir
Si vous êtes sage dans un prochain épisode, je vous raconterai
Comment un jour avec une pioche, j'ai assommé
Mon pauvre papa pendant qu'il jardinait
C'est pour ça que maintenant les jardins, il me faut les éviter
Hors ligne
levagabond a écrit:
Au pays des pieds qui puent ongle incarné est roi
petit ou gros orteil, roturier ou tiers état
Milite contre une nouvelle loi, qui suscite bien des débats
La population décide de renverser la monarchie
pour mettre en place, disent-t-ils une démocratie
bien bête est celui qui ne voit pas naître une oligarchie
Mais la joie pour les détenteur de pouvoir fut de courte durée
ils n'imaginaient même pas ce que le pays aller endurer
sur les rives de la transpiration une invasion se préparait
le champignons, ou plus communément appelés peuple barbare
vint a son tour, rendre a César ce qui appartient a César
envahir tout le pays et afin de prendre le pouvoir
Mais une prophétie inquiétait se peuple sans pitié
qui disait que pendant la 6éme nuit d'été
un être doué d'un don et de pouvoirs illimités
viendrait causer la perte du gouvernement
Cet enfant s'appellerait médicament
l'oracle l'avais prédit, ce fut la mort de tous les habitants
c'était le début d'un nouvelle air
un monde de paix, sans haine ni guerre
la pollution avait quitter l'atmosphère
le fleuves de la transpiration fut asséché
et des plantes vertes se mirent a pousser
le drapeau de la liberté était hissé
sur une terre qu'on appelait désormais "joli pied"
"Mes pieds sentent bon ahahahah"
Hors ligne
bon texte t'as bien fait de up eriser
Hors ligne
nouga a écrit:
c'est de la bombe ma Nicole
t'as évité Bi__
avec un brio qui m'epate
car comme modo t'es le hit
d'un forum que personne ne rate
aussi je te redis " tu m'excite"
quand tu te laisser aller sans épates
en ecrivant un texte si vite
sur un sujet le rire
qui vaut tous les sourires
big biz
ahhahaha mords moi le noeu, passe moi la beuh
j adore le texte de la nounou qui evite le mot bit"""""euhhhh haha
entre les trois pommes et les ongles incarnés
on se demande ce qui sent le joli pieds
lol desolée de l'absence un peu okp ces tps
mais penses à vs big smackkkk
Hors ligne
Alex p ici http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … id=5810qui a dit ce texte sans voir tout d'abord qu'il y avait plein de gamins dans le public
alex p a écrit:
Voila le texte qui m'a offert un grand moment de solitude au blanc mesnil...
La véritable histoire de la Cigale et la Fourmi
La Fontaine vous a conté, l’histoire de Cigale et Fourmi,
Mais la fin vous a trompée, car il a tronqué son récit,
Alors par respect pour elles, j’veux rectifier ce qui c’est dit,
Écoutez bien l’histoire réelle, de la Cigale et la Fourmi :
Cigale était du genre hippie, marxiste anti-consumériste,
Fourmi était plutôt chipie, une vraie creuvarde matérialiste.
Elles étaient du même quartier, et faisaient quasi tout à deux,
Sous le signe de l’amitié, nos deux insectes étaient heureux.
Mais quand vint l’adolescence, commencèrent les embrouilles,
Pour des conneries sans importance, faut dire qu’Fourmi était casse-couilles,
Elle ne pensait plus qu’à l’argent, et f’sait la morale à Cigale,
Quand celle-ci, de temps en temps, la grattait pour aller au bal.
Et des non-dits s’installèrent, entre ces deux amies d’enfance,
Des jalousies, de la colère qui se mua en vraie défiance,
Fourmi aigrie se faisait chier, dans sa petite vie étriquée,
Pendant qu’Cigale se f’sait troncher, par des groupes entiers de criquets.
Puis elle forma un groupe de rock, punko-trasho-contestataire,
La fourmi fut sous le choque, elle qui était réactionnaire,
Elle initia une pétition, contre ce groupe de débauchés,
Et c’est ainsi qu’leur relation, tourna en guerre de tranchée !
Le groupe de rock fit un fiasco, elle incarnait l’artiste maudit,
Jouant toute seule dans le métro, dans les squats et les taudis…
Cigale sombra dans la came, pour ne plus voir ce monde affreux,
Peuplé de cris d’haine et de drame, et pour s’tuer à petit feu…
C’est ainsi qu’ayant chanté, jusqu’à plus d’heure tout l'été
elle se trouva fort dépourvue, lorsque la bise fut venue,
Elle alla quémander, chez sa voisine un pauvre casse croute,
Mais Fourmi lui rit au nez, et lui dit cash : « va te faire foutre,
Tu as chanté tout l’été, au lieu d’squatter l’pôle emploi,
Et ben maintenant moralité, t’es sur la paille et je m’en bas,
Va donc rejoindre sur le trottoir, tes quelques potes bohémiens,
T’es dans la merde mais c’est trop tard, tes problèmes ne sont plus les miens ! »
Cigale prit cette ultime insulte, en pleine face et ce fut dure,
Elle traita la Fourmi de pute, de sale bourgeoise et de raclure,
Puis elle lui cracha à la gueule, alors Fourmi appela les flics,
Cigale finit en garde-av seule, je sais la fable est pathétique…
Puis les mois sont passés, sans qu’ces insectes se pardonnent,
La Fourmi a continué, à épargner la moindre somme,
Travailler plus pour gagner plus, devint la consigne de sa vie,
Elle devint riche comme Crésus, mais n’aida pas sa vielle amie…
Et à force d’accumuler, des trucs de riches pour sa maison,
La Fourmi s’est fait repérer, et pcchhhhhhhhtttttttttttttt…elle s’est prise un coup d’Baygon !
Elle a succombé atrocement, sous l’effet d’l’anti-moustique,
Prise de spasmes en suffoquant, au milieu de tout son fric.
Elle tenta quand même de fuir, mais elle se refit gazer,
Et mourut sans un mot dire, dans sa belle prison dorée,
Et la Cigale qui passait, en train de triper sous acide,
A cru que la fourmi planait, dans un aqua d’insecticide,
Elle a donc franchi la porte, complètement stone et franchement conne,
Au deuxième souffle elle est morte, en s’écriant « c’est de la bonne ! »
Bref la morale de ce récit, est finalement qu’il n’y en a pas,
Qu’on soit bourgeois ou bien Hippie, dans tous les cas, on y passera !
Hors ligne
Ahah, un super bon souvenir ça!!! Désolé Alex, mais je penses que ce texte à prit une autre dimension avec les circonstances de ce soir là , trop fort!!!
(=
Hors ligne
une pensée pour Coeur d'or, nous avons bien déliré
Péri pé si…
Obsédé par les aisselles de la belle demoiselle
Je lui chourave son déodorant parfum diesel
Et me natchave en imitant le cri du bretzel
Manque de bol les lardus qui passaient par lÃ
Me font le signe, celui crois moi qui stoppe net
Ma course effrénée pour me connecter a ce putain d’internet
Me font le coup des papiers SVP
Plus quelle est cette odeur de pue la sueur
Aussitôt écouté, je me mets en mode karaoké
Leur serinant « je n’ai pas changé je suis toujours cet homme qui vous faisiez voyager »
Mais eux con comme des policiers
Se mettent à s’épiler (mais que fait la peau lisse)
J’en profite et pisse sur leurs souliers
Seul celui qui a du nez se met à humer
Ne sait plus à quels saints se vouer
Et finis par gerber un extrait de son identité
Il a un blase bien Français
Me dit donc de m’exécuter
C’est à ce moment que la demoiselle arrive avec son paquet d’Ariel
Pour faire la lessive chez les condés
Mais le voilà mon voleur
Moi très digne style porte-bonheur
Monsieur le commissaire cette demoiselle m’a aguiché avec ses aisselles
Lui toujours ailleurs, mais je croyais que c’était pour la lessive
Elle qui se met à crier, mais putain ce flic est bouché
Lui illico, comment, la pucelle se la joue mal éduquée
Moi voyant l’issue (un peu son cul) j’en profite pour m’esbigner
Eux en train de devenir hystériques
Elle, moi pucelle, mais toi ta lessive a la main
Lui, comment insulte à agent sur ses pratiques sexuelles
Au poste péronnelle, sinon ma main athlétique, dans ta gueule qui n’a rien d’angélique
Je me marre, j’ai mis le boxon dans leur vie
Puis largue les amarres aux Baléares, où m’attend ma partie de billard.
Sur place je suis une star, qui leur donne le tournis
Mais voila t’il pas que mon regard
Croise celui d’une policière avisée qui me reconnaît
Vous ici
Moi, c’est à quel sujet
Elle, vous êtes bien le mec des aisselles
Moi, heu non, je donne un coup de main pour la vaisselle, et éventuellement j’écris des conneries
Elle, puisque c’est ainsi, je vous arrête pour le délit suivant, pratique pulsionnelle obsolète, ça va être votre fête
Depuis je suis testeur de déodorant bon marché, et des aisselles, mon fantasme à migrer, me v’là obsédé d’avoir bonne mine sous-pixels.
Hors ligne
Je sais pas si t'es bon pour faire la vaisselle, mais pour écrire des conneries il n'y a pas de doute !
Pisser sur leurs souliers ! Le rêve !
Merde aller aux Baléars pour se retrouver triquard !
Bon délire ! Et coucou à Coeur d'or la délirante inspiratrice !
Hors ligne
merci de me suivre dans mes conneries, ami
Hors ligne
Ben moi dès qu'il s'agit de faire le con je suis !
Hors ligne
nouga a écrit:
incompréhension
Étrange phénomène vous dites, comme je vous comprends,
d'ailleurs a ce sujet nous devrions en débattre.
nan pas nous battre, en parler, en causer, échanger.
Comment échangisme, vous avez les idées mal placées,
sachez madame que je suis for réservé , étant du genre prude.
Pas prune , je ne suis pas d'Agen, ni à jeun d'ailleurs,
mais de ma fenêtre j'aperçois les ajoncs d'or.
Lors de votre passage, parce que vous êtes déjà venue par ici
ah non , plutôt par la, soit, donc je vous rappelais,
non il n'y a pas de rats pelés, seulement des souris vertes,
vous savez , une souris verte qui, ah bon vous ne chantez pas,
et bien dansez. Encore moins , je vous croyais physique.
Je sais bien que vous n'êtes pas le fils de zik,
figurez vous que je l'ai bien connu, un garçon très doué au demeurant,
oui c'est cela , il demeuré prés de la belle Hélène,
pas la poire, la marchande des quatre saisons.
Oui , elle, avec sa jupe plissée et bariolée,
le sourire avenant, toujours le bon mot pour les clients.
Non , vous faites erreur, ce n'est pas une péripatéticienne,
décidément vous êtes obsédée, le sexe vous gangrène,
reprenez vous, je ne vous ai pas dit que j'avais la haine,
vous savez que c'est dur d'avoir une conversation avec vous.
Nous étions partis sur cet étrange phénomène,
çà y est vous vous souvenez, bien , alors qu'en es t'il
l'hiver est une saison froide, oui, je suis d'accord,
je rajouterai que la neige peut tomber, ainsi que le verglas.
Que les jours sont plus courts, enfin rien de nouveau sous le soleil.
Je n’ai jamais dit que le soleil en hiver était a son apogée,
jamais ma chère dame.
Je disais juste que le boucher trompait sa femme,
merde , vous êtes la femme du boucher.
Finalement quand on ne se comprend pas , comment débattre,
ah , ne recommencez pas, je ne bats que les oeufs
et comme vous m'avez fait perdre mon temps ,
je vous dis que je m'en bats les couilles, voilà ,
comme la maîtresse de votre mari,
qui elle ne perd pas le Nord.
Oui quel coup du sort.
Bonne journée,
exact il est né le divin enfant,
au revoir,
pas a ce soir,
a un de ces jours, nan, pas dans mon séjour.
Allez je vous laisse, et bon vent,
j'en fais autant.
Hors ligne
Koskai regarde dans le rétroviseur ici:
http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … hp?id=9921
Hors ligne
nouga a écrit:
je n'ai rien a dire
Je n'ai rien a dire
et pire
si je dis
le vendredi jour de poisson
la raie m'attire
car l'anguille électrique
j'entends la vieille
me traiter de barbeau
c'est un congre, non
çà me fait rire
je ne lâche jamais, lamproie pour l'ombre
comme la truite, Schubert
çà ne fait pas un plie
bref tout cela pour vous dire
que le thon que je prends pour vous en parlez
c'est pour vous tendre la perche
étant tout ouïe au bar, du vieux loup de mer
lieu ou je suis comme un poisson rouge dans son bocal
en chantant oh sole é mio
je sais, ce n'est pas une tanche de rire, baleine,
mais le sar dîne bien avec la vive, carpe diem
donc acte sinon le hareng saur.
Je n'ai rien a dire
mais séduire
si je dis
vendredi sur son île
n'as pas de pageot
j'entends vos réactions
cette grande gueule de Robinson,
en sera quitte, pour faire le maquereau
avec la première morue venue
aussi je me tais
avant que la gueule de raie et l'anguille sous roche.
Hors ligne
Avec le gel en stock, la coke n’a qu’a bien se tenir
ni masque ni gestes, je repousse les barrières
l’année 2020 une parenthèse dans un écrin
ou la peur d’un virus à changé la donne
nous voici assis sur une poudrière
les états d’âme (pas d’ânes ni peau)
sont légions disent les Romains
un brin explicite quand la botte à le talon
d’Achille , nan, haut comme une forme
que l’on dit que sur le fond
un tantinet désuète depuis la covid
cette fille dégenrée, aux effets pervers
en effet avoir les mains moites devient un signe
qui crois moi ou non ne permet plus l’accolade
ainsi fini la remise de rosette à Lyon
reste encore çà et là l’utilisation
que chaque jour qui passe donne raison
à la rébellion ce vent de fronde dixit Thierry
évidemment répondent les apeurés
qui en prévision font de la purée ( de pois circonstance non atténuante)
comme on fait de l’huile avec une olive dans le cul
rien de porno dans cette image
même à Épinal dans les annales
la sodomie rassure en cette période ou il faut éviter le face à face
aussi on se rassure ici bas
sur la meilleure façon d’occire l’ire
qui s’est emparée du peuple privé de jeux
car l’art de la guerre n’est pas science exacte
pas plus que parole donnée à titre conservatoire
jamais l’histoire ne s’écrira sans épée dit mie molette
ce Hollandais aux tulipes avec édam
faisant de la réclame pour le cannabis
et ses vertus thérapeutique
bref la peur n’évite pas le droit
de dire haut et for( ou en son for Alamo)
que pour gagner une élection
il faut jouer de la trump-ette
sinon t’est bon
à finir en bouillabaisse
parole de Marseillais peuchère et même un poil fada
tant le pastis empègue
sauf notre bon docteur, rayon de soleil
dans ce décor apocalyptique
Hors ligne
"la trump-ette" MDR !
Hors ligne
Bravo nouga, espérons que la parenthèse va se refermer un jour...
Hors ligne